Mon Côté Fille

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Quand les marques envahissent le bio.

09.18.2008 by Mlle Gima //

Ces temps ci ça n’arrête pas : chaque marque y va de son produit eco-cert, voire de sa gamme de cosmétiques bio au grand complet. Ça a attiré mon attention lorsque que carrefour a fait dans le gel douche bio et depuis je suis “éblouie” par ce fleurissement de produits bio sur toutes les étagères, de celles de la supérette, à celles du magasin d’hygiène tout en passant par les salons de beauté et l’hypermarché.

Là, c’est la sortie de la gamme bio de Marionnaud après la gamme  “green connection” tout aussi bio de Sephora qui me force à dire deux mots sur cette tendance.

Car les fans de la cosmétique réfléchie devraient se montrer satisfaites puisqu’elles ne sont plus obligées d’aller en boutique spécialisée ou chez mademoiselle bio pour trouver leur bonheur.

Et pourtant non !

Comment voulez vous qu’on se réjouisse, les yeux embués de reconnaissance, en voyant ces demi tonnes de nouveautés “vertes” débouler sur la France ? Sans sombrer dans la parano intégriste, il y a de quoi s’interroger.

Quand on voit le cahier des charges que demande éco-cert, on sait que le bio demande des investissements. Mais lorsqu’on connait les systèmes de création d’une gamme de produits, qui peuvent être parfois fabriqués au même endroit que le concurrent, on peut se poser des questions quant à la réelle implication éthique des marques commanditaires et des fabricants.

Je crois que, plus qu’une recherche du “certifié bio”, il faut désormais pousser vers une éthique des produits et des marques lorsque l’on souhaite adhérer à l’idée du bio.

Certes, rien ne sert de jeter le bébé avec l’eau du bain. Ces initiatives (peut être très commerciales) resteront toujours plus louables qu’un entêtement envers le très chimique. Mais l’éco-cert ne fait pas tout. Je ne vais pas vous re-seriner avec le label BDHI ou Nature et progrès (l’article sur les labels est là, je le répète) mais pour acheter bio il faut avant tout réfléchir à qui vend du bio et pourquoi. Dans votre produit éco-cert qu’est ce qui au final est vraiment bio ou “naturel”…?

Voilà de quoi faire réfléchir les lectrices pro-écolo et enquiquiner celles dont la fierté est leur dernier gel douche Ushuaïa :p

Categories // Bio, Cosmétiques Tags // Bio, cosmétiques, marketing, marques, naturel

Concours (suite): les votes

09.17.2008 by Mlle Gima //

Voici les anecdotes reçues pour le concours. Maintenant il va vous falloir allez voter pour votre anecdote préférée sur la page du vote. Vous avez le droit à un vote par IP mais tout les moyens sont bon pour récoltez des votes :p

Personnellement j’ai deja mes préférences mais je me tais et resterais impartiale. Le vote seront clos dimanche 21 septembre à minuit.

Miss Brownie de http://www.mesdoudouxetcompagnie.fr/

Dernièrement, avec mon Homme, nous avons acheté Mario Kart Wii.
Je lis le résumé sur la pochette et complétement indignée, je dis à mon Homme :

“Tu as vu!!! Dans la pub ils nous font croire qu’on peut jouer à 4 mais en vrai on ne peut jouer qu’à 3 !!! C’est de la triche! Sur la boîte, c’est écrit : jouer simultanément avec 3 de vos amis”

Mon Homme dépité me répond :
“Bah ça fait 4 … toi + 3 amis = 4!”

Honteuse je réponds:
“Ah oui, tu as raison …”

Chipo de http://www.chipolata.fr

Suis-je vraiment une fille ? Suis-je vraiment blonde ? Il n’y a plus vraiment de doute sur ma fille-attitude depuis cette fameuse anecdote qui me poursuit depuis la fac…

**flash-back**
Je suis pom-pom girl (déjà, ça commence bien). Avec mes coupines de pompoms, nous vendons des crêpes à la fac pour financer lesdits pompoms.
J’avais soudain l’une de mes comparses en train de discuter avec un jeune homme charmant. Ni une ni deux, je m’incruste dans la conversation pour faire connaissance avec cet Apollon.
Ma copine me file des coups de coude, me lance des sourires gênés, bref je la dérange ! nanmého, je suis célibataire et pas elle, elle peut bien partager, crotte alors.
Je reste donc incrustée dans la conversation que je parsème de rires de blondes et de “je touche ma crinière L’Oréal parce que je vaux bien”, avant de demander au monsieur “et toi, tu es en quelle année ?”
…
…
“Je suis enseignant”, qu’il me répond. Je ne sais pas lequel de lui ou de moi était le plus gêné, ma copine dévastée par un fou-rire à côté, mais ce grand moment de fille-attitude me poursuit depuis. Quelle gourdasse je suis, aussi !

