Mon Côté Fille

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Petit secrets de beauté, le livre qui déride !

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L’été c’est l’occasion de bouquiner pour le plaisir (et uniquement pour le plaisir), avec des livres qui vous font voyager, ressentir, rire, etc…

Du coup, c’est l’occasion idéale pour vous parler de cet adorable petit bouquin dédié aux réclames les plus farfelues de l’histoire de la beauté.

Un livre qui se parcourt en un coup, ou qui se consomme petit bout par petit bout,  au hasard de l’ouverture des pages.
Effet gymnastique faciale garanti 😉


Petits secrets de beauté
Ouvrage collectif – éditions Alternatives – collection petits carnets (f)utiles – Prix d’origine : 15 € – Prix éditeur actuel : 4€

Ce que j’en pense :

Personnellement j’adore les vielles réclames presque-pas-mensongères, il est donc normal que j’ai adoré ce livre qui prête facilement à sourire.
Je l’ai parcouru d’une traite, et depuis je le feuillette un peu au petit bonheur, pour sourire et me moquer.
Par contre, lorsque je dis qu’il se “consomme” un peu comme on veut, c’est qu’il manque peut être de matière historique.
Car si ces publicités historiques sont parfaitement contextualisables, il est dommage de les voir placardées les unes après les autres, sans autres légendes que les thèmes dans lesquels ont les a regroupé.
C’est un parti pris assumé par les auteurs, mais personnellement j’aurais adoré avoir un petit essai pour accompagner cette drôle de lecture

La Note Culture-Beauté :

Quatrième de couverture :

Jambes arquées, poitrine plate, teint brouillé, cou trop court, nez trop gros, kilos superflus, virilité en berne… Pas de panique ! à chaque mal son remède. Sachez donc, mesdames, qu’Obecita vous fera maigrir et soyez heureux, messieurs, d’apprendre qu’une pilule de Viriline vous rendra force et vigueur ! La longue litanie de nos imperfections physiques – réelles ou fantasmées – que chacun et chacune peut déclamer à l’envi devant son miroir a, de tous temps, favorisé un arsenal cosmétique, voire médicamenteux, porté par des armées de spécialistes et de charlatans. Petits secrets de beauté rassemble des conseils et artifices étonnants, des publicités savoureuses des XIXe et XXe siècles qui flirtent allégrement avec la poésie et la pure escroquerie. Une compilation souvent désopilante des meilleures réclames en mots et en images pour rire et sourire de notre perpétuelle quête de beauté !

Lingerie Française, l’exposition XIXe – XXIe siècle

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En effectuant une petite virée shopping chez Empreinte, hier, la conseillère m’a parlé d’une exposition ayant lieu à l’espace Pierre Cardin jusqu’au 26 juillet. Une exposition sur le savoir faire et l’histoire de la lingerie “à la française“. Preuve que le shopping peut mener à tout.

J’ai aussitôt décidé d’aller voir ça de plus près, car il ne reste que quelques jours pour profiter de cette exposition gratuite. Ensuite, elle s’envolera vers Londres, Shanghai et Dubaï.

Si je me suis un peu empressée de me rendre sur place, c’est aussi parce que le fond d’exposition est constitué de modèles historiques, issus des plus grands noms de la lingerie Française : Aubade, Barbara, Chantelle, Empreinte, Implicite, Lejaby, Lise Charmel, Lou, Passionata, Princesse Tam.Tam et Simone Perle ; ils se sont tous associés à l’exposition de l’association Lingerie française.

Et je dois dire que si l’exposition est courte (1 seule salle), elle n’en reste pas moins ma-gni-fique !
On retrouve 260 pièces de lingerie qui couvrent 130 ans d’évolution des modes, des fabrications et des goûts féminins.

La scénographie est d’une simplicité à toute épreuve et les panneaux expliquent et illustrent l’avancée des styles avec clarté et pertinence.
(Je vous ai d’ailleurs mis ces signalétiques dans l’album photo de l’article, il vous suffit de cliquer sur les images pour lire les textes).

D’autre part, lorsqu’on visite, il faut surtout penser à profiter des projections !
On peut ainsi découvrir des archives publicitaires/presse d’un siècle et demi de lingerie.

Il y a même une installation vidéo qui met en scène (avec bonheur) des jeunes femmes portant ces lingeries historiques et incarnant chacune des époques liées.

