Mon Côté Fille

Blog beauté et wellness sans tabous ni complexes !

De l’art de porter le gant

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On a beau dire que la parisienne est chic et élégante, on ne pourra pas me faire dire qu’elle est “classe”. Car si les parisiennes s’appliquent à incarner la pointe de la mode, il leur manque souvent le respect d’un certain bon goût et surtout, il leur manque le chic du port des accessoires, celui là même qui fit la gloire des actrices glamour.

Notamment: les parisiennes ne savent pas porter le gant!

Comment peut on jouir de cette réputation distinguée quand on se promène avec des gants de laine boulochante (et même pas “fait maison”)?

Le gant est pourtant un simple détail qui en dit tellement sur l’élégance de celle qui le porte !

J’ai croisé hier soir une jeune femme avec des gants de cuir délicatement poinçonnés, et je lui ai tout de suite trouvé un air distingué (malgré son look à la Amélie Poulain).

Et puis en tant qu’ancienne grenobloise il faut bien que je défende cet accessoire qui eut pour capitale Grenoble. Aujourd’hui il ne reste qu’une seule boutique qui fait encore vivre la tradition, mais leurs gants en peau d’agneau sont incroyables de confort et de finesse ! (Et à 50 € la paire de gant sur mesure qu’on ne cri pas à l’élitisme)

Alors je vous le demande:

Pourquoi les femmes ne prennent plus la peine d’avoir de vrais gants? Pourquoi conserve t’on les gants de cuir dans les trousseau des élégantes d’hier?

Je ne serai jamais une blogueuse mode

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A la fin de l’automne, nous sommes plusieurs blogueuses à avoir été contactées pour MIM avec l’idée de nous faire redécouvrir la marque et ses produits. Personnellement, je n’ai pas mis les pieds dans leurs boutiques depuis très très longtemps. En fait, ne fréquentant plus les centres commerciaux, je n’ai pas eu l’occasion de croiser l’une de leur échoppes. Et pourtant, lorsque j’étais plus jeune (et sans le sou), j’ai acheté beaucoup de petites choses chez eux. Ma frénésie de l’achat par correspondance m’a un peu coupé de certaines marques. Or la campagne proposée s’axait sur la e-boutique mim.fr, cyber espace que je ne connaissais pas, et du coup j’ai accepté leur proposition.

3 semaines plus tard, ayant complètement oublié tout ça (oui la fin de l’année a été très remplie), je reçois un paquet que je n’attendais pas. Et là –hauts cris et consternation– je déballe une parka somme toute classique, mais dont la capuche est ornée d’une fausse fourrure à qui l’emballage sous vide a donné un air de rat noyé. Beurk, beurk, beurk, qui m’a envoyé ce truc et pourquoi ?!? Réflexion faite, je comprend soudain le rapport et décide de faire la blogueuse vexée ; il est impensable que je porte une parka à fausse fourrure (de toute façon je ne peux même pas la fermer : trop de poitrine pour cette taille). Pourtant, à mon grand étonnement, la fameuse parka commence à fleurir sur la blogo féminine. Peut être que mes gouts en matière de parka sont déviés par l’habitude des parkas Patagonia, supra efficaces et très bien coupées ?

Le pire c’est que pour la plus part des filles, ça leur va super bien (remballe ton égo Gima…)

Pour la peine j’étais frustrée, parce qu’en visitant la boutique en ligne de la marque j’ai fait quelques repérages et je m’attendais à recevoir un bon d’achat plutôt qu’un article générique… histoire d’essayer vraiment les produits.

Or donc, je boude.

Et puis un beau jour arrive un recommandé contenant un bon d’achat Mim sous forme de carte cadeau à utiliser en ligne ou en boutique. Je reviens donc sur ce que je pensais : ils savent parler aux blogueuses finalement ;-)  !

Et pour le coup j’ai commandé tout ce qui me plaisait en dépassant le budget de la carte cadeau. J’ai attendu patiemment la réception du paquet et je ne regrette rien. J’ai tout reçu et je suis ravie du rapport qualité/prix !

Alors certes, ça ne va pas être la qualité d’un comptoir des cotonniers, mais franchement à coté d’un H&M ça se défend plutôt bien. Pour preuve : le pantalon city gris chiné que je me suis offert pour 22€ (et qui est en rupture de stock depuis) vaut largement la qualité des pantalons Zara que j’ai depuis 2/3 ans !

