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Blog beauté et wellness sans tabous ni complexes !

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Combien dépensez vous en beauté ? [sondage]

12.13.2013 by Mlle Gima //

Pour une fois ce n’est pas moi qui vais tenir la plume pour cet article … mais vous !
J’ai, en effet, une question qui me turlupine et il n’y a que vous pour y répondre.

Ça nous permettra d’ailleurs d’en débattre dans les commentaires de cet article.
Car voilà, à force de recevoir des produits de beauté, de discuter beauté avec des addict ou des blogueuses, j’ai l’impression de m’être complétement déconnectée des “prix du marché”…

 

Cette réflexion je me l’étais déjà faite l’année dernière quand j’achetais un vernis à 13€ sous le regard affolé de ma mère.
Mais elle a été aussi renforcée par les mimiques de mes collègues à qui je confiais dépenser jusqu’au 28€ pour des soins capillaires.
Et je ne parle pas des commentaires reçus sur l‘article de la crème personnalisée en début de semaine…

Du coup, je me pose plusieurs questions :

1- à combien estimez-vous votre budget beauté mensuel (ou annuel).
Et dans celui-ci je vous demande de bien penser à vos soins visage, votre lait hydratant mais aussi votre gel douche, votre shampoing, votre après shampoing, etc …

A combien estimez-vous votre budget beauté mensuel ?

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2- vous arrive-t-il (souvent) de craquer pour un “caprice” beauté, et si oui jusqu’à combien ?
Allez, avouez le… on a toute un jour craqué pour un vernis OPI, Essie, etc … Et rappelez-vous ce mascara de grande marque chez Sephora… ou ce parfum à l’aéroport !

Vous arrive-t-il de faire des "caprices" beauté ?

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3-Allez-vous parfois en institut, en spa, chez le coiffeur, etc.
A combien estimeriez-vous votre budget “lieux de beauté” dans l’année ;  d’ailleurs, faites-vous une différence entre les trucs communs (le coiffeur), exotiques (le spa) voir luxueux ?

Je vais :

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Je sais, j’ai l’air de vous faire passer une interrogation mais j’ai vraiment besoin de nourrir ma réflexion et de me confronter “aux autres” !

Alors à vos claviers :
je m’engage à vous répondre individuellement (si, si, juré !)

Categories // Humeur Tags // beauté, consomation, débat, prix, surconsomation, tarif

Depuis que j’ai 30 ans…

01.04.2013 by Mlle Gima //

Demain, j’aurai 31 ans. L’occasion de mettre par écrit ce qui me fait rire (jaune) depuis ces 12 dernier mois.
Car personnellement, j’ai pris en pleine face le mur des 30 ans. Pas parce que je suis plus vieille au regard de l’état civil, mais parce que j’ai accumulé en une année tout les bouleversements physiques qui te font dire que “ça y est, j’suis vieille“.

Selon son rythme et son hygiène de vie, selon que l’on ait eu des enfants ou pas, il y a un cap entre les 25 et les 35 ans qu’on n’a pas toujours l’occasion de bien observer.
Il arrive généralement de façon insidieuse et un matin, on réalise que ce n’est plus comme avant : qu’on a pris un coup de vieux (sacré ou pas, c’est à vous de voir :p).
Ça passe par l’énergie dont on dispose un lendemain de cuite, ou la capacité à avoir une bonne tête derrière une nuit blanche. Mais c’est aussi la taille des poches qui ornent notre regard au moindre coup de barre, à la fermeté d’une fesse qui ne fait plus de sport, ou encore à la capacité de perdre ou prendre du poids en fonction d’un petit ou d’un grand écart.

Personnellement, j’avais bien observé un manque d’endurance croissant depuis mes 26 ans mais là, l’année des 30 ans, j’ai l’impression d’avoir été rattrapée par une grande baffe temporelle. ^^

D’abord, j’ai découvert la gravité.
L’insidieuse force de la nature qui s’oppose à une paire de seins portée haute, ou à des fesses galbées qui dessinent un bel angle avec tes jambes.