——-
Lowett: http://www.geeketteandgreluche.fr

Une anecdote de fille-attitude ? Les miennes pourraient presque toutes tourner autour du même concept: la création de besoin.
Je crois que j’ai la médaille d’or de la création de besoin inutile.
Pour ne rappeler que la dernière, c’était il y a quelques jours durant une séance de shopping. Je pars en vacances bientôt, quoi comme meilleure occasion que de s’acheter plein de produits de beauté ? Avec tous les magasines et leurs conseils tentateurs, je me lance dans la jungle des magasins.
Je ressors de chez Yves Rocher avec une note de plus de 30 euros. Mais j’ai eu un mascara gratuit et j’avais justement besoin d’un mascara !
Reste à acheter les petites choses que je ne trouve pas chez eux. Je ressors du second magasin avec une note d’environ 30 euros aussi.

Ce que je ne dis pas, c’est que la plupart des mes achats sont inutiles. Comme ces vernis à ongles chez Yves Rocher qui me déçoivent toujours et qui finissent par dépérir dans mon armoire.
Et ce fard à paupières bleu que je n’oserai peut-être jamais mettre.

Mais en fait, ces choses là, je n’y pense même pas. Je suis contente de mes achats, j’en avais besoin !

Et le must, c’est ma pseudo-victoire de la journée. Je voulais un brumisateur d’eau, mais je n’ai trouvé que des formats énormes (et vacances en avion donc pas pratique).
En plus, 5 euros une bouteille d’eau en spray, c’est cher.
Je ne l’ai pas prise.
Et je ne vous raconte pas l’effet de victoire que ça a eu sur moi ! J’ai réussi à combattre le besoin inutile !

Cela doit faire une victoire et je ne sais pas combien de défaites, mais ça je n’y pense pas non plus.
D’ailleurs je cherche toujours une huile protectrice pour cheveux avec protection UV. Oui, il faut que je les protège, mes cheveux.
Ce que je ne dis pas, c’est que j’en avais trouvé une il y a deux ans. Et elle avait rendu mes cheveux tellement brillants que j’ai eu 2 coups de soleil sur la tête…

Pas de médaille d’or sur ce coup-là !

Sur ce, je vais aller mettre ces chaussures qui me tuent les pieds mais dont j’avais absolument besoin pour une soirée ^^

———-
Anais: http://le-celibat-ne-passera-pas-par-moi.skynetblogs.be/

Une amie m’a récemment déclaré avoir passé un dimanche (enfin un bout de dimanche) en compagnie de sa môman, avachies toutes deux sur des transats. A faire quoi ? Manger des glaces ? Que nenni ? Siroter des cocktails ? Que nenni. Cancaner sur les collègues, les mecs, les boss chéris et les amoureux transis ? Que nenni. Lire, se culturer avec Voilà ou autre revue du style ? Que nenni. Barbecuter ? Que nenni.

Elles se sont épilé le maillot à la pince, sur leur transat, en plein soleil.

Voilà à quoi en sont réduites les filles le dimanche : à s’épiler le bikini. En troupeau, qui plus est. Oui, bon, mère-fille, c’est un tout petit troupeau, mais l’instinct grégaire est bien présent.

Moi, je ne m’épile pas le maillot en plein soleil. Ça donne chaud, d’être en plein soleil. Et puis, pour s’épiler le maillot, faut se pencher, sauf à avoir le maillot à hauteur du visage, mais alors on appelle ça une moustache. Et quand on se penche, ça fait des plis de shar-pei dans le bide. Enfin chez moi, avec mon gros bidou plein d’air. Ensuite on bronze à rayures… tout ça pour extirper quelques poils, moi je dis non, non et non.

En plus, je ne m’épile pas en compagnie de ma môman, même si cette dernière s’est longtemps adonnée à ce plaisir subtil en ma compagnie, du temps oùsque je n’avais pas de poils, moi, et oùsque le progrès n’avait pas envahi nos vies, et oùsqu’elle s’enduisait courageusement les mollets de coq (on a les mêmes) de cire chaude, qu’il fallait ensuite arracher violemment, puis filtrer avec un bout de tissu pour récupérer les poils d’une part, et la cire d’autre part. Un job à temps plein ma bonne Dame. Et un traumatisme. J’ai même, à l’occasion, eu le plaisir d’arracher sadiquement, à l’aide d’une pince, des poils de 4 centimètres (non, je ne suis pas marseillaise, ils faisaient 4 centimètres, ce devait être des poils mutants ou transgéniques) qui avaient élu domicile à l’arrière de ses cuisses de grenouille (on a les mêmes). Ne lui dites pas que je vous l’ai dit sinon elle me tue…

Donc, moi, je m’épile bien au frais chez moi. Toute seule. Dans l’intimité.

Quand je m’épile, du moins… Le célibat a du bon, il permet d’avoir des jambes de yéti, des dessous de bras de guenon et un maillot en brosse à cabinet sans gêner personne. Mais bon, une fois le printemps reviendu, ou plutôt une fois le soleil réapparu, j’opte pour une coupe plus légère. Un toilettage en bonne et due forme. In-dis-pen-sa-ble. Adieu la foufoune, les aisselles et les jambes broussailleuses, bonjour le corps de déesse imberbe. Si, si, de déesse, j’insiste.

