En arrivant sur Paris je ne connaissais pas Nuxe, tout du moins je n’utilisais pas Nuxe qui, pour moi, surfait sur une vague de bio qui n’en est pas. Forte d’une pléiade de recommandations j’ai quand même fini par essayer et je ne regrette pas depuis mon entorse aux soins bio.

Le baume prodigieux je l’ai choisi après avoir erré deux bons mois à la recherche d’un gloss parfait. Lancôme avait les gouts, Chanel les couleurs, Clinique le soin et Ester la tenue. C’est en profitant d’une remise au Printemps que j’ai fini par essayer le Nuxe. Et grand bien m’en a pris.
De la tenue, du naturel, du pulpant et un plaisir à l’application que je n’avais pas avec d’autres applicateurs mousse. Un vrai moment plaisir et, du coup, soin pour cet hiver.
Il ne m’en faut d’ailleurs pas plus pour appliquer l’adage de Sonia : “j’me remets du gloss” à la moindre contrariété. Ça vire limite à l’obsession et je regrette un poil que ça ai une si bonne tenue…
Le seul moins du produit c’est le gout infect’ quand on essaye de le manger, on perd vite du coup l’habitude de sucer sa lèvre et au final ce n’est pas plus mal.
En ces temps de premiers frimats je n’ai qu’une chose à dire : équipez vous de cette merveille c’est devenu mon meilleur ami pour hydrater mes lèvres qui gercent vite. Surtout que, fait exceptionnel, ce gloss ne colle pas et même que c’est mon Chéri qui le dit alors qu’il a horreur des gloss à cause de ça !
En septembre j’ai changé de parfum. Je ne sais pas pour vous mais chez moi c’est quelque chose d’important, ça ne se fait pas à la légère. Cela fait bien un an que je cherchais un successeur à “elle” d’Emporio Armani et je ne tombait jamais d’accord avec moi même. Alors quand j’ai essayé “Présence de Bach” en échantillon ça a été le coup de foudre et une joie sincère. Je mettais enfin la main sur un successeur à 8 ans de fidélité au même parfum. Non seulement j’adore les notes de tête mais l’assemblage reste parfaitement respecté sur ma peau.