Ensuite j’ai découvert la flasquitude.
Une texture, ou plutôt une non-fermeté qui envahit petit à petit ton corps en partant de la fesse pour envahir progressivement la cuisse, le ventre ou pire : les bras !

Et bien que j’ai arrêté de fumer il y a 11 mois, j’ai aussi découvert le teint gris.
Cette vilaine apparence de peau qui envahit le visage dès lors qu’on dort mal, qu’on mange mal ou qu’on boit un petit peu trop.

Et enfin, comble de l’horreur : j’ai découvert la cellulite qui reste avec toi toute l’année !!!
Moi qui crânait avec ma cellulite temporaire qui apparaissait puis disparaissait dès que je commençais à la traiter… me voici bien feintée (et déçue).

Tout ceci s’accumulant joyeusement avec mes complexes déjà présents et une prise de poids contre laquelle j’ai beaucoup de mal à lutter (alors qu’avant c’était tout de même plus simple à juguler).

 
Image de la géniale Puluplulu – initialement créée pour illustrer cet article de Save My Brain

De fait… je peux vous dire que j’ai retourné mes routines beauté depuis plusieurs mois, et que je ne regarde plus du tout les crèmes fermeté ou anti-cellulite de la même manière.
Je dirais même que j’acquiers une expertise hors norme à ce sujet. Pareil pour les cartes de spas et de thalassos. Je lorgne maintenant avec ambition vers les soins et cure minceur et fermeté.
Preuve qu’on n’arrête jamais de se découvrir des affinités avec des soins qu’on considérais alors comme un peu superflus et super-cher-pour-ce-que-c’est. ^^
Si j’avais le budget, je ne vous cache pas que je repartirai direct en cure minceur aux thermes de St Malo. Et je signerais les yeux fermés pour la cure palpé-roulé de chez La Colline.

Mais voilà, j’ai pris de l’âge, et je n’ai pas de solution magique (comprendre efficace et pas chère) :-p
Alors pour le moment, j’en ris (jaune) et je fouille, je cherche, et je finis mes tubes de crème jusqu’à la dernière goutte.

 

 

Pourquoi je vous raconte tout ça ?
-Parce qu’admettre qu’on a du mal à se faire à ces changements, c’est déjà faire quelque chose à ce sujet.
-Parce que garder tout ça dans sa tête, c’est aussi travailler des complexes qui deviendront de belles névroses si on les couve assez longtemps pour ça.
-Mais surtout parce que je ne suis pas la seule à mal vivre le temps qui passe, et que la fatalité c’est de garder ça pour soi et de se sentir isolée.

En allant au spa ce week-end, j’ai entendu une conversation très intéressante entre deux copines en maillot de bain, qui se charriaient sur leurs fesses flasques. Elles rigolaient en pariant sur qui avait les pires fesses, et si elles étaient pires que celles des stars prises en flagrant délit de cellulite par les magazine people.
Dit comme ça, c’était très drôle à écouter, et je me suis pas mal reconnue en elles, toute planquée que j’étais derrière les casiers. Et puis l’une des deux est partie et l’autre est restée.
Se croyant seule, elle s’est regardée dans le miroir, à scruter ses fesses et a clairement fait la gueule en baissant les épaules. J’ai débarqué et son regard m’a clairement fait de la peine car derrière la déconne il y avait une tristesse qui confine au mal de vivre.
Elle a vite décampé quand elle m’a vu arriver, mais l’impression de malaise ne m’a pas lâché pendant les 3 heures que j’ai passé à barboter.

 

Personnellement j’ai la chance d’avoir un blog connu (ou reconnu) qui me vaut un paquet de produits à tester. Ce que je mets clairement à profit ces temps-ci.
Mais en ouvrant ce billet déprimant, il est surtout question de vous montrer que ce n’est pas du flan.
Si je teste des produit précis, c’est parce qu’ils me concernent. Et que si mes complexes sont vos complexes… alors mes solutions sont peut être vos solutions :p

 

Parce qu’on a beau en rigoler et en rire dans les commentaires… il n’est pas toujours facile de vivre avec des complexes.
Il faut juste apprendre à en rire, essayer d’agir ET se filer les bons tuyaux 😉

Promis, les prochains billets seront moins pathos 😉

Categories // Humeur Tags // 30 ans, viellir

Bloguer en “toute transparence” ou en “toute objectivité” ? Que faut-il dire (ou pas) sur les produits reçus ?