Et je m’épile à la pince. Poil après poil. Les fillees font preuve d’un courage démentiel à ce niveau là non ? S’arracher ainsi, durant des heures, durant des années, chaque poil disgracieux, ça relève de l’exploit. Limite si on devrait pas entrer au Guinness Book pour résistance à la torture… et tout ça pour vous, Messieurs…

C’est ça, être une fille

—————————

Aileen: http://http://ccommecacheznous.blogspot.com/

à la fac on avait un “fac-food” où on devait mettre le contenu de notre plateau dans une grande poubelle après le repas (comme dans un fast food en somme). Je posais toujours ma carte de RU (comme une carte bleue) sur mon plateau après avoir payé et je la rangeais après. Un jour, panique, après avoir vidé mon plateau je me rends compte que je n’ai pas ma carte… Après avoir fouillé toutes mes affaires et mes vêtements je vais voir le personnel qui me conseille alors de regarder dans la poubelle, archi pleine, forcément. Me voilà donc, comme une malheureuse avec des gants Mapa en train de fouiller des restes de repas, sous le regard amusé de mes amis et des étudiants qui passaient par là. La fouille ne donnait rien, une dame de cantine vient m’aider… On finit par abandonner, ne la trouvant pas. Je rends les gants à la dame, mets les mains dans mes poches et, miracle, la carte s’y trouve ! J’ai cru qu’elle allait me tuer et que les amis aller mourir de rire.

++

On peut se la péter, mes beaux-parents ont un appart à la mer pour y passer nos week-ends ; 9ème (et dernier) étage, front de mer, la classe. Les peu de fois où on y va on est chargé comme des baudets. De la maison on fourre dans le coffre, arrivés là-bas on décharge le coffre, on se charge un maximum comme des sherpas pour éviter les voyages, on fourre tout comme on peut dans l’ascenseur, qu’on aura préalablement bloqué… D’une main, celle qui est le moins encombrée, je suis chargée d’appuyer sur l’étage et de relancer la machine. L’ascenseur s’arrête, mon homme descend, je rebloque l’ascenseur et attend sagement qu’il vienne enlever quelques valises pour que je puisse sortir. Je l’entends qui peste, bruits de clés, il commence à être long… il revient paniqué, la porte de l’appart ne s’ouvre pas et il a tout essayé ! Nonchalamment je regarde l’écran qui indique le numéro de l’étage : “Remonte, j’ai du ripper, on est au 7ème, c’est pas le bon appart…” J’ai eu évidemment droit au regard noir… et moi je me marrais comme une baleine. N’empêche, encore heureux qu’on avait pas vidé l’ascenseur avant d’essayer les clés… encore heureux aussi que cet appart était inoccupé ! “Mais c’est pour ça que tu m’aimes quand même non ? Tu t’ennuierais sinon…” “Non, c’est parce que je t’aime que j’accepte ce genre de conneries…”

———

Laetii:

D’accord j’avoue tout, la semaines derniéres si j’ai refusé toute les sorties avec l’Homme c’était pas parce que j’avais pas envi, si je n’ai pas mangé les midis ce n’est pas parce que je n’avais pas faim… C’est parce que les zarantes version André me faisait de l’oeil mais 130€ =S… Mais un week end a “se promener” et 2 kg plus tard mes pieds son ravi =D>

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Monique:

Elle court elle court après le manteau Marant. Et oui car car on est en Province et fille, lectrice de magazine, difficile de réaliser ses rêves. Première fois, lors d’un RDV professionnel à lilel je me dépèche avant mon train, je fais le printemps et les galeries : RIEN.

Deuxième RDV Professionnel Paris Bastille et Hop rue de charonne et Hop le fameux manteau en poche, pardon en sac, pardon dans le train. Ah marant!!! va dire monsieur Truchon!

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Petite fée de: http://www.monpitimonde.fr/dotclear

J’ai installé la mini chaine pour écouter Otis Redding, afin d’être zen au possible.

J’ai préparé mon masque à l’argile pour le visage, mon shampoing et mon masque pour cheveux. Jusque là rien d’exceptionnel vous allez me dire…

Je me suis installée et pendant que l’eau coulait encore j’ai plongé ma tête dans l’eau, la baignoire n’étant pas pleine, j’avais de l’eau jusqu’au dessus des oreilles. Je m’imaginais ce que ça pouvait faire d’être dans cette situation sans pouvoir bouger comme dans un film (dont je ne me souviens plus le titre) où le mari essaye de noyer sa femme après l’avoir droguée parce qu’elle a découvert qu’il avait tué sa maîtresse qui vient la hanter. Enfin bref, je m’éclate parfois, je sais, je suis tarée…mais j’assume !

