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Vous avez dit régime ? Je dit rééquilibrage alimentaire !

05.04.2011 by Mlle Gima //

Je crains de commencer à vous saouler avec mes articles sur la minceur... Il faut dire qu’on a déjà fait un article-débat sur le principe et qu’il y a toujours le banc d’essais des crèmes minceur en cours. Mais je dois dire que cette année, ce sujet me tient particulièrement à cÅ“ur. D’une part parce que j’ai fais un “pic pondéral” en plein mois de mars (+6 kilos) mais aussi parce que je me marie en septembre. Or, qui dit mariage dit robe et l’angoisse de ne plus pouvoir rentrer dedans le jour J.

Donc depuis 1 mois je me bagarre avec le monde du régime. Le régime est un mot que je ne supporte pas. Pour moi, il est complétement lié à la notion de frustration. Et se frustrer, c’est la meilleure façon pour grossir. Je préfère donc la notion de rééquilibrage alimentaire qui veut parfaitement dire ce qu’elle veut dire. C’est une rééducation pour retrouver un équilibre alimentaire naturel.

Au jour d’aujourd’hui, j’ai reperdu 5 kilos en prenant des mesures alimentaires (sur 1 mois). J’ai aussi perdu plus 5 cm de tour de taille mais c’est surtout dû au Cellusonic (dont je suis super contente et dont je vous parlerai plus tard).

Or depuis 1 semaine, j’ai aussi accepté de tester une cure minceur pour accélérer la perte de poids, descendre en dessous de mon poids naturel (82kg) et retrouver éventuellement un IMC normal (en dessous de 78kg). Mais avant de vous parler de cette nouvelle méthode, je voulais à tout prix vous parler de Kitchen Diet qui est, selon moi, le meilleur accompagnement diététique que j’ai pu essayer depuis longtemps.

Kitchen Diet et moi.

En aout de l’année dernière, j’ai eu envie de revoir mon alimentation et, comme tout le monde, je me suis enflammée en me disant “cette fois c’est la bonne”. J’ai voulu faire une cure choc et voir si j’allais tenir. Du coup l’idée du programme Kitchen Diet m’a beaucoup séduite et j’ai testé une semaine de programme complet.

Soit un petit déjeuner KD, 1 repas KD, un encas KD  et à moi de me débrouiller pour le dernier repas de la journée.

Franchement j’ai a-do-r-é les plats, et je me suis fait plaisir avec bonne conscience. Mais avec la vie de couple et l’habitude de manger trop ce fut un échec… J’étais incapable de faire tout bien comme il faut.

Du coup j’ai changé d’optique et réinventé mon usage du programme Kitchen Diet.

MOI et Kitchen Diet.

Expliquer pourquoi je n’utilisais pas les produits de la marque normalement était facile : je suis une flemmarde et une gourmande !  Si je n’arrive pas à suivre une diète ou un vrai régime, c’est parce que je ne veux pas me frustrer et que je préfère être à l’écoute de mon corps pour mincir. C’est à dire écouter la sensation de faim, d’envie et de satiété.

Ce printemps, j’ai donc repensé ma façon d’utiliser ce programme et je me suis composé mon propre rééquilibrage alimentaire. Le but ? Ne pas aller à l’encontre de ma façon de vivre, mais réhabituer mon corps à manger juste ce qu’il faut, en me faisant plaisir et en évitant les mauvaises habitudes.
Sachant qu’avec ça je ne prenais plus le temps de cuisinier, Kitchen Diet allait m’apporter une aide diététique mais aussi une aide pratique pour manger comme il faut sans me fouler…

J’ai passé commande “à la carte” sur le site, en achetant juste des plats et des encas (barres de céréales et barres chocolatées).

J’ai remplacé le petit déjeuner par une barre de céréales avec jus de fruit et café.
Pour le repas de midi je réchauffe au micro onde l’une des plats et je m’ajoute un dessert (fruit ou yaourt) avec mon café et un carré de chocolat.
Pour le gouter, je prend un barre en cas et je prépare mon repas du soir.
Parfois il m’arrive aussi d’échanger la barre du gouter le fruit ou le yaourt du dessert…

Bref, ça peut vous paraitre light, mais les barres encas sont très satisfaisantes en terme de satiété. Et pour ne pas avoir l’impression de ne pas avoir mangé au repas, il faut impérativement sortir les aliments de la barquette et les disposer sur une assiette en prenant le temps de déguster ce que l’on mange.