06.06.2012 by Mlle Gima //

Dernièrement je suis tombée sur un article qui remettait le couvert sur l’obligation de signalétique dans les articles de blogs…
Un propos qui disait, en somme :
– qu’il est illégal de faire un article rémunéré financièrement sans le dire (là, je suis à 250% d’accord)
– qu’il est illégal de faire un article sans préciser qu’on a reçu le produit en question de la part de la marque (et là, par contre, c’est faux.)

Ça faisait longtemps que le sujet n’était pas ressorti, et j’ai pris le temps de faire une énorme réponse sur l’article (chez “histoire de pot”, ici). Une tartine si longue qu’il m’a semblé intéressant de reprendre mon propos ici, avec quelques infos et des liens en plus. 😉

 

Je ne veux pas vraiment relancer un debat qui finit (de toute façon) toujours en queue de poisson, mais lorsqu’on aborde ce sujet avec des blogueurs de tous types, on s’aperçoit que chacun a sa vision des choses.
Or, pour une fois, il apparaît que j’ai un avis extrêmement tranché sur la question !

 

Car pour moi, il est impensable de devoir signaler à chaque article si j’ai : oui ou non payé le produit, reçu le produit pour faire un article ou pour faire un test, reçu l’information au cours d’une soirée dédiée, dans une conférence de presse ou même par un communiqué de presse (dois-je préciser si c’est un joli communiqué imprimé papier ou un pdf par envoi de mail ]:-)) ?

D’ailleurs, si on pousse la réflexion, il faudrait que cela s’applique aussi aux concours…
Il m’arrive souvent de faire gagner des produits que j’ai reçu pour moi, et non pas des produits proposés d’office en concours et envoyés par les marques. Des produits que j’envoie ainsi à mes frais.
Est ce qu’il faudrait que je vous avertisse aussi de cette différence là encore ?

Actuellement il y a bien les 3/4 (si ce n’est plus) de mes articles qui sont alimentés par des produits reçus.
Sans mentir, je reçois actuellement plus de trucs que certaines amies journalistes et ce n’est pas un hasard si les concours des gros paquets sont nés depuis lors.

Ainsi, vous comprendrez que faire le distinguo entre un produit reçu et un produit acheté, je m’en cogne comme de l’an 40* !

Car oui, j’ai la non-modestie de croire que je ne fais pas de différences entre des produits reçus et d’autres. 😉
J’en veux pour preuve que j’aurais les doigts en sang à force de taper sur mon clavier , si je devais faire un article sur chaque produit reçu !

 

Donc bon, ce n’est que mon avis… et je me trompe peut être.

Après tout, je suis à la fois blogueuse et consultante pour des marques. Je flirte ainsi avec un dangereux équilibre.
D’ailleurs,  mon entretien avec la répression des fraudes l’année dernière a bien mis en lumière cette impossibilité de dialogue entre moi et un observateur extérieur : j’ai une conviction inébranlable dans ma capacité à rester objective alors qu’un observateur extérieur aura toujours le droit et l’envie de remettre cette éthique en cause…

 

Ainsi,  je préfère finalement vous laisser seuls juges de mon objectivité.
J’ai d’ailleurs ajouté une note sur la colonne de gauche du blog à ce sujet 😉

Et lorsqu’on lit des commentaires qui disent (en somme) “j’ai adoré l’article et j’ai couru acheter le produit“, je vous garantis qu’on a la pression et l’obligation de rester toujours objective !
Parce que même lorsqu’on vire “blogueuse pourrie gâtée*”, on n’oublie pas que d’autres personnes comptent sur nous pour les aider à acheter le bon produit et ne pas gaspiller leurs sous ! 🙂

 

