Mon Côté Fille

Blog beauté et wellness sans tabous ni complexes !

  • À propos
  • Archives
  • Les évents MCF
  • Presse & Récompenses
  • Contact & FAQ

Défi manucure : le bilan (Comment mes ongles ont-ils survécus au défi demak’up ?)

07.20.2012 by Mlle Gima //

Et voilà, c’est l’heure du bilan manucure pour l’opération one day one color ! Ai-je tenu le défi une manucure par jour ? OUI ! Et je dois avouer que ce fut un peu difficile sur certains jours. Car il faut chaque soir trouver la (ou les) couleur(s) de vernis coordonnées à la tenue du lendemain, démaquiller l’ongle, soigner l’ongle, remaquiller l’ongle (1 base + 2 couches + 1 topcoat). Ça n’a l’air de rien mais je ne suis pas aussi preppy qu’on veut bien le croire, et je n’ai pas vraiment le temps de faire tout cela au quotidien. 😉 Pourtant je me suis éclatée à jouer avec les couleurs des vernis et à changer du tout au tout un jour sur l’autre. D’ailleurs, voilà ma semaine ongulaire :

Lundi : ” Dualité et oiseaux bleus”

Mardi : “Framboise Pistache”

Mercredi “Simplicité et équilibre du Color Block”

Jeudi : “don’t you step on my blue shinny shoes” en bleu majorelle

vendredi : “Rubis et little dress code noir”

Ai-je tenu le rythme d’un démaquillage au coton par jour ?

Honnêtement c’est là que ça a été le plus dur car, comme je le craignais, il est très dur de repasser au démaquillage coton/dissolvant quand on a pris l’habitude du bain dissolvant ou des disques pré-imprégnés. J’ai dû racheter un dissolvant efficace (déjà) et m’astreindre au démaquillage attentif et patient. D’ailleurs le point positif dans ce changement d’habitude, c’est que j’ai eu tout le loisir de tester les cotons Demak’up duo + et de bien nettoyer mes ongles (dans les moindres détails). Car le démaquillage au coton à cet avantage particulier d’aller vraiment dans les tout petits recoins de l’ongle, ce que ne fait pas très bien un bain dissolvant !

[Lire plus…]

Categories // Article monétisé, Vernis Tags // 1day1color, demakup, duo

Devinette beauté (n°18) : cachez cette chose que je ne saurais voir

07.12.2012 by Mlle Gima //

Aujourd’hui, place à  une devinette beauté “fine” et… “pratique”.

Et contrairement aux idées reçues, ce ne sont pas toujours les objets les plus innovants qui rendent les meilleurs services.

Alors, qui parmi vous saura me dire ce qu’est cet étrange objet de beauté ou plutôt “de praticité” ?

Allez, c’est assez facile il suffit d’imaginer ce que ce n’est pas, pour avoir une idée sur ce à quoi cela peut bien servir 😉

 

Comme d’habitude je modère vos commentaires, le temps de laisser à chacun le plaisir de chercher ce dont il s’agit.
Le réponse sera dévoilée plus tard 😉

[Lire plus…]

Categories // devinettes

Empreinte : découverte d’une lingerie entre tradition, personnalisation et luxe accessible <3

06.08.2012 by Mlle Gima //

La lingerie c’est comme les chaussures… un vice que je cultive avec soin et qui peut me coûter relativement cher.
Car même si je n’ai pas des goûts de luxe, j’ai des mensurations qui ne me permettent pas facilement de trouver “bonnet à ma taille”.
Ou alors je dois faire appel à deux types de lingerie bien différents :
– Celle que je trouve en VPC à des prix raisonnables, mais il faut alors dire adieu au glamour car c’est plutôt fade, voire disgracieux.
– Celle que je peux trouver dans les collections de certaines marques chics et adaptées aux poitrines qui dépasse le bonnet C, mais il faut alors sortir une carte bleu bien charpentée car le budget d’un ensemble est rarement en dessous de 150 €.

Alors bon, j’ai beau adorer la lingerie… il m’arrivait d’acheter plus petit pour avoir plus joli et pas trop cher. (Et c’est mal !)

Et puis j’ai reçu une invitation pour l’inauguration de l’Atelier Empreinte à Paris, une invitation qui m’a fait très plaisir puisqu’il s’agit d’une marque française historiquement dédiée aux grandes tailles et avec une excellente réputation. Mais surtout, l’invitation promettait de découvrir cette marque “glamour pour toutes” dans un nouveau concept de magasin à la fois innovant, personnalisé et intimiste.