Et ça marche parfaitement. Oui j’ai perdu 3 kilos en 3 semaine mais je réhabitue surtout mon estomac à manger la juste dose. J’écoute la satiété !

Pourquoi j’aime Kitchen Diet ?

Pourquoi écrire billet si élogieux sur ce produit ? N’allez pas croire que je suis payée pour ça, au contraire, c’est moi qui leur donne des sous :p

J’achète des produits chez eux depuis l’année dernière, après qu’ils m’aient envoyé gratuitement une semaine d’essai.

Parce que ça m’a convaincu.
Parce que je trouve ça savoureux.
Et surtout parce que je trouve ça ultra pratique
: ça ce chauffe au micro onde, c’est goûtu et une fois présenté dans une assiette c’est un repas qui donne envie et qui cale !
Et  je peux manger les yeux fermés puisque les rapports caloriques et la diversité des produits est calculée pour moi !

La parfaite adéquation entre ma flemme et la nécessité de tenir ma ligne !

Alors oui, par contre,  ce n’est pas donné. Il faut compter de 6,50€ à 8,50€ pour un plat. Mais ce sont des aliment frais, bien cuisinés et livrés en colis fraicheur aux créneaux horaires que vous choisissez.

Et si vous regardez les ingrédients par rapport à n’importe quelle marque de plats préparés allégés, ça n’a rien à voir !

Et si vous essayiez vous aussi ? Code promo exclusif !

Je sais que mon article est un peu trop dithyrambique pour être facile à croire (quand j’aime vraiment, j’ai tendance à user de superlatifs 😉 ) Alors pour la peine je me suis rapproché de la marque en demandant une remise pour que vous puissiez vous aussi essayer à moindre cout. Et parce qu’on s’entend assez bien, j’ai obtenu une remise de -30 % sur tous vos produits pendant 7 jours ! (le code est valable jusqu’au 31 mai !)

Alors n’hésitez pas à tenter l’aventure avec quelques plats et des barres d’encas.

POUR PROFITEZ DE LA REMISE DE -30% : utilisez le code “MCFloveKD” lors du paiement de votre commande.
Site Web : http://www.kitchendiet.fr/

Et pour celles qui veulent en savoir plus vous pouvez aussi regarder le film institutionnel qui brosse un portrait complet du programme :


Kitchendiet, les repas minceur frais par kitchendiet

Categories // Minceur et Régimes Tags // alimentation, équilibrage alimentaire, diet, kitchen diet, Minceur et Régimes, perte de poid, plats frais, régime

Du danger du sucré : le cas controversé des édulcorants et de l’aspartame.

06.17.2008 by Mlle Gima //

Vous en avez tous plus ou moins entendu parler un jour, il semblerait que l’aspartame, malgré ses promesses de gourmandise et d’apport nul en calories, serait dangereux pour la santé. Moi personnellement je l’ai toujours entendu dire, mais dans ma famille tout le monde s’en sert généreusement. Il n’y a que moi pour rester fidèle à ma bonne vieille cassonade et mon sucre plus ou moins raffiné. D’ailleurs ça se sent ; l’âge et le sucre commencent à m’arrondir sérieusement les hanches.

Suite à une campagne qui ne va pas tarder à envahir vos écrans et l’épidémie de minceur estivale, je me propose de faire un petit point sur la question et essayant de rester objective bien que critique (comme d’habitude quoi :p).

Déjà qu’elle est la différence entre ces termes d’aspartame et édulcorant ?

Le terme d’édulcorant est générique et désigne tout ce qui a un pouvoir sucré, naturel ou non. Mais quand il y a noté édulcorant sur la liste des composants, il s’agit alors d’édulcorant de synthèse. A savoir que le composant peut être naturel mais extrait de manière synthétique.

Il existe les édulcorants avec des calories (maltitol, sorbitol) et les édulcorants sans calories appelés édulcorants intenses comme l’aspartame et la saccharine.

Tous ces édulcorants sont toujours comparés au sucre (saccharose) pour établir leur pouvoir sucrant. Certains vont vous être vendus dans un produit façonné, d’autre en petite pilule pour sucrer et d’autre enfin sont désormais mélangés à du sucre pour en atténuer le poids calorique (si je puis dire).