 

Bref, il ne reste que quelques jours pour vous rendre à l’espace Cardin et profiter de cette exposition gratuite alors n’hésitez pas !

Et pour celles et ceux qui ne pourront pas profiter de l’exposition, sachez que la commissaire de l’exposition (Catherine Ormen) a aussi écrit un livre qui sera disponible en octobre aux éditions Plon : Lingerie française (XIXe -XXIe siècle)

 Plus d’informations :

  • Ouvert de 10h à 18h – Exposition gratuite

 

 

“Stylisme d’Ongles” : le livre !

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Je sais que le nail art est un sujet qui passionne certaines personnes autant qu’il en laisse d’autres indifférentes. Personnellement je suis loin d’être convaincue à la cause “stylisme d’ongles”. J’aime les belles manucures soignées et éventuellement les mélanges astucieux de couleurs, mais je reste assez froide envers les ongles transformés en objet d’art.

Pourtant, j’avoue garder un Å“il sur ce qui se fait et ne se fait pas en nail art. Parce que certaines filles arrivent à mêler bon gout, originalité et même praticité à leur nail art. Le blog de Pshiiit en étant un excellent exemple.
Et c’est au titre de cette curiosité que j’ai lu le livre d’Oshiro Tomoyuki paru dernièrement chez Eyrolle. Un livre dédié au nail art, mais surtout un livre aussi théorique que pratique qui a cet énorme avantage de mêler aussi bien les explications pratiques sur les outils, les méthodes et les step by step de différents modèles présentés et expliqués dans l’ouvrage.

Stylisme d’ongles : 100 projets de Nail Art expliqués pas à pas
d’Oshiro Tomoyuki – Edition Eyrolles – Prix éditeur 27 €

Ce que j’en pense :

Dans ce livre, j’ai beaucoup aimé l’ensemble des premières pages puisqu’on y trouve expliqué pas à pas la méthode, les outils et les principes esthétiques du nail art sur faux ongles. Pour les curieuses, c’est ainsi extrêmement interessant de voir cette somme de conseils rassemblés et synthétisés dans des pages qui reprennent les bases techniques et théoriques de la méthode, même lorsqu’on ne pratique pas le nail art.

Le reste de l’ouvrage est entièrement dédié à la présentation de modèles d’Oshiro Tomoyuki et des explications techniques pour les réaliser. J’avoue que cette partie m’a beaucoup moins inspirée, pourtant, il reste intéressant de voir en application les conseils évoqués plus tôt. D’autre part les modèles sont rangés par type de méthode (aérosol, scotch, etc). D’un point de vue connaissance pratique cela reste intéressant pour les amatrices de nail art comme pour les curieuses.

En somme, l’ouvrage est une bible pour celles qui aiment et souhaitent pratiquer le nail art, mais c’est aussi une bonne source d’informations pour les beauty-addict qui souhaitent en savoir plus sur ce sujet.
Je vous laisse regarder les différentes photos ci dessous pour vous faire une idée de l’aspect pratique et de la lisibilité très agréable de la maquette.

 

La Note Culture-Beauté :

Quatrième de couverture :

Depuis quelques années le stylisme d’ongles s’impose comme une nouvelle tendance en manucure. Oshiro Tomoyuki, un des maîtres japonais en la matière, nous fait partager ici ses créations avec une centaine de modèles aux noms évocateurs comme Reine d’Egypte, Femme galactique ou encore Sophisticated Lady. Abondamment illustré, ce livre s’organise autour de quatre techniques principales : la french, les strass Swarovski, l’aérographe et les décorations fantaisies (paillettes, clous décoratifs, hologrammes…). Ces techniques pouvant également se combiner. Les graphismes très modernes et très colorés sont relativement simples à réaliser : il suffit de reproduire pas à pas les étapes indiquées pour chaque modèle et de respecter les temps de séchage. En début d’ouvrage, une partie consacrée au matériel et à la préparation de l’ongle vous guidera dans vos choix. Et tout au long de l’ouvrage, l’auteur prodigue de nombreux conseils et vous dévoile ses astuces techniques.

