Mon Côté Fille

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Archives pour 2012

Avis sur le livre “Miroir, mon beau miroir : une histoire de la beauté”

03.19.2012 by Mlle Gima //

Les histoires de la beauté, c’est comme les essais sur la philosophie : chacun écrit le sien comme s’il était une révolution, en oubliant que certaines sciences humaines sont avant tout viables parce qu’elles sont sujettes à la subjectivité de chacun. Et c’est ça qui fait la beauté du tout : la somme des partis pris individuels que l’on ne résumera jamais dans une parfaite synthèse. Or, quand il est question d’esthétique, il est quasiment toujours question de parti pris (personnel, sociétal, historique, etc …)

Pour autant, il est possible d’écrire une (ou des) histoire de la beauté qui sache se fondre dans un moule historique et sociologique pour devenir une Histoire objective et partiale…
C’est justement l’impression que j’ai eu en parcourant “Miroir, mon beau miroir, une histoire de la beauté”. L’impression de lire Une Histoire impartiale qui s’applique à donner des jalons et des informations objectives, même en attaquant la difficile période contemporaine 😉

Miroir, mon beau miroir : Une histoire de la beauté
De Dominique Paquet – Édition Gallimard – Collection découverte Gallimard- Prix éditeur 14,30 €

Ce que j’en pense :

D’abord je dois avouer un truc : j’ai toujours adoré les “découvertes Gallimard“! Ça remonte au collègue-lycée, lorsque je passais des heures à découvrir n’importe quel sujet digne d’intérêt à la bibliothèque. Ces livres sont pour moi une parfaite synthèse des sujets qu’ils abordent.
J’avais donc de grandes attentes sur ce tome dédié à l’histoire de la beauté…
Et une fois de plus, les “découvertes gallimard” ont relevé le défi haut la main 😉

Du contenu de qualité, un maximum d’images pour illustrer les propos et des “zoom-on” pour attirer notre attention sur des détails de l’histoire et des modes anciennes.
J’ai a-do-ré cette traversée des temps qui débute à l’Antiquité et nous accompagne jusqu’à l’époque contemporaine.

Bien sûr, on y parlera des canons de la beauté et de la morale esthétique de chaque époque occidentale. Mais on y parlera aussi d’outils et de produits de beauté, on abordera la philosophie ou la sociologie qui se cachent derrière telle ou telle mode, et on se documentera toujours avec des images et du matériel d’époque.
Le propos est fluide, toujours très clair et documenté… un vrai plaisir à la lecture !
D’ailleurs, on peut aussi bien lire ce guide de A à Z ou picorer des chapitres par ci par là… au gré des envies et de sa curiosité !

Ce livre pourrait se vouloir “sans prétention”, mais il représente pour moi une parfaite entrée en matière pour celle qui se pose des questions sur les origine de la beauté et de ces modes…

La Note Culture-Beauté :

Quatrième de couverture :

La beauté est un art, légué, dit la Genèse, par l’ange Azazel qui, après la chute d’Eve, montra aux femmes “l’art de se peindre le tour des yeux à l’antimoine”. Un art dont les critères ont évolué selon les époques, les croyances, la morale, les techniques. Bains et onguents en Egypte, éclat du fard et de la couleur, véritable emplâtre de séduction à Rome, dictature du rouge et du blanc, austérité retrouvée dans les premiers temps du christianisme, et la découverte, fabuleuse, des artifices de la beauté orientale ramenés par les croisés au Moyen Age, céruse, rouge aux joues et mouches à l’âge classique, retour à la beauté naturelle aux XVIIIème siècle, enfin apparition des premières industries cosmétiques au XIXème, prélude à une beauté moderne qui multiplie aujourd’hui ses modèles. Dominique Paquet raconte l’histoire d’une fascination et d’une espérance qui, depuis la plus haute Antiquité, préside à l’hommage que chaque humain, homme ou femme, se doit de rendre à la maladroite nature et, ce faisant, à l’autre sexe.