Maintenant, la question qui se pose est :

Ces édulcorants sont il sain pour le corps ? Ont-il des effets insoupçonnés ? A-t-on prouvé leur innocuité ?

Toutes ces questions viennent des doutes étant apparus sur l’aspartame. Découvert en 65 mais commercialisé pour son pouvoir sucrant en 74 (USA) et 91 (France), le produit est à la base découvert par « erreur » lors de recherches sur les ulcères. Dès le début de la commercialisation, les gens ont commencé à crier au loup sans qu’on en sache plus. Les indices que j’en ai sont qu’en 73 une équipe de chercheurs américains (Dr John Olney ?) démontre que le produit détruit le système nerveux du rat et est cancérigène ; le produit est temporairement retiré avant d’être réintroduit. La suite sera une éternelle danse entre étude prouvant la dangerosité et mesure pour faire passer. (Se reporter à ce site pour plus d’informations )

Quoi qu’il en soit, on accuse l’aspartame d’augmenter les tumeurs du cerveau, d’être cause du développement de la maladie de Parkinson, de sclérose en plaque, j’en passe et des meilleures. Il faut dire que, vu la controverse, il arrive régulièrement de nouveaux doutes à son sujet.

Mais, sans vouloir défendre l’aspartame, je signalerais quand même que le nombre d’études en sa défaveur est plutôt peu encourageant, la liste des effets secondaires est plus longue que celle d’un médicament, l’engrenage des réactions chimiques qu’il provoque est plutôt suspect et son appartenances aux excitixines (additif qui excite les neurones au risque d’une surexcitation mortelle) laisse transparaître qu’il faut en freiner l’usage.

A ce sens je signale aussi qu’il y a des recommandations de posologie quotidienne (oui, comme pour les médicaments), car on sait par exemple que plus de 30gr de sorbitol par jour donnent des diarrhées. Pour l’aspartame, l’OMS et le FAO (comité international d’experts pour l’alimentation et l’agriculture) ont déterminé que le seuil d’innocuité était une dose quotidienne de 40mg/kg. Soit, si vous faites 70 kilos, 2800mg. Il semblerait que ce soit bien en dessous des consommations réelles, même pour les diabétiques.

Mais on prévient tout de même que les édulcorants sont déconseillés aux femmes enceintes, allaitantes et au enfants en bas âge (principe de précaution mais tout de même).

Ce que je retiens du cas de l’aspartame, c’est qu’il est traité en bouc émissaire de tous les autres édulcorant MAIS qu’à chaque étude compromettante les agence de santé répondent par des travaux dont les recherches rassurent (exemple : http://www.cancer.gov/cancertopics/factsheet/AspartameQandA).

Seulement, son fameux travail scientifique est financé par de grandes firmes, parfois liées à l’industrie agroalimentaire. Qui plus est, dans les firmes qui ont lancé les édulcorants on a vu un turn-over important du personnel jusqu’aux années 2000. Je ne suis pas pour la théorie du complot, mais celle du capitalisme pourri me séduit assez :p

Nous avons la chance en France d’avoir la mention des composants obligatoire, ce n’est pas pour rien et c’est surtout un avantage dont il faut savoir jouer.

Edulcorants et poids.

Il me semble aussi nécessaire de parler d’une chose. Pourquoi ingurgitons nous ces additifs alimentaire ? Tout le monde est d’accord : c’est pour leur pouvoir sucrant et leur faible dose (ou absence) de calories.

Mais cette idée de moins de sucre moins de calorie est biaisée par le fait que l’agroalimentaire doit contrecarrer cette baisse de sucre par autre chose, et notamment des graisses. Au final entre un produit light et un produit normal la différence est souvent faible quant au potentiel de prise de poids. Sans compter qu’en général on va manger plus de produit light que ce qu’on mangerait d’un produit normal parceque ça ne fait pas grossire. Et dois je signaler que les édulcorants on pour effet déviant de créer une addiction au sucré?

Alors à ce compte là, à quoi sert-il de prendre des risques avec cet additif ?

A titre informatif sachez que le 28 août est la journée mondiale de sensibilisation au dangers de l‘aspartame :p

Categories // Santé Tags // alimentation, aspartame, éulcorants, light, Minceur et Régimes, santé, stévia

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