Illustration dédicace au groupe Facebook “on est pas des cruches” 😉

Pour info, voici la réponse que j’ai faite chez Histoire de Pot sur son article “Blogueuse es-tu dans l’illégalité ?” :

Mes connaissances en la matière datent d’il y a un an, mais à l’époque ce qui m’a été répondu par la répression des fraudes est qu’il n’est pas du tout obligatoire de signaler lorsqu’un produit a été reçu d’une marque.
L’obligation (et l’article de loi) ne concerne que la rémunération financière, et non pas en nature.
Il n’y a donc AUCUNE illégalité à ne pas mettre une mention lorsqu’on a reçu le produit.

Et personnellement je trouve l’idée contraire assez c**.
Si on se réfère à ce qui se passe aux USA, le terme “article sponsorisé” s’applique à tout avantage financier ou en nature.
Et si on devait l’appliquer en France ça deviendrait n’importe quoi…

Je prends mon cas personnel.
Pour chaque article il faudrait que je précise :
– quand j’ai reçu de l’argent en échange (ce que je trouve parfaitement normal)
– quand j’ai reçu un bon d’achat en échange (ce qui est beaucoup plus fréquent qu’on ne veut bien l’admettre actuellement…)
– lorsque j’ai reçu le produit (seul) pour test
– lorsque j’ai reçu le produit (parmi d’autres) pour test
– lorsque j’ai reçu le ou les produits avec un petit cadeau qui n’a rien à voir ?
– lorsque j’ai eu l’information via la réception d’un communiqué de presse
– lorsque j’ai eu l’information au cours d’une soirée rincée par la marque
– STOP !!!

Ça deviendrait n’importe quoi.
Qu’on veuille être transparent c’est normal et il faut ab-so-lu-ment lutter contre ce que j’appelle “les menteries”… Mais l’excès de transparence nuit tout autant que les mensonges et les faux-plans de certains !

L’année dernière (ou en 2010, je ne me rappelle plus***) j’ai essayé de mettre cette nomenclature en place, après en avoir discuté avec les lectrices ; le constat au bout de deux mois était relativement simple :
– c’était une prise de temps et un excès de transparence justificative qui polluait l’article, et dont une partie des filles se fichait
– quant aux filles qui ne s’en fichaient pas, elles disaient elles-mêmes que ça biaisait leur lecture de l’article.

Donc assez de “bouh c’est mal de ne pas faire la distinction entre ce que t’achètes et ce que tu reçois” parce que c’est en jouant les ayatollahs de cette doctrine qu’on stigmatise nos plumes et qu’on oublie d’être “vraiment” objective, qu’on ait claqué notre argent de poche ou reçu le produit qu’on est en train de juger.

Personnellement j’ai fait fi de cette réflexion sans fin et je ne m’en porte pas plus mal.
D’ailleurs ça m’emmerderait tout autant de devoir faire le distinguo :
– “livre offert par une amie”
– “livre offert par une marque”
– et “livre offert par une marque dont l’attachée de presse est une amie et je ne sais pas si ça va pas me rendre subjective dans mon jugement”

(Désolée, j’ai encore écrit un pavé mais ça faisait longtemps qu’on n’avait pas mis le sujet sur le dessus de la table. ^^)

 

*Mon dieu, je deviens vulgaire maintenant ^^
** J’ai dit que j’avais aussi l’outrecuidance de me penser réaliste :p
*** en fait ça date de 2010 et c’était les fameuses catégories “Produit offert” et “produit prêté”

 

Categories // Blogosphère, Humeur Tags // article sponsorisé, blogueurs, objectivité

La blogueuse est-elle une personne normale ?

05.30.2012 by Mlle Gima //

Comme vous avez pu le constater, je n’ai pas blogué depuis trois semaines. Et c’est tout à fait normal. Enfin presque…
Pendant ces trois semaines, je me suis volontairement interdit de bloguer pour tenir un pari et surtout tenter une expérience : j’ai essayé de vivre dans la peau d’une non-blogueuse.