[Lire plus…]

Categories // Livres Tags // beauté, Découvertes Gallimard, Dominique Paquet, essai, esthétique, histoire, histoire de la beauté, livre, mon beau miroir : Une histoire de la beauté"

Avis sur le livre “la guerre de la beauté”, une histoire croisée de L’Oréal et Rubinstein

03.12.2012 by Mlle Gima //

L’hiver est la saison où je lis le plus. Il n’est donc pas étonnant de voir ma “pile à lire” s’effondrer ces dernier temps… Je trouve environ une quinzaine de livres intéressants sur la theme beauté chaque année (sur environ une trentaine de titres lus). Mais celui que je souhaite vous présenter ici est différent. J’ai mis un bon trimestre avant d’en faire un article car il n’est pas facile de savoir comment en parler. Car “la guerre de la beauté” est à la fois une double biographie, une sociologie de la beauté actuelle et… un livre d’histoire ! Oui, rien que ça…


La Guerre de la beauté : Comment l’Oréal et Helena Rubinstein ont conquis le monde
De Ruth Brandon – Édition Denoël – Prix éditeur 20 €

Ce que j’en pense :

Lorsque j’ai acheté ce livre en novembre dernier, c’était par envie de lire des biographies des personnages cultes de la beauté. En l’occurrence, j’ai pensé qu’un livre qui parle à la fois d’Hélena Rubinstein et d’Eugène Schueller (Mr L’Oreal), serait amusant puisqu’on peut facilement opposer “la femme juive qui lancera un empire cosmétique”, et “l’homme français qui lança un empire cosmétique avant d’être taxé de collaborateur et/ou de résistant”.

Or, ce qui est particulièrement intéressant dans ce livre, c’est qu’il joue tout le temps sur le ping-pong historique de ces deux personnages, ou plutôt de leurs empires…
Un axe d’entrée peut être un poil trop manichéen, mais qui a l’avantage de se mouler dans un récit tant industriel, humain que sociologique et historique.

Car le point fort du livre, c’est de vous injecter un savoir périphérique à 360° ! Si vous n’êtes pas à l’aise avec l’histoire contemporaine de l’après guerre en Europe, ce livre vous offre un cours de rattrapage immédiat et exhaustif !
Et parfois on s’y perd… car on peut se lasser au fur et à mesure des incartades historiques et politiques du livre…

Pour autant on s’attache très vite aux histoires mouvementées des ces deux “héros” et des multiples personnages qui transitent autour…

Si vous avez envie de découvrir l’arrière boutique et les racines des empires Rubinstein et L’Oréal, ce livre est fait pour vous.
Si vous avez envie de découvrir le siècle passé autour de ces deux succes-story (et de toutes les querelles qui les ont entourés), ce livre est aussi fait pour vous.
Mais si vous voulez juste en savoir plus sur les marques L’Oréal et Rubinstein, ce livre risque de vous lasser car, malgré la somme considérable d’infos qu’il recèle sur le sujet,  il encadre celles ci d’un torrent d’autres informations qui peut paraitre trop riche !

La Note Culture-Beauté :

Quatrième de couverture :

En 1909, Helena Rubinstein ouvre son premier salon de beauté à Paris, l’année même où Eugène Schueller fonde L’Oréal. C’est l’acte de naissance de l’industrie cosmétique qu’ils incarneront l’un et l’autre, dans ses contradictions, tout au long du XXe siècle. Car si pour Helena Rubinstein les produits de beauté permettaient aux femmes de s’imposer dans un monde d’hommes, en revanche, aux yeux d’Eugène Schueller, ils devaient lui permettre de gagner suffisamment d’argent, et il en a gagné énormément, pour défendre des idées ultra-conservatrices. Qu’importe ce que faisaient les femmes de ses onguents, l’essentiel était qu’elles se consacrent à leur foyer. La Guerre de la beauté raconte les destins si dissemblables de cette jeune Juive qui fuit le ghetto de Cracovie pour tenter l’aventure, devenant ta première femme millionnaire, et d’un chimiste qui se pense en politicien avant de sombrer dans la collaboration et de léguer un empire à sa fille unique, Liliane Bettencourt. Le rachat par L’Oréal en 1988 de la marque Helena Rubinstein semble marquer la victoire posthume d’Eugène Schueller, mais ce sera au prix de la réputation de son entreprise : très vite le passé trouble des principaux dirigeants de la multinationale refait surface, déclenchant un scandale mondial. A travers cette saga passionnante, Ruth Brandon s’interroge sur notre attachement aux produits cosmétiques devenus réellement efficaces. Aujourd’hui, sur fond de nouveaux scandales et alors que la chirurgie et la possibilité de retoucher les photographies ont changé notre approche de la beauté, la guerre continue. Mais ce sont nos corps qui servent de champ de bataille. A travers ses publicités où des êtres humains parfaits vantent des articles miraculeux, les mêmes dans le monde entier, L’Oréal nous impose des idéaux inatteignables. Serait-il désormais interdit de vieillir ?