Et ma foi je n’ai pas été déçue, j’ai même été très agréablement surprise !


J’ai d’abord été surprise par le lieu.
Car lorsqu’on passe devant, on a plutôt l’impression d’avoir affaire à une boutique de créateur ultra fashion et très moderne. On n’imagine pas que derrière cet espace luxueux et moderne se cache un acteur historique de la lingerie française, un vétéran qui revendique un savoir-faire dédié aux “beautés généreuses” et qui fabrique encore à la main, en France et avec des étoffes travaillées sur place.

Et on est loin de la petite boutique-atelier, même si l’on est véritablement dans un atelier.
Car le concept de l’Atelier Lingerie Empreinte, c’est de pouvoir personnaliser votre lingerie à l’aide de multiples petits accessoires proposés sur place.
Nœuds, pendentifs, rubans et même broderies personnalisées sont exposées et proposées en sur mesure, pour rendre votre lingerie absolument unique et propre à vous.
La couturière sur place s’occupe de fixer ou de rendre détachables vos froufous et vous voilà parée d’une lingerie à votre image.
Et ce n’est pas très cher puisque les prix commencent à 0.20 € pour les accessoires.

Le “bocal” de la couturière et un échantillon des babioles pouvant personnaliser votre lingerie

Mais bon, personnellement ce n’est pas ce qui m’a le plus emballé sur place.
Car j’ai surtout adhéré au concept de shopping de ce lieu.

Car ce qui surprend le plus en entrant, ce n’est pas l’atelier en bocal, mais l’absence de rayons et de modèles exposés.
Il n’y a, en tout et pour tout, que 8 modèles exposés, dont 6 qui ont été personnalisés.
Pour une boutique de vente aux particuliers, vous admettrez que c’est assez déroutant !

Et c’est normal, car le concept de vente est d’ultra-privilégier les clientes :
1- On vous accompagne au sous sol, dans une cabine privative
2- On prend vos mesures complètes en sous vêtement.
3- La vendeuse ressort…
4- … et là c’est le rêve de toute fashion-addict qui se réalise !
Car la vendeuse vous apporte l’ensemble du rayon à votre taille !

Oui oui, vous avez bien lu : l’ensemble des modèles existant dans votre taille vous sont apportés dans votre cabine (et rassurez vous, c’est spacieux !)
Et la vendeuse n’est pas là pour faire de la vente forcée, car même s’il n’y a pas de prix sur les articles, vous disposez d’une machine à lire les étiquettes dans la cabine !

Ma cabine d’essayage (on tiendrait facilement à 4 dedans…)

Autant vous dire que j’ai presque fâché mes copines en trustant l’une des trois cabines pendant un certain temps (j’ai essayé tous les modèles qui me plaisaient). Les conseils reçus étant digne d’une cliente VIP…
La vendeuse était au petit soin pour m’expliquer comment choisir la forme qui m’irait le mieux, quels modèles choisir en fonction de mes vêtement et même comment vérifier que le soutien-gorge était parfaitement à la bonne taille et surtout satisfaisant pour le confort du dos !

Bref, j’ai adoré l’expérience shopping car j’avais l’impression d’être une grande dame… pour un prix moyen tout à fait correct !
Les soutiens-gorges vont ainsi de 80 à 130 €.
J’ai moi-même choisi deux parures, l’une à 139 € et l’autre à 122€. La vendeuse m’a d’ailleurs dit que les clientes passaient à peu près une demi-heure en cabine et repartaient avec une parure.

Au regard de la qualité de la lingerie et du service reçu, je vous garantis qu’on en a vraiment pour son argent !!!

De la dentelle sans aucune couture, pour un confort parfait <3 J’adore !

Inutile de vous préciser que j’ai été complètement convaincue par la marque, son savoir-faire et les conseils à la fois experts et pas du tout hautains de ses vendeuses.
Je sais qu’il n’est pas facile de s’offrir une parure à plus de 100 € ou un maillot de bain au même prix, mais la qualité est bel et bien à la hauteur de cette “petite folie”.