Biographie des auteurs :

Prothésiste ongulaire et créateur d’objets. Après avoir terminé ses études à l’université, il se forme en autodidacte à la manucure. Il a commencé à exercer en tant que styliste ongulaire en 2003 dans le quartier de Ginza à Tokyo. Depuis, il officie également pour des magazines, des publicités dans la presse ou pour la télévision. Il est installé depuis 2006 dans le quartier de Omotesando à Tokyo et s’est chargé de la mise en beauté des ongles lors de la cérémonie d’ouverture du centre commercial Omotesando Hills. Il a ensuite touché à des domaines aussi divers que la participation à des talk-shows, la rédaction de chroniques, ou l’animation de conférences. En 2008 il ouvre à Omotesando son salon de manucure Crystal Devil, qui est présenté dans plusieurs magazines et medias comme le salon de référence à Tokyo. Des mannequins, des vedettes ou des présentatrices de télévision font partie de sa clientèle. Par ailleurs, il est styliste ongulaire et créateur d’objets pour des projets dans plusieurs pays, principalement en Asie, et collabore activement en tant que styliste avec plusieurs marques et entreprises locales et internationales. Ses créations utilisant les Swarovski Elements de la marque Swarovski, ainsi que ses décorations en relief sont devenues célèbres. Récemment, il a réalisé une création pour la Japan Expo 2011 qui s’est déroulée en France, au début de l’été.

Images du livre :

Pour voir plus d’images, cliquez sur les vignettes :

Enfin une collection de maquillage Dita Von Teese !

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Dita Von Teese c’est un nom, un personnage, mais surtout un état d’esprit. Être Dita Von Teese, c’est exiger beaucoup de soi pour incarner L’image de la femme glamour.
Personnellement je n’encaisserais pas la moitié de son mode de vie pour le tiers du glamour qu’elle incarne si bien. Toutefois, je confesse que j’ai une légère propension à être fan de la dame. J’aime sa créativité, son savoir faire etses créations. Car oui, j’aime beaucoup les collections capsules qu’elle peut dessiner avec de grands noms de l’univers féminin. J’avais en particulier adoré sa collection pour Wonderbra.

Mais il semble que madame soit difficile dans ses choix et ses collaborations artistiques. Aussi stricte  qu’elle l’est avec ses shows et son hygiène de vie…
Rien d’étonnant, ainsi, que Mlle Von Teese n’ait pas encore produit une collection de maquillage à son nom.
Du maquillage Von Teese cela devrait être un univers, un concept et même une image du glamour incarné par des produits de beauté.

Mais ça y est, réjouissons-nous, Mlle Von Teese vient d’annoncer sa collaboration avec la marque de maquillage ARTDECO !
2012 verra donc naitre une collection de produit de beauté pensée, conçue et signée Dita Von Teese.

Dita Von Teese lors de la conférence de presse qui annonçait sa collaboration avec Art Déco,
à Munich, le 28 avril 2012

Dois-je vous dire à quelle point cette idée me met en joie et a fait naitre une brulante curiosité chez les beauty-addict et les fans de la dame ?

Lors de la conférence de presse qui a annoncé ce partenariat, Dita Von Teese a expliqué le choix de la marque Artdéco : on lui donnait une vraie part de décision dans le protocole créatif, or « C’est mon nom qu’il y aura sur les produits, et cela ne doit pas se borner à cela ! J’ai des exigences en matière de maquillage, c’est pourquoi nous développerons ensemble cette collection. Par ailleurs, les produits sont qualitatifs, mais restent également abordables, et c’est ce que je souhaitais pour mes fans.»”

Pour celles qui ne connaissent pas ARTDECO, je vous rassure tout de suite : ce n’est pas n’importe qui 😉
La marque est allemande et distribuée en France (ouf !), mais uniquement en réseau sélectif (instituts, parfumeries, etc).
On trouve aussi leurs produits sur leur site internet et leur qualité est à la hauteur de Miss Von Teese et des marques allemandes en général, bien qu’à mon avis le rendu des produits soit assez  irrégulier entre de bons fards à paupières (à poser sur base obligatoirement !) et des vernis plutôt décevant…
Gageons que le challenge Von Teese va pousser la marque à se surpasser. Il semble en tout cas qu’Artdéco soit bien parti pour ne pas produire une simple collection prête-nom comme on a pu le voir sur d’autres grandes dames du glamour (je pense entre autre à la collection Chantal Thomass pour Nivéa qui m’avait assez déçu)

J’ai hâte de voir ce que cela va donner ! Et vous ?