Certaines fringues sur lesquelles j’hésitais parce que je m’attendais à un mauvais rendu des textile ont été de très agréables surprises. Notamment :

J’attendais un top au rendu synthétique, mais il est contraire très naturel (et beaucoup plus joli si on a de la poitrine). Je craignais que le pull en maille synthétique me fasse transpirer à grosses goutes, mais que nenni, c’est même devenu mon pull préféré. Enfin, la ceinture en simili cuir est vraiment bien travaillée, sans effet skaï et avec des détails joliment aboutis, une merveille sur une robe en maille grise.

Bref, même si je n’ai pas du tout aimé la parka, j’avoue que je suis entièrement satisfaite de la commande que j’ai pu passer. D’ailleurs, je vais surement profiter des soldes en ligne.

Le complexe des Shoes Addict

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Texte écrit il y a de cela plusieurs mois et publié malgré tout avec plaisir :p

Encore une semaine de passée et une nouvelle paire de chaussures achetée. Là où, autrefois,  je compensais mes états d’âme par l’achat d’une boite de macaron, je décompresse désormais par l’achat de chaussures. Je ne sais pas trop comment c’est arrivé, surement à cause de l’absence d’une paire de chaussures correctes lors de mon arrivée sur Paris (correctes pour les critères parisiens…).

Depuis c’est devenu une vraie manie. J’ai d’ailleurs acheté des étagères pour ranger celles ci au lieu d’accumuler les boites. Or, je crains que ça n’ai aggravé le problème. Car dès que le meuble est plein c’est “la star académie des chaussures“. J’applique la règle établie tacitement avec mon chéri : “quand une paire de chaussures rentre, il faut qu’une autre sorte“. Histoire de ne pas se faire envahir par les chaussures, je revend donc régulièrement des modèles en occasion. Et dois avouer que c’est “presque” aussi jubilatoire que l’achat de la nouvelle paire ! On sort tout le monde et chacun subit les joies du casting pour voir qui va rester, qui va sortir.

Parce que je suis consciente qu’il y en a trop, mais que je suis incapable de résister  à l’envie d’acheter une nouvelle paire. Du coup je revend celles qui n’ont pas satisfait aux conditions du choix et … j’en rachète d’autres… (Puisque des places se sont libérées dans le shoesing, cela appelle de nouveaux modèles à venir remplir ces espaces vides).

Et c’est un cercle infini où j’accumule les chaussures à revendre.

Enfin, pour la peine j’accumule une collection très select “d’accessoires pédestres” que je ne revendrais pour rien au monde. Au début je me disais qu’avec un peu de chance, quand j’aurais intégralement rempli mon shoesing de belles pièces, je ne m’arrêterais là et je ne pousserais surement pas le vice à  racheter un autre meuble. Mais… même avec de belles pièces censées guérir du désir d’avoir plus beau (comme les Louboutin) et bien je trouve toujours une nouvelle occasion de craquer.

Il y a des consultations psy pour les shoes addicts ?

Bon vous aurez compris que je grossis le trait, si je veux vraiment m’arrêter je peux (enfin je crois). D’ailleurs ces temps ci je sature un peu, et en prévision des prochaines soldes j’ai bien envie de faire un tri et de mettre en vente les modèles que j’ai le moins porté cet année. A voir donc…

Le make-up violet/prune

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Depuis mon retour de vacances je me suis plongée dans une crise “purple mood”. La faute à une nouvelle paire de chaussures : des Repetto violettes dénichées à pas grand chose sur Internet. Elles sont absolument parfaites : bien dessinées, bien colorées, bien confortables. Et ces escarpins sont parfaitement assortis au sac violet que j’avais acquis l’année dernière chez Pinkie.

Bref, le violet est en moi ! A ce titre j’ai évidemment assorti mes tenues autour de cette teinte, make-up y compris.

Et customiser un make-up violet c’est jouissif. Artistique, et technique à la fois.

Le smoky purple s’est révélé être une vraie tuerie ! Il faut de très bons fards à paupière et une base solide, mais le rendu est fantastique. Personnellement j’utilise le colorfull “Midnight Kiss” de Séphora, La” star powder violet” de S.L.A, le fard à paupière “prune 72” de couleur caramel et le fard “freakshow” d’ Urban Decay. Le tout sur une base HD de Make Up for Ever.

Le violet color full de Sephora

J’ai pas pris de photo les deux soirs où j’ai appliqué ce make-up, mais dites vous que ce n’est pas forcément facile à assumer. Le make-up violet reste réservé aux soirées (si on ne veut pas être dévisagée dans la rue, et encore).