Biographie des auteurs :

Ruth Brandon est journaliste et romancière. Elle vit entre Londres et la France.

Images du livre :

Categories // Livres Tags // Eugene Schuller, Helena Rubistein, L'oreal, la guerre de la beauté, livre, Rubistein, Ruth Brandon

Gillette Venus ProSkin Sensitive – Le concours pour vos jambes sensibles.

03.09.2012 by Mlle Gima //

Comme on l’a vu  sur les résultats de l’étude “Les femmes et leur peau”, on constate que la majorité des femmes déclarent leur peau sensible, mais qu’elles utilisent quand même des rasoirs alors que 22% d’entre-elles pensent que l’épilation sensibilise leur peau… Une logique 100 % féminine qui appelait donc une réponse technique de la part de Gillette Venus.

La marque a donc cherché à répondre aux demandes identifiées en dernière partie de l’étude. A savoir :

  • vous êtes 73% à vouloir surtout de l’efficacité dans le rasage (un seul passage pour tout raser)
  • 65% à réclamer de la douceur (un rasoir qui glisse sans irriter la peau)
  • et 41% à vouloir un rasoir adapté aux peaux sensibles

La réponse est donc le nouveau rasoir Gillette Venus® ProSkin™ Sensitive

Et voici ce qu’en dit la marque :

Le rasoir Gillette Venus® ProSkin™ Sensitive répond à ces attentes et limite les irritations dues au rasage grâce à ses 3 grandes spécificités :

  1. 5 lames resserrées qui réduisent la pression sur la peau* lors de la coupe du poil permettant ainsi un rasage d’encore plus près tout en atténuant les sensations d’irritation.
  2. 1 ruban protecteur lubrifiant enrichi, avec 3 fois plus de lubrifiant par rapport à un rasoir Gillette Venus® Embrace pour une glisse tout en douceur.
  3. Le rasoir Gillette Venus® ProSkin™ Sensitive est testé dermatologiquement pour convenir aux peaux sensibles.
  4.  1 tête pivotante arrondie qui s’adapte à toutes les zones du corps pour un rasage confortable, même dans les zones difficiles à atteindre comme les chevilles ou l’arrière du genou.
  5. 1 manche ergonomique pour une parfaite prise en main

Personnellement j’aurais aussi insisté sur le fait qu’il est aussi plutôt esthétique : à la fois discret et féminin.

Rasoir Gillette Venus® ProSkin™ Sensitive

Le truc c’est que, moi, je ne me rase plus (Merci la lumière pulsée <3 ). Je ne peux donc pas le tester pour vous !
Après discussion avec Gillette Venus, il a donc été convenu de vous en offrir pour que vous puissiez le tester et me donner votre avis.

Ça vous tente ? Il y a 10 rasoirs à gagner

Comment participer ?

Laissez-moi un commentaire d’ici le dimanche 11 mars (inclus) en spécifiant “oui je veux bien recevoir le nouveau Gillette venus, l’essayer et donner mon avis sur Mon Côté Fille“.
On ne pourra envoyer les lots qu’en France (désolée pour les lectrices belges, suisses, camerounaises, etc mais la poste ne nous fait pas de cadeau :-()

Bonne chance à toutes

Pour celle qui veulent rester au rasoir classique il y a tout de même une mousse SatinCare qui a été formulée pour répondre à ces soucis de peau sensible 😉

Edit :  Résultats

Bravo aux 10 gagnants/gagnantes du concours :

  • Commentaire 75 : celia-ne
  • Commentaire 78 : priscilla
  • Commentaire 16 : Dachicourt marjorie
  • Commentaire 85 : king72
  • Commentaire  84 : Juliette
  • Commentaire 1 : SOPHIE
  • Commentaire 53 : soony
  • Commentaire 27 : Claire7799
  • Commentaire 24 : Maman est occupée
  • Commentaire 31 : Frootsloop

Attention, vous avez 8 jours (jusqu’au 20 mars inclut)  pour m’envoyer vos coordonnées postales par ce formulaire. (via l’email que vous avez utiliser pour participer )

A titre indicatif j’ai encore plusieurs personnes qui ont été tirées au sort mais dont la participation a été invalidé car ils n’ont pas su suivre les modalités de participation … -__-

Categories // Bon plan et concours Tags // épilation, Gillette venus, Gillette Venus® Embrace, Gillette Venus® ProSkin™ Sensitive, proskin, rasoir, satinecare

Résultats de l’étude ‘Les Femmes et leur peau”… ou comment la peau sensible est devenue la norme !