Car voilà, ça va faire 10 ans que je blogue.
Ma pratique du blogging a beaucoup évoluée et changée depuis les débuts, et ça ne fait que 5 ans je suis une true-serial-blogueuse 😉
J’ai tellement intégré mes blogs dans ma vie de tous les jours que je me demande parfois comment font les autres.
Tout ce temps que j’occupe par les blogs, qu’en font-ils ?

Car dans la semaine d’une MlleGima, il y a plusieurs vies à la fois (et je ne suis pas la seule blogueuse dans ce cas là).
J’ai déjà un emploi qui me prend 9 heures par jour.
J’ai aussi ma vie personnelle et notamment de gros travaux immobiliers qui me mangent tous mes weekends.
Et avec ça, j’ai aussi “le blog”.

Derrière ces deux petits mots se cachent une réalité beaucoup plus complexe qu’il n’y parait. Car derrière “le blog”, il faut bien comprendre que se cachent 2 à 3 présentations presse par semaine, 5 à 6 heures de rédaction entre brouillons et textes définitifs, les photos à réaliser et à traiter et, évidemment, les tests des produits !

D’ailleurs vous comprendrez à l’énumération de ces “tâches” qu’il est assez désagréable d’entendre dire “t’as trop de la chance de recevoir tout ces produits” alors qu’il n’est pas vraiment question de “chance” mais surtout de travail, de temps, d’entêtement et essentiellement de passion !

Illustration de la brillante Pulupulu,
tirée de l’excellent article “Etre blogueuse mode influente et travailler dans une PME” de Carine Rouzic pour Save My Brain
 

Or voilà que pendant 3 semaines, j’ai dû réfréner tous mes réflexes de blogueuse. ^^
Pas de “tiens, il faudrait que j’en fasse un article“. Pas de “Je rentre pas trop tard, j’ai plusieurs articles à écrire ce soir“. Et encore moins de “faut que je me connecte pour mettre en ligne l’article et suivre les commentaires“.
Pendant trois semaines, je ne me suis autorisé qu’une seule partie du “métier” de blogueuse : les présentations presse et les évènements de blogueuses.
Parce que je ne pouvais pas non plus prendre trop de retard…

Or, le constat est clair : c’est une tout autre vie !
Je n’ai jamais eu autant de temps libre pour m’occuper de ma vie de tous les jours et surtout, pour “ne rien faire”.
J’ai revu pas mal de copines, j’ai fait des couses en long en large et en travers, j”ai mis à jour toutes mes paperasses en retard, j’ai pas mal cuisiné, beaucoup bricolé, lu 4-5 bouquins et… me suis presque ennuyée !
Car si je dois tirer un diagnostic de cette expérience (pas désagréable en soit), c’est que la pratique du blogging est nourrie deux deux choses :

– l’hyper-curiosité, et l’envie constante de partager et raconter (je suis ne pas Miss “blablabla” pour rien ^^)

– l’hyperactivité, c’est d’ailleurs cette hyperactivité qui me semble être le point commun avec pas mal d’autre blogueuses. Notamment celles qui conjuguent vie professionnelle/vie personnelle/vie de blogueuse.

Car il faut quand même une grosse dose d’énergie pour arriver à nourrir un quotidien de salariée (au contraire du freelance qui est beaucoup plus flexible), une vie privée assumée (voire souvent familiale), et tout le travail et la passion que suggère la pratique du blogging.

Personnellement, j’ai trouvé que cela faisait du bien de faire une pause.
Parce qu’il est agréable de s’affranchir du poids des publications et des mises à jour. C’est aussi agréable de pouvoir s’oxygéner le cerveau en dehors du rythme boulot/famille/blogging.
Mais une fois qu’on a pris goût à ce bouillonnement constant, il est aussi extrêmement difficile de s’en passer.
Et si j’ai apprécié de prendre trois semaines “dans la peau d’une autre”, j’ai le clavier qui me démange devant tous les articles que j’ai dû réfréner pendant ce temps.

 

 

 

Categories // Blogosphère, Humeur, Le blog Tags // blogueuse, vie de blogueuse, vis ma vie

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