Parmi la multitude de “trucs et bidules” que j’ai ramené de New York l’année dernière, il y a un gadget qui ne paye pas de mine mais qui m’a, depuis, sauvé la vie une ou deux fois.
Le scénario est toujours le même :
-Tu choisis le matin une paire de chaussures qui fracassent, et qui signent ta silhouette d’un beau “j’aime les chaussures qui fracassent et j’assume jusqu’au bout“.
– Ainsi chaussée comme une princesse, tu files affronter ta journée avec classe et stature.
Sauf que, passé 18h, tu fais déjà moins la maligne perchée sur tes stylettos.
– A 19h30 tu arrives encore faire semblant que tout va bien, même si tu sens tes jambes gonfler et tes petons malmenés.
– Passé 22h, tu n’as qu’une hâte : t’engouffrer dans le métro et changer de chaussures ni vue ni connue.
Sauf que voilà… La paire de ballerines salvatrice, ça ne va pas toujours avec le petit sac mode qui t’accompagne ce jour là.
Et c’est précisément ici qu’interviennent les merveilleuses “Fast Flats” de DrScholls dénichées dans un des multiples drugstore US où j’étais fourrée pendant toutes mes vacances. ^^
Démonstration :
Là il est 23h et des brouettes, je suis chaussée de mes chaussures préférée mais ma journée de 15h m’en avait mis plein les pattes.
Comme la beauté du lino vous l’apprendra, je suis déjà réfugiée dans un métro salvateur :
Je sors une mystérieuse (et mini) pochette dorée.
Mais qu’est ce que cela ?
*suspense*
Surprise : la mini pochette héberge deux petites ballerines souples et pliables !
Hop, j’enfile prestement les dites ballerines en tentant d’ignorer mon pied gonflé et ma rétention d’eau…
Et telle cendrillon me voici capable de rentrer après le bal, ni vue ni connue !
Conclusion :
Comme vous l’aurez compris, les Fast flats ça casse pas trois pattes à un canard… mais dieux que c’est pratique !!!
C’est si petit que ça s’oublie dans le sac à main, c’est ultra confortable et même si ça n’isole pas complètement le pied du béton froid et mouillé : c’est une bénédiction !
Si vous vous promenez chez les anglo-saxons et que vous en trouvez, n’hésitez pas à adopter une paire, ça rend toujours service au moment où l’on s’y attend le moins.
Et pour les impatientes, sachez qu’on peut aussi en commander sur internet et qu’elles y coûtent moins cher qu’en drugstore (9 dollars en moyenne sur le web, contre 13 dollars en drugstore – soit (à peu près) 7 € contre 9,5 € )
Mascara Cils d’enfer – Guerlain – 26.10 €
The Impossible – OPI – collection Mariah Carey
Duo de vernis de la collection Mariah Carey : vernis “A butterfly moment” et pailettes “Pink yet Lavender”