03.07.2012 by Mlle Gima //

Vous vous souvenez de cet article où je vous demandais de me parler de votre peau ? Je vous posais plein de questions sur votre relation à l’épiderme : “comment ressentez vous la peau de votre corps, que représente pour vous l’épilation, etc, etc” …

Il s’agissait de recueillir des témoignages pour préparer une table ronde sur la relation des femmes et de leur peau. La marque Gillette Venus cherchait ainsi à mieux comprendre ce que les femmes pensaient de leur corps, de leur peau et des méthodes dépilatoires.. En croisant nos témoignages et leurs données, ils ont ensuite commandé une étude nationale à l’institut Ipsos.
Et ça y est, les résultats de l’étude ‘Les Femmes et leur peau” sont tombés !

L’institut Ipsos a enquêté auprès de 1000 femmes âgées de 15 à 59 ans pendant le mois de novembre 2011. Et si je vous en reparle aujourd’hui, c’est que certains chiffres m’ont donné le tournis.
A commencer par celui-ci :

88% des femmes déclarent avoir une peau sensible !

Les femmes et la peau sensible :

88%, ce qui veut dire presque 9 femmes sur 10 !
J’ai été sidérée par cette donnée. J’ai beau savoir que la plupart des femmes appréhendent difficilement leur peau (et encore plus celle de leur corps), j’ai été très impressionné de voir que cette appellation “peau sensible” (minoritaire il y a encore 10 ans) était devenue largement majoritaire. D’ailleurs, cette appréciation n’est pas du tout conditionnée par le type de peau (sèche, grasse, …) ou l’âge (de 15 à 59 ans).

Pour mieux comprendre ce qui se cache derrière ce terme de “peau sensible”, la marque a interrogé une dermatologue (le Dr Sylvie Garnier Lyonnet) qui donne une réponse intéressante à la question “qu’est-ce qu’une peau sensible ?”

Qu’est-ce qu’une peau sensible ?

Une peau sensible est une peau qui, bien que ne présentant aucune particularité à l’examen clinique, réagit de façon excessive à des facteurs habituellement bien tolérés externes ou internes.
C’est pourquoi elle est aussi qualifiée de peau « hyper-réactive » avec un seuil de tolérance abaissé. Elle se caractérise par la présence de rougeurs, de picotements et d’irritations. Cette dernière sensation est véhiculée par les terminaisons nerveuses contenues dans la peau.
La peau sensible n’est pas un type de peau au même titre que la peau grasse, la peau mixte ou la peau sèche. C’est une caractéristique qui peut concerner tous les types de peau, à tout âge, mais certains types de peaux sont cependant plus souvent concernés comme les peaux sèches, fines, claires et translucides.
Cette sensibilité n’est pas forcément permanente, elle peut évoluer par crises pendant quelques jours, quelques mois ou encore en fonction des saisons. Les périodes hivernales et estivales, par leurs fortes variations de température, sont les périodes les plus difficiles pour les peaux sensibles.
La sensibilité d’une peau varie au cours du cycle menstruel et avec le statut hormonal. Ainsi, la deuxième partie du cycle avec son syndrome prémenstruel constitue une période pendant laquelle la peau est particulièrement sensible.
Notons aussi que la sensibilité cutanée a tendance à diminuer après la ménopause. Le visage est la zone la plus fréquemment atteinte, mais la peau du corps n’est pas épargnée avec une sensibilité variable suivant la localisation.

Vous noterez qu’elle précise bien que les peaux sèches et fines sont souvent les plus concernées par la sensibilité. Et je vous garantis (en tant qu’échantillon particulièrement représentatif ce type de peau ;-)) qu’il y a encore quelques années je galérais pour trouver des produits dédiés aux peaux sensibles. Alors qu’est-ce qui explique ce changement d’appréciation de la part des femmes ?

Mais derrière ces 88%, il y a un élément à ne pas oublier : la question concernait la peau en général ET la peau des zones épilées !
Et en dehors de celles qui jugent avoir la peau sensible “de façon générale” il y a 75% des femmes qui jugent leur peau sensible au niveau du maillot, 65% au niveau des aisselles, et 51% au niveau des jambes.
Lorsqu’on leur demande quelle est la cause de cette sensibilité, 57% expliquent que c’est la nature de leur peau, 22% disent que c’est à cause de leur mode d’épilation et 21% accusent les agressions extérieures.