Ensuite après m’être lavé les cheveux, posé le masque pour mes cheveux, j’ai également décidé de faire mon masque à l’argile pour mon visage en même. A ce moment j’étais vraiment super détendue, dans mes pensées, sans vraiment être à ce que je faisais. Quand soudain j’ai repris mes esprits et mes mains pleines d’argile avaient atterri sur mes cheveux…Eh oui, quand on est une quiche on l’ai jusqu’au bout des cheveux!!

Je n’ai plus rien touché, j’ai terminer mon masque facial.

Quand j’ai rincer mes cheveux, j’ai bien senti que la partie imprégnée d’argile était un peu rêche mas j’ai réparé tout ça avec mon spray démêlant schwarzkopf!

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Emma de :http://enviesdemma.canalblog.com/

Bon alors voilà. En tant que fille, j’essaie de faire plus ou moins attention à ma ligne. C’est pour ça (et également pour voir mes collègues hommes en sueur et plein effort) que je me suis mise au volley le midi avec quelques collègues, petite sucursalle du club de notre ville.
Une fois par an, le club municipal organise un grand tournoi, regroupant toutes les personnes pratiquant le volley en club, ou comme nous, en loisir.
Je me fais belle pour l’occasion (même si je sais que je vais finalement finir par ressembler à une loque au bout d’une demi-heure de match avec des vrais pros), car je vais rencontrer des beaux sportifs (il devrait y en avoir au moins un !).
Perdue au milieu de la foule et de mes collègues, je vois un inconnu s’avancer vers moi. Il est brun les yeux bleus (mon parfait fantasme de Superman), la vingtaine, et me sourit timidement tout en s’avançant vers moi.
Comme à tous les autres, je lui fais la bise en me présentant : « Salut, moi c’est Emma » (ouai je sais, c’est nul comme entrée en matière !). Et il me répond : « oui, je sais, jamais je ne pourrais oublier un visage comme le tien » (oui oui, dans ces termes-là ! je vous assure !). J’ai beau chercher, je ne me souviens absolument pas d’un beau gosse comme lui (et je perds rarement la mémoire pendant mes soirées bitures).
Je dois alors lui avouer mon ignorance quant à son identité et il me répond : « tu me donnais des cours particuliers quand j’étais en 3ème ».
Voilà, tout simplement. Pire qu’une tarte en pleine figure. Il a beau être mignon, je l’ai connu adolescent boutonneux alors que je commençais tout juste à travailler. Donc… On sourit… et on passe son tour…

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Camille de : www.fashion-gazette.fr

Depuis le début de la semaine, je suis en exil de vacances chez mes parents.

Jeudi matin, toute fraîchement sortie du lit, et à peine débarquée de la douche matinale, voilà que je me mets en tête d’aider l’auteure de mes jours à faire le ménage.
Rapide, n’exagérons rien, je suis en vacances, donc.

Je lui propose mon aide pour passer le chiffon dépoussiéreur, mais il se trouve que c’est bien la seule chose qu’elle avait faite.
En vérité, je le savais, j’avais vu le chiffon. Mais c’était pour faire semblant.

A la place, elle m’a dit que, bonne idée, tu pourrais, par exemple, emmener les poubelles de papier dans le bac.
Bac qui se situe à environ soixante quatre mètres et demi de la porte d’entrée du domicile familial.

Je m’empare donc du bac, et je m’apprête à sortir.
Je vérifie mon sac à main, mon téléphone, mes lunettes de soleil, et je pars.

Dix secondes plus tard, mon père me revoit venir, la mine décomposée, et le regard hagard.

Attends, mais t’es déjà là, Fille, me demande-t-il.

Ben oui. J’ai oublié de me mettre du mascara…
(La fin de l’histoire c’est que, le soir même, mon père revenait du boulot avec un cadeau. Il m’avait acheté un mascara. Bleu. Pour rire.)

—–
Touwity http://touwity.free.fr

Douai – Une rue publique. Entrent MonsieurGruyère, Touwity et la Voisine. MonsieurGruyère aura dans quelques minutes une leçon de conduite.

La Voisine – C’est l’heure de ton cours de conduite ?

MonsieurGruyère – Oui et d’ailleurs le moniteur ne devrait pas tarder, j’ai ma leçon à 14heures.

L’église de la rue affiche 13h55…

Touwity, à MonsieurGruyère – T’as vu comme les moniteurs ont des facilités pour conduire du côté passager ? Je me demande comment ils font. Déjà moi du côté conductrice, j’ai bien du mal, alors côté passager…

MonsieurGruyère – Bah c’est normal, c’est leur métier.

Touwity – Au fait, ton moniteur conduit du côté passager quand il était tout seul dans la voiture ?

MonsieurGruyère, hilare – Bah nan, quand il est tout seul il est du côté conducteur.

Categories // Bon plan et concours Tags // anecdote, concours, femme, fille, mon coté fille

Redken urban experiment 8: effet laine

09.16.2008 by Mlle Gima //

Cet article est ma première critique parue chez Le Figaro Madame. En première partie vous trouverez ma critique, puis la description produit et la critique telle qu’elle est publiée sur le site original.