Car si le prix est d’un tiers supérieur à une lingerie standard, le confort, le choix et surtout la qualité des produits ne sont en rien comparables lorsqu’on cherche des produits supérieurs à un bonnet C ou D.

Et je ne parle même pas de l’accueil et de la vente façon VIP !
Donc si cet article est bien un Article sponsorisé, le fait que j’ai acheté moi-même une autre parure sur place devrait vous rassurer sur mon objectivité en cette occasion ^^

Je compte d’ailleurs réinvestir chez eux prochainement ; tout ce qui, dans mon placard, n’est pas parfaitement à ma taille (ou un peu trop vieux) sera remplacé par des modèles Empreinte.

( Mais là j’espère qu’ils feront des soldes en été :p)

Plus d’informations : www.empreintelatelierlingerie.com – Plus de photos :

Categories // Article monétisé Tags // atelier, empreinte, grande taille, lingerie, personnalisation, ronde

Bloguer en “toute transparence” ou en “toute objectivité” ? Que faut-il dire (ou pas) sur les produits reçus ?

06.06.2012 by Mlle Gima //

Dernièrement je suis tombée sur un article qui remettait le couvert sur l’obligation de signalétique dans les articles de blogs…
Un propos qui disait, en somme :
– qu’il est illégal de faire un article rémunéré financièrement sans le dire (là, je suis à 250% d’accord)
– qu’il est illégal de faire un article sans préciser qu’on a reçu le produit en question de la part de la marque (et là, par contre, c’est faux.)

Ça faisait longtemps que le sujet n’était pas ressorti, et j’ai pris le temps de faire une énorme réponse sur l’article (chez “histoire de pot”, ici). Une tartine si longue qu’il m’a semblé intéressant de reprendre mon propos ici, avec quelques infos et des liens en plus. 😉

 

Je ne veux pas vraiment relancer un debat qui finit (de toute façon) toujours en queue de poisson, mais lorsqu’on aborde ce sujet avec des blogueurs de tous types, on s’aperçoit que chacun a sa vision des choses.
Or, pour une fois, il apparaît que j’ai un avis extrêmement tranché sur la question !

 

Car pour moi, il est impensable de devoir signaler à chaque article si j’ai : oui ou non payé le produit, reçu le produit pour faire un article ou pour faire un test, reçu l’information au cours d’une soirée dédiée, dans une conférence de presse ou même par un communiqué de presse (dois-je préciser si c’est un joli communiqué imprimé papier ou un pdf par envoi de mail ]:-)) ?

D’ailleurs, si on pousse la réflexion, il faudrait que cela s’applique aussi aux concours…
Il m’arrive souvent de faire gagner des produits que j’ai reçu pour moi, et non pas des produits proposés d’office en concours et envoyés par les marques. Des produits que j’envoie ainsi à mes frais.
Est ce qu’il faudrait que je vous avertisse aussi de cette différence là encore ?

Actuellement il y a bien les 3/4 (si ce n’est plus) de mes articles qui sont alimentés par des produits reçus.
Sans mentir, je reçois actuellement plus de trucs que certaines amies journalistes et ce n’est pas un hasard si les concours des gros paquets sont nés depuis lors.

Ainsi, vous comprendrez que faire le distinguo entre un produit reçu et un produit acheté, je m’en cogne comme de l’an 40* !

Car oui, j’ai la non-modestie de croire que je ne fais pas de différences entre des produits reçus et d’autres. 😉
J’en veux pour preuve que j’aurais les doigts en sang à force de taper sur mon clavier , si je devais faire un article sur chaque produit reçu !

 

Donc bon, ce n’est que mon avis… et je me trompe peut être.

Après tout, je suis à la fois blogueuse et consultante pour des marques. Je flirte ainsi avec un dangereux équilibre.
D’ailleurs,  mon entretien avec la répression des fraudes l’année dernière a bien mis en lumière cette impossibilité de dialogue entre moi et un observateur extérieur : j’ai une conviction inébranlable dans ma capacité à rester objective alors qu’un observateur extérieur aura toujours le droit et l’envie de remettre cette éthique en cause…

 

Ainsi,  je préfère finalement vous laisser seuls juges de mon objectivité.
J’ai d’ailleurs ajouté une note sur la colonne de gauche du blog à ce sujet 😉

