Mon Côté Fille

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Courrier de lectrice : les parabens, c’est vraiment dangereux dans les cosmétiques ?

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Depuis le temps que le sujet traine dans mes brouillons, il fallait bien que je revienne un jour sur le sujet, sachant que le sujet des parabens remonte maintenant à plus de 10 ans – et oui ma pauvre Lucette, ceci ne nous rajeunit pas 🤗 –  ! 
Alors merci à Laurence, qui me fait mettre les pieds dans le plat avec sa question sur leur hypothétique – -ou pas- dangerosité dans les cosmétiques.


Et pour cause, même si elle a osé envoyer sa question via le courrier des lectrices, ce n’est pas la première fois que j’entends dire “ne rien y comprendre” quand il est question des parabens et des cosmétiques. On remerciera pour cela nos amis les médias qui ont tiré une sonnette d’alarme, certes, mais en créant une nouvelle confusion dans la compréhension des cosmétiques par le grand public  🙈

Mais d’abord, place à la question de Laurence :

Je me pose une question qui pour l’instant reste sans réponse, alors peut-être que vous pourrez m’éclairer.

En effet, on sait désormais que le paraben est à fuir et donc tous les produits qui en contiennent aussi.
Autant certains produits, l’écrivent en grand “sans paraben”, bon bah là au moins, je suis fixée, autant pour d’autres, c’est assez flou….

Et je possède une crème que j’affectionne beaucoup, que vous connaissez bien sûr c’est la crème 8 heures pour les mains de la marque Elizabeth Arden.
Sauf que l’autre fois par hasard je retourne le tube et lis la composition… et là que vois-je…..
butylparaben, ethylparaben, isobutylparaben, methylparaben et propylparaben….. gloups!!!!

C’est de la même famille que paraben??????
Je suis désolée de vous poser cette question mais si vous pouviez m’éclairer ce serait top!!!!

Faut-il éviter les parabens dans les cosmétiques ? Explications, conseils et réponses

D’abord, minute historique : pourquoi a-t-on peur des parabens ?

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Courrier des lectrices : au secours des ongles d’Alice

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Je vais enfin partir en vacances (à mon tour). Et pas n’importe où : à New-York, la Mecque des nails bars et des smoothies Veggie*.
J’ai évidemment prévu d’y faire du shopping et de regarder ce qui s’y passe en terme de beauté. Mais je peux d’ores et déjà vous parler d’un des produits beauté que je vais ramener de là bas 😉
Et c’est le mail que m’a adressé Alice qui m’aide à ne pas oublier de faire un stock de cette merveille !

Voici le mail qu’elle m’a envoyé cet été :

“J’aurais souhaité que tu m’aides pour avoir des ongles en bonne santé. Depuis plus de 20 ans j’ai fait une réaction au vernis à ongles et je n’en mets plus.
Seulement j’ai un souci avec mes ongles qui se fendent et se cassent dans le coin ; parfois ils deviennent tout mou et tombent.

Quels produits tu me conseillent ?

En ce moment j’utilise le serum ecrinal, la creme à cuticules de chez lush, la creme camberry de vitry. j’applique tout cela le soir, le résultats sont longs longs“

Ayant moi même eu l’interdiction d’utiliser des vernis pour raison de santé, je sais qu’il n’est pas possible de trouver un produit de remplacement sans connaitre l’ingrédient qui déclenche l’allergie.
Mais vous avez peut être une idée que je n’ai pas eu ?

 

Car j’en ai surtout profité pour lui parler d’un soin/vernis qui a fait des miracles pour mes ongles en pleine période de travaux à la maison.
Et depuis, je suis complètement acquise au fortifiant transparant Nailgrowth Miracle de Sally Hansen.

Nailgrowth Miracle de Sally Hansen, 13.3 ml – 11 € chez Sephora (attention, c’est un produit très souvent indisponible !)

En pleine exposition aux produits chimiques, aux coups et aux mauvais traitements, mes mains n’en menaient pas large durant le mois de juin. Pourtant, en un mois, j’ai retrouvé des ongles entiers et parfaitement solides.
Et aujourd’hui, avec un mois de soin supplémentaire et des compléments alimentaires cheveux/ongles j’ai même des ongles beaucoup plus beaux qu’avant !