J’espere que ça va plaire, il y en a trois autres qui arrivent derriere.

Bonne Lecture

Présentation du Produit:

Spécialement recommandé pour créer les coiffures ébouriffées et vaporeuses vues sur les derniers défilés, ce gel-spray aux fibres de coton permet de donner un volume froissé à effet mat et laineux. Sa formule « texturisante » (à secouer, sinon la fluidité reste en bas) se travaille sur tous types de cheveux, aussi bien secs qu’humides.
Conseils d’utilisation : répartir une noisette de produit sur de petites mèches, puis structurer avec les doigts ou bien cranter la matière à l’aide d’un fer à friser.

Filme de présentation du produit dispo: ici

Ma critique personnelle:

La note : 3/5 (en étant généreuse)

Les plus : l’odeur légère et persistante après pause est très agréable. Le produit ne « cartonne » pas les cheveux comme la majorité des produits coiffant, et ce même s’il on est trop généreuse à l’application.

Le rendu volume est impressionnant surtout sur cheveux longs.

Les moins : Il faut bien penser à secouer le produit avant usage et se laver les mains après application sinon ça laisse une couche non uniforme désagréable.

Globalement : Décidément je suis fan de l’odeur du produit et l’effet coiffant est indéniable. Toutefois je ne vois guère de « révolution » car si les cheveux prennent un beau volume et restent relativement souple en comparaison aux produits déjà disponible il n’y a pas d’apport sensationnel.

Qui plus est cette sensation « laine » ne me plait pas, mais cette une appréciation esthétique personnelle.

La critique telle que publiée:

Cliquez sur l'image pour voir la page originale chez le Figaro Madame.

Categories // Cosmétiques, Presse, Produit offert, Test produit Tags // cheveux, coiffant, Le figaro Madame, Redken

Les votes du concours

09.16.2008 by Mlle Gima //

A vous de jouer: un vote par IP mais vous pouvez demander à tout le monde de votez pour vous.

Je vous rappelles les textes ici:

Miss Brownie de http://www.mesdoudouxetcompagnie.fr/

Dernièrement, avec mon Homme, nous avons acheté Mario Kart Wii.
Je lis le résumé sur la pochette et complétement indignée, je dis à mon Homme :

“Tu as vu!!! Dans la pub ils nous font croire qu’on peut jouer à 4 mais en vrai on ne peut jouer qu’à 3 !!! C’est de la triche! Sur la boîte, c’est écrit : jouer simultanément avec 3 de vos amis”

Mon Homme dépité me répond :
“Bah ça fait 4 … toi + 3 amis = 4!”

Honteuse je réponds:
“Ah oui, tu as raison …”

Chipo de http://www.chipolata.fr

Suis-je vraiment une fille ? Suis-je vraiment blonde ? Il n’y a plus vraiment de doute sur ma fille-attitude depuis cette fameuse anecdote qui me poursuit depuis la fac…

**flash-back**
Je suis pom-pom girl (déjà, ça commence bien). Avec mes coupines de pompoms, nous vendons des crêpes à la fac pour financer lesdits pompoms.
J’avais soudain l’une de mes comparses en train de discuter avec un jeune homme charmant. Ni une ni deux, je m’incruste dans la conversation pour faire connaissance avec cet Apollon.
Ma copine me file des coups de coude, me lance des sourires gênés, bref je la dérange ! nanmého, je suis célibataire et pas elle, elle peut bien partager, crotte alors.
Je reste donc incrustée dans la conversation que je parsème de rires de blondes et de “je touche ma crinière L’Oréal parce que je vaux bien”, avant de demander au monsieur “et toi, tu es en quelle année ?”
…
…
“Je suis enseignant”, qu’il me répond. Je ne sais pas lequel de lui ou de moi était le plus gêné, ma copine dévastée par un fou-rire à côté, mais ce grand moment de fille-attitude me poursuit depuis. Quelle gourdasse je suis, aussi !

——-
Lowett: http://www.geeketteandgreluche.fr

Une anecdote de fille-attitude ? Les miennes pourraient presque toutes tourner autour du même concept: la création de besoin.
Je crois que j’ai la médaille d’or de la création de besoin inutile.
Pour ne rappeler que la dernière, c’était il y a quelques jours durant une séance de shopping. Je pars en vacances bientôt, quoi comme meilleure occasion que de s’acheter plein de produits de beauté ? Avec tous les magasines et leurs conseils tentateurs, je me lance dans la jungle des magasins.
Je ressors de chez Yves Rocher avec une note de plus de 30 euros. Mais j’ai eu un mascara gratuit et j’avais justement besoin d’un mascara !
Reste à acheter les petites choses que je ne trouve pas chez eux. Je ressors du second magasin avec une note d’environ 30 euros aussi.