Vu comme ça, je comprends beaucoup mieux l’ampleur de ce chiffre.
Si la peau des zones épilées est aussi sensible, c’est qu’il y a des filles à la peau sensible naturellement mais aussi parce qu’on a tendance à agresser notre peau sans vraiment faire attention ; soit par une épilation agressive, soit par l’intervention d’éléments extérieurs prévisibles (frottement des vêtements par exemple) ou incontournables (le froid, le chaud, la pollution…)

 

Les femmes et l’épilation :

L’autre partie intéressante de l’étude concerne donc l’épilation.

D’abord par les scores des femmes qui déclarent s’épiler. On a beau savoir que beaucoup de femmes s’épilent, on ne sait jamais si tout le monde le fait vraiment… On a tous une copine (ou copine de copine, voire copine de copine de copine) qui “laisse pousser”.
On apprend ainsi que les femmes s’épilent pour 95% les jambes, 94% les aisselles et 84% le maillot. Le maillot est donc toujours à la traîne, mais moins que ce que j’imaginais…

Mais l’information qui m’a (encore) surprise, c’est surtout que le rasoir reste toujours la méthode à laquelle on a recours le plus souvent (devant l’épilateur électrique, la crème dépilatoire et la cire) !
Car malgré la mauvaise presse du rasoir, il y a encore :

  • 58% des femmes qui utilisent un rasoir pour s’épiler les jambes au moins une fois par mois
  • 63% des femmes qui utilisent un rasoir pour s’épiler les aisselles au moins une fois par mois
  • 49% des femmes qui utilisent un rasoir pour s’épiler le maillot au moins une fois par mois

On a donc beau savoir que le rasoir favorise la repousse du poil… il semble qu’on ait toutes encore recours au rasoir parce que “c’est pratique”, “c’est rapide” ou “ça ne fait pas mal”.
Notre côté fille, c’est ça ?

L’aberration

Le truc, c’est qu’il y a quand même 22% d’entre nous qui pensent que c’est à cause de notre mode d’épilation que la peau est devenue sensible. Et lorsqu’on demande pourquoi, les réponses sont alarmantes :

Selon les femmes interrogées, les principales causes de ces irritations dues au rasage sont le résultat :

  1. D’une mauvaise préparation : seulement 30% des femmes qui se rasent utilisent une préparation à raser adaptée.
  2. Des rasoirs aux lames émoussées ou mal adaptées aux peaux sensibles.
  3. D’une utilisation des rasoirs de leur conjoint, colocataire(s) ou frère(s) (30% d’entre elles), alors qu’un rasoir masculin n’est pas adapté au corps féminin.

Parce que là je ne comprends pas…

Avec tout ce qui est désormais disponible sur le marché : gel, mousse, rasoir féminin, rasoir dédiés à certaines zones du corps, et surtout rasoir avec bande hydratante et protectrice incorporée…

Comment peut-on encore s’irriter la peau en se rasant ?
Pas étonnant qu’on ait la peau sensible si on se rase avec des lames émoussées ou à sec avec un vieux rasoir jetable !

Bref… je vous donne rendez-vous vendredi matin pour vous montrer (et faire gagner) la réponse de Gillette Venus à cette aberration…

 

 

 


 

Categories // Epilation, Santé Tags // Gilette Venus, Les Femmes et leur peau, peau sensible

Le baume apaisant réparateur d’Elisabeth Arden, avec ou sans parfum ?

03.04.2012 by Mlle Gima //

En tout début d’année je découvrais qu’Élizabeth Arden allait sortir son célèbre baume de 8 heures en version sans parfum. Une nouvelle imprévue mais ô combien retentissante puisque ce baume miracle était à la fois connu pour son efficacité et son parfum à la fois plaisant/déplaisant.

Pour preuve : lorsque je vous en ai parlé (“Vous allez aimer le nouveau baume de 8 heures“), vous avez été pour moitié à vous réjouir, et pour moitié à déclarer votre fidélité au parfum “inimitable” du baume de 8 heures.

Crème de 8 heure – Elizabeth Arden – Baume apaisant réparateur
A gauche la version classique – A droite la version sans parfum

 Cela fait maintenant plusieurs semaines que j’ai mis la main sur cette fameuse version sans parfum et je peux donc vous faire un retour à son sujet !

