Précédemment, je vous faisais part de mon coup de cœur pour le vernis doré de la collection l’Or chez L’Oréal Paris.
Me doutais-je, à l’époque, qu’une bonne fée m’enverrait ce flacon doré pour que je puisse trouver réponse à mes questions ? Non.
Savais-je qu’il y avait plus d’un vernis or dans la collection l’Or ? Non plus.
Du coup, quand les trois vernis Resist&Shine Titanium de la collection l’Or se sont glissés dans ma boite aux lettres, il n’a pas fallu longtemps pour que je m’en badigeonne les doigts !
Et cet essai m’a largement permis de répondre aux questions que je me posais dans lors de mon coup de cœur devant les visuels. Oui, les vernis sont tout à fait opaques et en seulement une seule couche :
Les teintes :
Inutile de dire que ma soif de l’or (et plus exactement des coloris métalliques) s’est trouvée largement étanchée par ces trois vernis splendides.
Reste que je n’ai pas compris pourquoi la teinte 738 (sur l’auriculaire) et la teinte 739 (sur le majeur) sont aussi proches… La différence de teinte se devine dans les flacons (l’une est plus chaude que l’autre) mais elle devient quasiment invisible une fois sur l’ongle. Sur la photo c’est clairement visible : on remarque à peine que l’or du petit doigt est plus froid que celui du majeur.
Quand on est accro aux vernis dorés, c’est effectivement un point de vue important, mais je me demande s’il n’aurais pas fallu trancher un peu plus cette différence…
En dehors de ça, j’avoue avoir complètement craqué sur la teinte bronze dorée (n°740) qui se différencie tant des autres. Je sais que d’autres auraient préféré un vrai rouge irisé d’or, mais personnellement je suis amplement satisfaite de ce coloris qui change et s’assume de lui même !
Les vernis et leur application :
Avec ce tout petit prix de 7,65€ (en prix conseillé), on pouvait se poser des questions quant à la tenue de ces vernis. J’ai donc passé ma manucure tricolore au crash test intégral. 😉
Le résultat est ultra satisfaisant car avec une seule couche, sans base et sans top coat, les vernis sont restés nickel pendant 2 jours ! Avec base, deux couches et top coat, j’ai dépassé les 4 jours de tenue irréprochable alors que je n’ai pas lésiné sur les chocs !
J’admets donc que la tenue des Resist&Shine peut sans doute avoisiner les 7 jours dont il est question sur le flacon lorsqu’on fait attention à la pose et à l’entretien de son vernis.
Toutefois, j’ai été assez agacée par le pinceau car le vernis était plein de bulles lors des premières applications. De ces bulles vicieuses qu’on ne voit pas lors de l’application et qui semblent pousser comme par magie lorsque c’est sec ! -__-‘
Ce que j’en pense (au final) :
Je sais d’ores et déjà que la collection a son petit succès puisque j’ai vu plusieurs filles la porter dans les rues. J’ai aussi eu le droit à des questions sur ces vernis lorsque les copines ont vu la couleur de mes ongles…
Il faut dire que les couleurs sont parfaitement réussies et que ces deux teintes d’or concurrencent sérieusement certains vernis dorés que j’ai dans ma collection. En cela, je recommande avec plaisir ces trois vernis même si je conseille de choisir l’un ou l’autre des deux coloris “or” puisqu’ils se concurrencent trop (à mon sens).
Par contre, en ce concerne le titre de “plus beau vernis doré de la terre entière” ( 😉 ), je conserve ma préférence au vernis OPI “Bling dynastiy” de la collection Hong-Kong. Il est en effet plus puissant et plus vibrant !






Le produit est conforme au référentiel NaTrue et respecte : des teneurs minimales en substances naturelles, et maximales en substances transformées d’origine naturelle (le référentiel fixe un seuil officiel en fonction du type de produit)
Ce produit est conforme aux exigence du Natrue 1 étoile mais il contient aussi 15% (au moins) de substances naturelles non modifiées chimiquement et au maximum 15% de substances transformées d’origine naturelle. D’autre part, au moins 70% des ingrédients naturels doivent provenir de productions biologiques contrôlées et/ou de cueillette sauvage contrôlée (ou d’ingrédients transformés d’origine naturelle)
Ce dernier niveau d’exigence reprend les précédents mais augmente les exigences de composition avec au moins 20% de substances naturelles non modifiées chimiquement et un maximum de 15% de substances transformées d’origine naturelle. Enfin, au moins 95% d’ingrédients naturels doivent être issus de culture biologique contrôlée et/ou de cueillette sauvage contrôlée (ou d’ingrédients transformés d’origine naturelle)



Ce symbole (l’anneau de Moebius) est souvent produit sur des emballages en carton ou plastique. C’est le symbole qui vous indique que l’emballage est recyclable. Mais attention, ça ne vous explique pas dans quelle poubelle il faudra le mettre ! Référez vous aux notices que distribue votre municipalité pour savoir dans quelle poubelle vous devez glisser votre emballage lorsque le produit est vide.
Quand un emballage contient un matériaux recyclé, il affiche le même symbole que lorsqu’il est décrit comme “recyclable”, mais il contient un pourcentage au centre de celui ci, qui indique le taux réel de matière recyclée dans l’emballage.
C’est sans doute le symbo le le moins bien compris des usagers. Je ne compte pas le nombre de fois où j’ai du expliquer à des amis que ce symbole ne veut pas dire “matière recyclée” ou “matière recyclable”.
Les symboles FSC et PEFC sont des logos d’engagement quant à la filière bois. Les trouver sur un emballage en carton ou papier signifie qu’il s’agit de matériaux issus de forêts gérées de façon durable et de produits à la traçabilité établie. Attention : il ne s’agit pas toujours de produits recyclés (même si c’est souvent le cas) !