Ce que je ne dis pas, c’est que la plupart des mes achats sont inutiles. Comme ces vernis à ongles chez Yves Rocher qui me déçoivent toujours et qui finissent par dépérir dans mon armoire.
Et ce fard à paupières bleu que je n’oserai peut-être jamais mettre.

Mais en fait, ces choses là, je n’y pense même pas. Je suis contente de mes achats, j’en avais besoin !

Et le must, c’est ma pseudo-victoire de la journée. Je voulais un brumisateur d’eau, mais je n’ai trouvé que des formats énormes (et vacances en avion donc pas pratique).
En plus, 5 euros une bouteille d’eau en spray, c’est cher.
Je ne l’ai pas prise.
Et je ne vous raconte pas l’effet de victoire que ça a eu sur moi ! J’ai réussi à combattre le besoin inutile !

Cela doit faire une victoire et je ne sais pas combien de défaites, mais ça je n’y pense pas non plus.
D’ailleurs je cherche toujours une huile protectrice pour cheveux avec protection UV. Oui, il faut que je les protège, mes cheveux.
Ce que je ne dis pas, c’est que j’en avais trouvé une il y a deux ans. Et elle avait rendu mes cheveux tellement brillants que j’ai eu 2 coups de soleil sur la tête…

Pas de médaille d’or sur ce coup-là !

Sur ce, je vais aller mettre ces chaussures qui me tuent les pieds mais dont j’avais absolument besoin pour une soirée ^^

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Anais: http://le-celibat-ne-passera-pas-par-moi.skynetblogs.be/

Une amie m’a récemment déclaré avoir passé un dimanche (enfin un bout de dimanche) en compagnie de sa môman, avachies toutes deux sur des transats. A faire quoi ? Manger des glaces ? Que nenni ? Siroter des cocktails ? Que nenni. Cancaner sur les collègues, les mecs, les boss chéris et les amoureux transis ? Que nenni. Lire, se culturer avec Voilà ou autre revue du style ? Que nenni. Barbecuter ? Que nenni.

Elles se sont épilé le maillot à la pince, sur leur transat, en plein soleil.

Voilà à quoi en sont réduites les filles le dimanche : à s’épiler le bikini. En troupeau, qui plus est. Oui, bon, mère-fille, c’est un tout petit troupeau, mais l’instinct grégaire est bien présent.

Moi, je ne m’épile pas le maillot en plein soleil. Ça donne chaud, d’être en plein soleil. Et puis, pour s’épiler le maillot, faut se pencher, sauf à avoir le maillot à hauteur du visage, mais alors on appelle ça une moustache. Et quand on se penche, ça fait des plis de shar-pei dans le bide. Enfin chez moi, avec mon gros bidou plein d’air. Ensuite on bronze à rayures… tout ça pour extirper quelques poils, moi je dis non, non et non.

En plus, je ne m’épile pas en compagnie de ma môman, même si cette dernière s’est longtemps adonnée à ce plaisir subtil en ma compagnie, du temps oùsque je n’avais pas de poils, moi, et oùsque le progrès n’avait pas envahi nos vies, et oùsqu’elle s’enduisait courageusement les mollets de coq (on a les mêmes) de cire chaude, qu’il fallait ensuite arracher violemment, puis filtrer avec un bout de tissu pour récupérer les poils d’une part, et la cire d’autre part. Un job à temps plein ma bonne Dame. Et un traumatisme. J’ai même, à l’occasion, eu le plaisir d’arracher sadiquement, à l’aide d’une pince, des poils de 4 centimètres (non, je ne suis pas marseillaise, ils faisaient 4 centimètres, ce devait être des poils mutants ou transgéniques) qui avaient élu domicile à l’arrière de ses cuisses de grenouille (on a les mêmes). Ne lui dites pas que je vous l’ai dit sinon elle me tue…

Donc, moi, je m’épile bien au frais chez moi. Toute seule. Dans l’intimité.

Quand je m’épile, du moins… Le célibat a du bon, il permet d’avoir des jambes de yéti, des dessous de bras de guenon et un maillot en brosse à cabinet sans gêner personne. Mais bon, une fois le printemps reviendu, ou plutôt une fois le soleil réapparu, j’opte pour une coupe plus légère. Un toilettage en bonne et due forme. In-dis-pen-sa-ble. Adieu la foufoune, les aisselles et les jambes broussailleuses, bonjour le corps de déesse imberbe. Si, si, de déesse, j’insiste.