Et lorsqu’on lit des commentaires qui disent (en somme) “j’ai adoré l’article et j’ai couru acheter le produit“, je vous garantis qu’on a la pression et l’obligation de rester toujours objective !
Parce que même lorsqu’on vire “blogueuse pourrie gâtée*”, on n’oublie pas que d’autres personnes comptent sur nous pour les aider à acheter le bon produit et ne pas gaspiller leurs sous ! 🙂

 

Illustration dédicace au groupe Facebook “on est pas des cruches” 😉

Pour info, voici la réponse que j’ai faite chez Histoire de Pot sur son article “Blogueuse es-tu dans l’illégalité ?” :

Mes connaissances en la matière datent d’il y a un an, mais à l’époque ce qui m’a été répondu par la répression des fraudes est qu’il n’est pas du tout obligatoire de signaler lorsqu’un produit a été reçu d’une marque.
L’obligation (et l’article de loi) ne concerne que la rémunération financière, et non pas en nature.
Il n’y a donc AUCUNE illégalité à ne pas mettre une mention lorsqu’on a reçu le produit.

Et personnellement je trouve l’idée contraire assez c**.
Si on se réfère à ce qui se passe aux USA, le terme “article sponsorisé” s’applique à tout avantage financier ou en nature.
Et si on devait l’appliquer en France ça deviendrait n’importe quoi…

Je prends mon cas personnel.
Pour chaque article il faudrait que je précise :
– quand j’ai reçu de l’argent en échange (ce que je trouve parfaitement normal)
– quand j’ai reçu un bon d’achat en échange (ce qui est beaucoup plus fréquent qu’on ne veut bien l’admettre actuellement…)
– lorsque j’ai reçu le produit (seul) pour test
– lorsque j’ai reçu le produit (parmi d’autres) pour test
– lorsque j’ai reçu le ou les produits avec un petit cadeau qui n’a rien à voir ?
– lorsque j’ai eu l’information via la réception d’un communiqué de presse
– lorsque j’ai eu l’information au cours d’une soirée rincée par la marque
– STOP !!!

Ça deviendrait n’importe quoi.
Qu’on veuille être transparent c’est normal et il faut ab-so-lu-ment lutter contre ce que j’appelle “les menteries”… Mais l’excès de transparence nuit tout autant que les mensonges et les faux-plans de certains !

L’année dernière (ou en 2010, je ne me rappelle plus***) j’ai essayé de mettre cette nomenclature en place, après en avoir discuté avec les lectrices ; le constat au bout de deux mois était relativement simple :
– c’était une prise de temps et un excès de transparence justificative qui polluait l’article, et dont une partie des filles se fichait
– quant aux filles qui ne s’en fichaient pas, elles disaient elles-mêmes que ça biaisait leur lecture de l’article.

Donc assez de “bouh c’est mal de ne pas faire la distinction entre ce que t’achètes et ce que tu reçois” parce que c’est en jouant les ayatollahs de cette doctrine qu’on stigmatise nos plumes et qu’on oublie d’être “vraiment” objective, qu’on ait claqué notre argent de poche ou reçu le produit qu’on est en train de juger.

Personnellement j’ai fait fi de cette réflexion sans fin et je ne m’en porte pas plus mal.
D’ailleurs ça m’emmerderait tout autant de devoir faire le distinguo :
– “livre offert par une amie”
– “livre offert par une marque”
– et “livre offert par une marque dont l’attachée de presse est une amie et je ne sais pas si ça va pas me rendre subjective dans mon jugement”

(Désolée, j’ai encore écrit un pavé mais ça faisait longtemps qu’on n’avait pas mis le sujet sur le dessus de la table. ^^)

 

*Mon dieu, je deviens vulgaire maintenant ^^
** J’ai dit que j’avais aussi l’outrecuidance de me penser réaliste :p
*** en fait ça date de 2010 et c’était les fameuses catégories “Produit offert” et “produit prêté”

 

Categories // Blogosphère, Humeur Tags // article sponsorisé, blogueurs, objectivité

La blogueuse est-elle une personne normale ?

05.30.2012 by Mlle Gima //

Comme vous avez pu le constater, je n’ai pas blogué depuis trois semaines. Et c’est tout à fait normal. Enfin presque…
Pendant ces trois semaines, je me suis volontairement interdit de bloguer pour tenir un pari et surtout tenter une expérience : j’ai essayé de vivre dans la peau d’une non-blogueuse.