Pour vous donner une idée, voilà à quoi ressemble un très beau smoky Violet (Addline les réussit mieux que moi quand même :p)

Mais ça, c’était avant… avant le coup de cÅ“ur amoureux pour les palettes spécial Noel de Clinique. Quatre fards assortis qui vont du rose tendre au prune foncé. Des poudres légères, irisées, qui se fondraient presque naturellement les unes aux autres. On peut même utiliser les applicateurs mousse pour faire les retouches en cours de journée (alors que d’habitude ces truc sont une plaie).

C’est simple, j’ai passé 1 semaine à n’utiliser que cette palette. Et maintenant je rumine sur le possible achat de l’eye-liner crème “Violet Luxe” qui sort dans la même collection. Car en make-up de jour il est difficile de souligner le regard avec autre chose qu’un eye-liner noir ou violet sombre.

(Bon la photo est prise avec flash, du coup on voit tous les défauts ; je m’excuse platement, c’est moche comme résultat. Addline-sensei va me filer un coup de main pour les photos la prochaine fois ;p)

Au passage j’ai aussi craqué sur l’un de leur rouges à lèvres couleur raisin (différent lipstick clinique “a diferent grape”) qui se porte seul, sans gloss, et même sans autre make up pour créer un joli contraste entre lèvres et teint.

Et vous ?

Violet or not Violet ?

Des poudres, des marques en préférence pour les teintes violettes ?

Infos Prix :

  • Clinique, Colour Surge Eye Shadow Quad “Black Tie Violets” 37 €
  • Clinique, Eye-Liner Crème avec Pinceau “Violet Luxe” 21 €
  • Clinique, Rouge Différent “Different grape” 20 €

J’essaie, tu essais, nous essayons les collants Body Touch de Dim

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Dernièrement, dans l’optique d’essayer autre chose que des cosmétiques (oui!), j’ai accepté de recevoir les nouveaux collants Dim Body Touch . Jusqu’à présent, la collection était limitée à la lingerie avec des modèles sans coutures et au port très confortable (je sais, j’en ai). Or, avec ces collants ils viennent de signer une innovation plus que réussie, et je n’exagère pas car il ont enfin amélioré un détail trivial mais de grand importance : IL NE BOUGE PAS !

Quiconque a déjà porté des collants sait que leur défaut majeur est de glisser ou boudiner au fur et à mesure de la journée. Quand, en plus, vous êtes dans les tailles intermédiaire (entre 2/3 ou entre 4/5) ce problème est d’autant plus manifeste que votre collant est, soit trop petit, soit trop large. C’est pour ça que j’ai fini par adopter les bas : ça tient très bien, même si ça fait pin-up sur le retour.

Mais voilà, j’adore les collants fantaisistes et je m’obstine donc à rentrer dans un taille 4 (alors que je suis trop grande pour ça) et à passer ma journée à l’ajuster… L’essai des collants Body Touch c’était donc surtout pour voir ce que valait la coupe et le tissu.

Or, je dois avouer que j’ai été subjuguée par le résultat. Et je ne dis pas ça parce que c’est un billet sponso ! En 4 jours d’essais j’ai pu constater qu’ils allaient devenir des basiques de ma collection (en opaque et en transparent). Démonstration :

Sur 4 jours voila ce que j’ai pu constater :

– Le collant disparait : c’est à dire que je n’ai jamais eu à l’ajuster, que je ne sentais aucune pression ou petite irritation de frottement.

– Le collant est ultra solide : et pourtant je suis douée dans ce domaine, un collant me fait en général 1 semaine et demie (j’arrive même à déchirer l’entre jambe le premier jour) et je suis tellement douée que j’arrive à filer des bas de contention. Or, en 4 jours, le collant n’a pas le moindre petit bobo.

– La texture est géniale : d’une douceur enveloppante à la taille, et d’un lissé souple et agréable sur la jambe. Pas de sensation d’échauffement non plus au bout du pied.

Bref, un vrai mieux qui vaut bien les brevets qu’ils ont déposé sur ce modèle.

Toutefois, comme je sais qu’un essai vaut mieux qu’un long discours, je vous propose d’essayer vous aussi les collants. Pour ça :

Les dix premières arrivées remporteront un collant. Sachant que ces collants sont vendus 9€ (c’est un poil cher mais pas tant) ça vaut toujours le coup.

Et pour celles qui arrivent trop tard, sachez qu’il y a une offre 100 % séduite ou remboursée sur les paquets porteurs de l’offre jusqu’au 30/01/2010.

N’oubliez pas de me donner votre avis !

Article sponsorisé