Et je m’épile à la pince. Poil après poil. Les fillees font preuve d’un courage démentiel à ce niveau là non ? S’arracher ainsi, durant des heures, durant des années, chaque poil disgracieux, ça relève de l’exploit. Limite si on devrait pas entrer au Guinness Book pour résistance à la torture… et tout ça pour vous, Messieurs…

C’est ça, être une fille

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Aileen: http://http://ccommecacheznous.blogspot.com/

à la fac on avait un “fac-food” où on devait mettre le contenu de notre plateau dans une grande poubelle après le repas (comme dans un fast food en somme). Je posais toujours ma carte de RU (comme une carte bleue) sur mon plateau après avoir payé et je la rangeais après. Un jour, panique, après avoir vidé mon plateau je me rends compte que je n’ai pas ma carte… Après avoir fouillé toutes mes affaires et mes vêtements je vais voir le personnel qui me conseille alors de regarder dans la poubelle, archi pleine, forcément. Me voilà donc, comme une malheureuse avec des gants Mapa en train de fouiller des restes de repas, sous le regard amusé de mes amis et des étudiants qui passaient par là. La fouille ne donnait rien, une dame de cantine vient m’aider… On finit par abandonner, ne la trouvant pas. Je rends les gants à la dame, mets les mains dans mes poches et, miracle, la carte s’y trouve ! J’ai cru qu’elle allait me tuer et que les amis aller mourir de rire.

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On peut se la péter, mes beaux-parents ont un appart à la mer pour y passer nos week-ends ; 9ème (et dernier) étage, front de mer, la classe. Les peu de fois où on y va on est chargé comme des baudets. De la maison on fourre dans le coffre, arrivés là-bas on décharge le coffre, on se charge un maximum comme des sherpas pour éviter les voyages, on fourre tout comme on peut dans l’ascenseur, qu’on aura préalablement bloqué… D’une main, celle qui est le moins encombrée, je suis chargée d’appuyer sur l’étage et de relancer la machine. L’ascenseur s’arrête, mon homme descend, je rebloque l’ascenseur et attend sagement qu’il vienne enlever quelques valises pour que je puisse sortir. Je l’entends qui peste, bruits de clés, il commence à être long… il revient paniqué, la porte de l’appart ne s’ouvre pas et il a tout essayé ! Nonchalamment je regarde l’écran qui indique le numéro de l’étage : “Remonte, j’ai du ripper, on est au 7ème, c’est pas le bon appart…” J’ai eu évidemment droit au regard noir… et moi je me marrais comme une baleine. N’empêche, encore heureux qu’on avait pas vidé l’ascenseur avant d’essayer les clés… encore heureux aussi que cet appart était inoccupé ! “Mais c’est pour ça que tu m’aimes quand même non ? Tu t’ennuierais sinon…” “Non, c’est parce que je t’aime que j’accepte ce genre de conneries…”

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Laetii:

D’accord j’avoue tout, la semaines derniéres si j’ai refusé toute les sorties avec l’Homme c’était pas parce que j’avais pas envi, si je n’ai pas mangé les midis ce n’est pas parce que je n’avais pas faim… C’est parce que les zarantes version André me faisait de l’oeil mais 130€ =S… Mais un week end a “se promener” et 2 kg plus tard mes pieds son ravi =D>

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Monique:

Elle court elle court après le manteau Marant. Et oui car car on est en Province et fille, lectrice de magazine, difficile de réaliser ses rêves. Première fois, lors d’un RDV professionnel à lilel je me dépèche avant mon train, je fais le printemps et les galeries : RIEN.

Deuxième RDV Professionnel Paris Bastille et Hop rue de charonne et Hop le fameux manteau en poche, pardon en sac, pardon dans le train. Ah marant!!! va dire monsieur Truchon!

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Petite fée de: http://www.monpitimonde.fr/dotclear

J’ai installé la mini chaine pour écouter Otis Redding, afin d’être zen au possible.

J’ai préparé mon masque à l’argile pour le visage, mon shampoing et mon masque pour cheveux. Jusque là rien d’exceptionnel vous allez me dire…

Je me suis installée et pendant que l’eau coulait encore j’ai plongé ma tête dans l’eau, la baignoire n’étant pas pleine, j’avais de l’eau jusqu’au dessus des oreilles. Je m’imaginais ce que ça pouvait faire d’être dans cette situation sans pouvoir bouger comme dans un film (dont je ne me souviens plus le titre) où le mari essaye de noyer sa femme après l’avoir droguée parce qu’elle a découvert qu’il avait tué sa maîtresse qui vient la hanter. Enfin bref, je m’éclate parfois, je sais, je suis tarée…mais j’assume !

Ensuite après m’être lavé les cheveux, posé le masque pour mes cheveux, j’ai également décidé de faire mon masque à l’argile pour mon visage en même. A ce moment j’étais vraiment super détendue, dans mes pensées, sans vraiment être à ce que je faisais. Quand soudain j’ai repris mes esprits et mes mains pleines d’argile avaient atterri sur mes cheveux…Eh oui, quand on est une quiche on l’ai jusqu’au bout des cheveux!!

Je n’ai plus rien touché, j’ai terminer mon masque facial.

Quand j’ai rincer mes cheveux, j’ai bien senti que la partie imprégnée d’argile était un peu rêche mas j’ai réparé tout ça avec mon spray démêlant schwarzkopf!