Car voilà, ça va faire 10 ans que je blogue.
Ma pratique du blogging a beaucoup évoluée et changée depuis les débuts, et ça ne fait que 5 ans je suis une true-serial-blogueuse 😉
J’ai tellement intégré mes blogs dans ma vie de tous les jours que je me demande parfois comment font les autres.
Tout ce temps que j’occupe par les blogs, qu’en font-ils ?

Car dans la semaine d’une MlleGima, il y a plusieurs vies à la fois (et je ne suis pas la seule blogueuse dans ce cas là).
J’ai déjà un emploi qui me prend 9 heures par jour.
J’ai aussi ma vie personnelle et notamment de gros travaux immobiliers qui me mangent tous mes weekends.
Et avec ça, j’ai aussi “le blog”.

Derrière ces deux petits mots se cachent une réalité beaucoup plus complexe qu’il n’y parait. Car derrière “le blog”, il faut bien comprendre que se cachent 2 à 3 présentations presse par semaine, 5 à 6 heures de rédaction entre brouillons et textes définitifs, les photos à réaliser et à traiter et, évidemment, les tests des produits !

D’ailleurs vous comprendrez à l’énumération de ces “tâches” qu’il est assez désagréable d’entendre dire “t’as trop de la chance de recevoir tout ces produits” alors qu’il n’est pas vraiment question de “chance” mais surtout de travail, de temps, d’entêtement et essentiellement de passion !

Illustration de la brillante Pulupulu,
tirée de l’excellent article “Etre blogueuse mode influente et travailler dans une PME” de Carine Rouzic pour Save My Brain
 

Or voilà que pendant 3 semaines, j’ai dû réfréner tous mes réflexes de blogueuse. ^^
Pas de “tiens, il faudrait que j’en fasse un article“. Pas de “Je rentre pas trop tard, j’ai plusieurs articles à écrire ce soir“. Et encore moins de “faut que je me connecte pour mettre en ligne l’article et suivre les commentaires“.
Pendant trois semaines, je ne me suis autorisé qu’une seule partie du “métier” de blogueuse : les présentations presse et les évènements de blogueuses.
Parce que je ne pouvais pas non plus prendre trop de retard…

Or, le constat est clair : c’est une tout autre vie !
Je n’ai jamais eu autant de temps libre pour m’occuper de ma vie de tous les jours et surtout, pour “ne rien faire”.
J’ai revu pas mal de copines, j’ai fait des couses en long en large et en travers, j”ai mis à jour toutes mes paperasses en retard, j’ai pas mal cuisiné, beaucoup bricolé, lu 4-5 bouquins et… me suis presque ennuyée !
Car si je dois tirer un diagnostic de cette expérience (pas désagréable en soit), c’est que la pratique du blogging est nourrie deux deux choses :

– l’hyper-curiosité, et l’envie constante de partager et raconter (je suis ne pas Miss “blablabla” pour rien ^^)

– l’hyperactivité, c’est d’ailleurs cette hyperactivité qui me semble être le point commun avec pas mal d’autre blogueuses. Notamment celles qui conjuguent vie professionnelle/vie personnelle/vie de blogueuse.

Car il faut quand même une grosse dose d’énergie pour arriver à nourrir un quotidien de salariée (au contraire du freelance qui est beaucoup plus flexible), une vie privée assumée (voire souvent familiale), et tout le travail et la passion que suggère la pratique du blogging.

Personnellement, j’ai trouvé que cela faisait du bien de faire une pause.
Parce qu’il est agréable de s’affranchir du poids des publications et des mises à jour. C’est aussi agréable de pouvoir s’oxygéner le cerveau en dehors du rythme boulot/famille/blogging.
Mais une fois qu’on a pris goût à ce bouillonnement constant, il est aussi extrêmement difficile de s’en passer.
Et si j’ai apprécié de prendre trois semaines “dans la peau d’une autre”, j’ai le clavier qui me démange devant tous les articles que j’ai dû réfréner pendant ce temps.

 

 

 

Categories // Blogosphère, Humeur, Le blog Tags // blogueuse, vie de blogueuse, vis ma vie

« Page précédente
Page suivante »

Rechercher sur ce site :

Privacy & Cookies: This site uses cookies. By continuing to use this website, you agree to their use.
To find out more, including how to control cookies, see here: Politique relative aux cookies

 

Chargement des commentaires…