Mais tout d’abord, minute confession…
Car oui, je le confesse, j’adore cette odeur d’apothicaire qui est propre à la crème de 8 heures. Je comprends parfaitement qu’on puisse ne pas l’aimer, mais c’est à mon sens une signature de l’authenticité et de la simplicité de ce produit. Il marche depuis longtemps et c’est son meilleur argument de vente : malgré l’odeur on l’achète et le rachète, c’est dire s’il nous fait du bien !

J’étais donc assez suspicieuse à l’idée d’un baume apaisant réparateur qui soit sans ce parfum. A force d’utiliser le baume sur le moindre de mes petits bobos, son odeur était quasiment devenue un placebo pour moi 😉

 

  • Première surprise : le packaging.

Tous les baumes que j’ai achetés (ils ont souvent des éditions limitées) sont dans un tube à clapet. Ce qui est parfait quand on a deux mains gauches comme moi ; un ouvre d’un doigt, on verse et on referme l’air de rien. Le baume sans parfum bénéficie quant à lui d’un tube à bouchon qui se dévisse. Alors oui, il est plus sexy avec sa couleur rouge et son aspect glacé, mais il n’est guère pratique…

 

  • Second surprise : la texture.

On me l’avais bien dit mais je ne voulais pas y croire : la texture est très très légèrement différente. On retrouve un gel/crème épais, fluide et adhérant bien à la peau, mais la version sans parfum est très légèrement plus homogène et légère. Si on ne connait pas bien le produit on ne le remarque pas. Si on connait bien le baume, on apprécie le fini un tout petit peu plus glossy de la version sans parfum

 

  • Troisième surprise : la composition.

En fait pour changer un produit il n’y a pas de recette miracle : il faut changer la recette. Du coup on pouvait se demander ce qui allait se passer pour la composition. Et ma foi, il y a quand même pas mal de choses qui changent. Pour preuve il suffit de regarder les listes des ingrédients

  • Liste des ingrédients pour le baume traditionnel :

Petrolatum, Lanolin, Mineral Oil, tocopherol, BHT, Salicylic Acid, Castor Oil, huile vegetale, Corn Oil (Zea Mays), parfum, citral, citronellol, geraniol, limonene, limalool, propylparaben, Iron Oxides (CI 77491, CI 77492).

  • Liste des ingrédients pour le baume sans parfum :

 Petrolatum, Lanolin, Mineral Oil, acacia decurrens extract, dipteryx odorata beam extract, vanillin, tocopherol, tocopheryl acetate, BHT, Salicylic Acid, Castor Oil, huile vegetale, Corn Oil (Zea Mays), benzyl alcohol, Iron Oxides (C I 77491, CI 77492).

Donc, qu’est ce qui a disparu : parfum, citral, citronellol, geraniol, limonene, limaloolet propylparaben
Qu’est ce qui est apparu : acacia decurrens extract, dipteryx odorata beam extract, vanillin, tocopheryl acetate et benzyl alcohol

Donc c’est le même produit… mais pas avec les même ingrédients. Et il n’y a pas que les ingrédients parfumants qui ont disparu (il y en a même qui sont apparus d’où l’odeur de ce “sans parfum” 😉 ).
On remarquera d’ailleurs qu’il n’y a plus de parabène dans la version sans parfum car le conservateur a été remplacé par du benzyl alcohol.

 

Donc… qu’est ce que j’en pense ?

Même apparence, même usage, même efficacité… Ce sont bien les mêmes produits et pourtant ils sont différents !
Je suis donc bien en peine de vous dire si je préfère l’un ou l’autre des ces deux baumes de 8 heures…

Pour être simple et objective je ne peux dire que deux choses :
– j’adore le baume de 8 heures classique : pour son parfum
– j’aime le baume de 8 heures sans parfum : pour sa composition.
Maintenant si les deux produits avaient le même tube, j’avoue que j’adopterais plus facilement la version sans parfum dont le tube actuel est, à mon sens, assez mal pratique…

Tout le dilemme sera donc une question de gout personnel.

Lorsque vous choisissez votre baume de huit heures il faut ainsi se demander : quel parfum je veux, quel type de tube je veux et quelle composition me plait le plus ?

Categories // Visage Tags // 8 heure, baume, baume apaisant réparateur, baume de Huit Heures Sans Parfum, crème, crème de 8 heures, Eight Hour Cream, elizabeth arden, odeur, parfum, sans parfum

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