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Emma de :http://enviesdemma.canalblog.com/

Bon alors voilà. En tant que fille, j’essaie de faire plus ou moins attention à ma ligne. C’est pour ça (et également pour voir mes collègues hommes en sueur et plein effort) que je me suis mise au volley le midi avec quelques collègues, petite sucursalle du club de notre ville.
Une fois par an, le club municipal organise un grand tournoi, regroupant toutes les personnes pratiquant le volley en club, ou comme nous, en loisir.
Je me fais belle pour l’occasion (même si je sais que je vais finalement finir par ressembler à une loque au bout d’une demi-heure de match avec des vrais pros), car je vais rencontrer des beaux sportifs (il devrait y en avoir au moins un !).
Perdue au milieu de la foule et de mes collègues, je vois un inconnu s’avancer vers moi. Il est brun les yeux bleus (mon parfait fantasme de Superman), la vingtaine, et me sourit timidement tout en s’avançant vers moi.
Comme à tous les autres, je lui fais la bise en me présentant : « Salut, moi c’est Emma » (ouai je sais, c’est nul comme entrée en matière !). Et il me répond : « oui, je sais, jamais je ne pourrais oublier un visage comme le tien » (oui oui, dans ces termes-là ! je vous assure !). J’ai beau chercher, je ne me souviens absolument pas d’un beau gosse comme lui (et je perds rarement la mémoire pendant mes soirées bitures).
Je dois alors lui avouer mon ignorance quant à son identité et il me répond : « tu me donnais des cours particuliers quand j’étais en 3ème ».
Voilà, tout simplement. Pire qu’une tarte en pleine figure. Il a beau être mignon, je l’ai connu adolescent boutonneux alors que je commençais tout juste à travailler. Donc… On sourit… et on passe son tour…

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Camille de : www.fashion-gazette.fr

Depuis le début de la semaine, je suis en exil de vacances chez mes parents.

Jeudi matin, toute fraîchement sortie du lit, et à peine débarquée de la douche matinale, voilà que je me mets en tête d’aider l’auteure de mes jours à faire le ménage.
Rapide, n’exagérons rien, je suis en vacances, donc.

Je lui propose mon aide pour passer le chiffon dépoussiéreur, mais il se trouve que c’est bien la seule chose qu’elle avait faite.
En vérité, je le savais, j’avais vu le chiffon. Mais c’était pour faire semblant.

A la place, elle m’a dit que, bonne idée, tu pourrais, par exemple, emmener les poubelles de papier dans le bac.
Bac qui se situe à environ soixante quatre mètres et demi de la porte d’entrée du domicile familial.

Je m’empare donc du bac, et je m’apprête à sortir.
Je vérifie mon sac à main, mon téléphone, mes lunettes de soleil, et je pars.

Dix secondes plus tard, mon père me revoit venir, la mine décomposée, et le regard hagard.

Attends, mais t’es déjà là, Fille, me demande-t-il.

Ben oui. J’ai oublié de me mettre du mascara…
(La fin de l’histoire c’est que, le soir même, mon père revenait du boulot avec un cadeau. Il m’avait acheté un mascara. Bleu. Pour rire.)

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Touwity http://touwity.free.fr

Douai – Une rue publique. Entrent MonsieurGruyère, Touwity et la Voisine. MonsieurGruyère aura dans quelques minutes une leçon de conduite.

La Voisine – C’est l’heure de ton cours de conduite ?

MonsieurGruyère – Oui et d’ailleurs le moniteur ne devrait pas tarder, j’ai ma leçon à 14heures.

L’église de la rue affiche 13h55…

Touwity, à MonsieurGruyère – T’as vu comme les moniteurs ont des facilités pour conduire du côté passager ? Je me demande comment ils font. Déjà moi du côté conductrice, j’ai bien du mal, alors côté passager…

MonsieurGruyère – Bah c’est normal, c’est leur métier.

Touwity – Au fait, ton moniteur conduit du côté passager quand il était tout seul dans la voiture ?

MonsieurGruyère, hilare – Bah nan, quand il est tout seul il est du côté conducteur.

Categories // Bon plan et concours

Retrouvez moi sur Madame.lefigaro.fr

09.16.2008 by Mlle Gima //

Héhé, voilà pour la petite surprise.

Ce mois ci je fait partis des testeuses beauté de la rubrique “bancs d’essais” au Figaro Madame.

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Retrouvez moi là bas pour 4 essais de produits en lignes.

Laetitia, 28 ans, ParisBlogueuse  Teint clair, taches de rousseur, longs cheveux blonds vénitien : Laetitia cultive à merveille le look diaphane. Mais ne vous fiez pas à son style « belle Florentine époque Renaissance » : cette accro aux produits bio est une vraie femme du XXIe siècle ! Passionnée par les nouveaux médias, elle réactualise chaque jour son blog et ne se lasse pas de traquer les nouveautés online.
En vrai j'ai 26 ans, y a une coquille -__-

Et comme je suis une fille sympa je vous retranscrirais ici les critiques que j’ai faite pour chacun des produits avec le texte en version originale et le liens vers la page.

Categories // Le blog, Presse Tags // essais de produits, le figaro, madame le figaro, Presse

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