Le soin dépose comme un pansement sur l’ongle qui va le fortifier et l’aider à pousser sans craindre les dédoublement et les chocs. Il suffit de renouveler l’application régulièrement pour voir ses ongles s’allonger petit à petit, au rythme de leur croissance. Et ça, bien mieux qu’avec les traitements Mavala ou OPI que j’ai pu essayer précédemment !

Par contre, avant la première utilisation et toutes les 2 semaines pendant le traitement, il faut faire une manucure complète (on raccourcit, on lime, on repousse les cuticules) ! Ça aide beaucoup à la repousse propre et solide de l’ongle.

 

 

 

* Oui, je sais, c’est aussi la patrie de la junkfood, des cupcakes dégoulinants de matière grasse et j’en passe et des meilleures. Mais laissez mes rêves tranquilles :p

 

Luméa ou My Elos : Comment choisir un épilateur à lumière pulsée ?

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L’épilation définitive ou durable, tout le monde en rêve. Il est donc normal qu’on se pose des questions sur la meilleure façon d’y parvenir. J’avais déjà fait un article pour vous aider à distinguer l’épilation dite définitive et l’épilation dite durable, mais le mail que j’ai reçu aujourd’hui pose une question très intéressante sur l’épilation à la lumière pulsée :

J’hésite (depuis qq mois) à m’acheter un épilateur à lumière pulsée (le Luméa ou Me My Elos) et comme vous m’avez l’air plutôt au point sur ces sujets & que vous n’avez pas d’actions chez les uns ou les autres, je préfère m’adresser à vous.
Je m’épile depuis des années et je voudrais savoir pourquoi on peut s’épiler en utilisant le my elos et pourquoi on ne pourrait pas s’épiler avant d’utiliser le luméa ? J’ai vu les vidéos, et visiblement c’est mieux quand le flash agit sur les petits points rouges post-épilatoires ? Pourquoi le rasage est donc préconisé ?
Je suis un peu perdue !

Je vous ai déjà présenté le Me de My Elos et Luméa en vidéo. Car j’ai testé les deux, sans avoir d’action chez l’un ou chez l’autre ;-), et je peux donc vous donner mon avis à ce sujet.
Mais d’abord, il faut expliquer pourquoi les appareils à lumière pulsée demandent un rasage et non une épilation…

 

L’explication technique :

Comme toutes les épilateurs à lumière pulsée, le Luméa envoie une dose de lumière à travers le poil pour détruire son bulbe. Il faut donc couper le poil au dessus de la peau, pour ne pas provoquer de brûlure, mais surtout pour laisser du poil sous la peau car la lumière va passer au travers de celui ci et aller détruire le bulbe. Si on épile avant de passer le Luméa, ça ne sert donc à rien !

A l’inverse, l’épilateur Me propose de s’épiler ou de se raser. Ceci car il utilise deux méthodes d’épilation : la première (que l’on vient de voir) et une complémentaire par radiofréquence.
Et c’est cette technologie de radiofréquence qui permet de proposer une épilation à la lumière pulsée après arrachage du poil !

Lorsque l’on m’a présenté le produit, c’est effectivement cette innovation qui m’a séduite et que j’ai longtemps essayée. Ce que l’on m’a expliqué à son sujet est assez simple :
On commence par une dépilation classique, en enlevant le poil et son bulbe avec un épilateur (ou avec une cire qu’il faudra très très bien rincer pour ne pas provoquer de brûlure ensuite !). Lors de l’extraction du bulbe, une micro goutte de sang va se loger à la place de celui ci (ce sont les fameux petits points rouges post-épilatoires).
Tant que ces micro points rouges sont présents on peut utiliser le flash du Me car il va utiliser ceux-ci comme cible pour détruire ce qui fait naitre un nouveau poil.
En fait, la radio fréquence associée à la lumière flash va cibler la micro goutte de sang. Il n’y a donc pas besoin d’un poil sous la peau pour aller détruire la source du poil.
Et c’est ce qui rend la technologie du Me supérieure, puisqu’il peut cibler le bulbe avec ou sans rasage.

Ce que j’en pense :

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