 

EDIT (merci Elise pour l’info) :

Les premières images de la collection sont déjà en ligne  puisqu’on peut l’acheter en Allemagne pour le moment :

 

J’avoue que je m’attendais à un look plus …. poupoubidou.
Mais le résultat reste plutôt classieux

 

Présentation du livre “Parfums de Collection : deux siècles parfumés”

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Lorsque j’étais petite j’étais fascinée par les collectionneuses de flacons (grands et miniatures) que je croisais dans les vides-greniers et les brocantes. Les quantités de flacons qu’elles présentaient pour la revente étaient déjà si phénoménales, que je me demandais toujours quelle pouvait être la taille de leur collection personnelle. Je les imaginais trônant dans une pièce pleine de flacons, à compter et recompter leur collection !
Quand j’ai grandi, j’ai aussi vu le coté “ça-prend-la-poussière” de ce type de collection et je n’ai jamais souhaité franchir le pas entre l’appréciation d’un joli flacon et l’envie de le conserver puis d’en collectionner d’autre.

Ceci, pour dire que je suis tombé dernièrement sur le livre “Parfums de collection”. Une sorte de catalogue recensant des flacons exceptionnels créés entre les années 1800 et les années 2000, autant dire les deux plus beaux siècles de création de flacons, à mi-chemin entre la Belle époque et les 20 dernières années.

 Parfums de collection, deux siècles parfumés
De Barnard Gangler – Éditions du Chêne –   Prix éditeur 49.90 €

Ce que j’en pense :

Puis-je dire que ce livre m’a fasciné pendant… 60 pages avant de n’être plus feuilleté que d’un intérêt moins évident ?
C’est assez cruel dit comme ça, mais n’étant pas une passionnée des parfums et de flacons, cet avis doit évidemment être pris avec mesure 😉

Car si la première partie fut si intéressante, c’est qu’elle est avant tout historique. On y parle de l’histoire des parfums, des maitres parfumeurs, des verriers et des couturiers parfumeur. Ces pages sont richement illustrées de photos et de reproductions d’époque, ce qui enrichit les propos tout en conservant un aspect ludique évident.
En bref, c’est un très bon survol de l’histoire contemporaine des parfums. Mais aussi un propos qui s’adresse aussi bien à des néophytes qu’à des amateurs éclairés du monde de la parfumerie.

Or, ce qui fait normalement la richesse de ce livre, ce sont les  200 pages de catalogue de flacons, annotés et rangés par époques.
Et là, j’avoue que j’ai séché…
C’est très intéressant de suivre l’évolution des flacons en général et de retrouver certains parfums mythiques dans leurs habits d’une autre époque, mais on aimerait parfois un focus sur tel et tel parfum pour apporter quelques anecdotes et sortir du simple format catalogue.
C’est évidemment une remarque propre à la néophyte que je suis, mais je pense sincèrement que cela aurait été un plus pour démarquer l’ouvrage du simple recensement.

Reste que se cachent, à la fin du livre, quelques pages qui s’adressent au public cible de cet ouvrage : les collectionneur de parfums. Ils y trouveront une dizaine de pages dédiées aux conseils pratiques et quelques bonnes adresses pour les collectionneurs .

La Note Culture-Beauté :

Quatrième de couverture :

Ouvrage de référence pour les connaisseurs et les collectionneurs, mais s’adressant aussi aux amateurs et curieux, Parfums de collection regroupe pour la première fois des flacons de parfum des XIXe et XXe siècles parmi les plus rares, les plus exceptionnels ou les plus originaux, provenant tous de différents musées ou de collections privées. L’auteur, Bernard Gangler, grand spécialiste des flacons de parfum de collection, raconte ici l’histoire du parfum, et livre à tous ceux qui voudraient démarrer ou enrichir leur collection de précieux conseils et de bonnes adresses. Avec plus de 1000 images et estimations de cotation, ce livre constitue une véritable bible des flacons de parfum de collection.

Biographie des auteurs :

Bernard Gangler a débuté sa carrière en tant que directeur d’un groupe de parfumerie. Après un séjour à New York où il a étudié la distribution de la parfumerie sélective, il a créé la chaîne parisienne des parfumeries Galaxie, ainsi que la plus grande parfumerie à Paris, Espace Parfumerie, dans les années 1980. Expert près des commissaires-priseurs et de la plupart des salons de collectionneurs de flacons de parfum en France, il a réalisé plus de quarante ventes aux enchères publiques. Conseiller auprès des musées spécialisés dans les flacons de parfum de collection et conférencier sur ce thème, il a participé à plusieurs émissions sur des plateaux télévisés et est l’auteur d’une centaine d’articles dans la presse écrite.

Images du livre :