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Test du gel douche pour peau réactive Vendome

01.13.2010 by Mlle Gima //

Avec les températures basses qu’on connait depuis le début d’année, les peaux sèches sont à la fête. Je ne sais pas pour vous, mais lorsqu’il m’a fallu changer de gel douche et opter pour quelque chose qui nourrisse ma peau sensible, je mettais beaucoup d’espoir dans le nouveau produit proposé par la marque Vendôme. Et ma foi je suis plutôt contente !

Gel douche micellaire Minéraux et oligo-éléments sans savon Vendome pour peaux réactives – 400 ml – 3,60€

(existe aussi à l’huile d’abricot pour peau sensible)

En vente dans les grandes surfaces

Ce qu’en dit la marque :

Enrichi en minéraux et oligo-éléments, ce gel douche micellaire hydrate* et aide les peaux réactives à se ressourcer. Garanti sans savon, il apaise et prend soin de votre peau. Son parfum rafraichissant sa mousse enveloppante procurent une réelle sensation de bien-être après la douche.

L’expertise dermatologique
Développé avec notre dermatologue

  • Formule haute tolérance cliniquement prouvée
  • pH neutre pour la peau
  • Hypoallergénique**
  • Sans savon
  • Convient à toute la famille (enfants et adultes)

Le plaisir au quotidien
Sa texture gel délivre une mousse onctueuse et laisse votre peau douce et délicatement parfumée.

Composition :
Aqua , Sodium Laureth Sulfate , Glycerin, Cocamidopropyl Betaine, Lauryl Glucoside, Bisabolol, Magnesium Aspartate, Sucrose Cocoate, Zinc Gluconate, Copper Gluconate, Polysorbate 20, Polyquaternium-7, Sodium Chloride , Sodium Sulfate, Ceteareth – 60 Myristyl Glycol, Cocamide MEA, Disodium Cocoamphodiacetate, Disodium Laureth Sulfosuccinate, Laureth-3, Trisodium Sulfosuccinate, Disodium EDTA, Citric Acid, Sodium Glycolate, Methylisothiazolinone, Sodium Benzoate, Parfum.

Avis personnel :

Franchement je n’imaginais pas m’en sortir aussi bien avec un produit au prix si bas. J’ai la peau particulièrement sèche et réactive en hiver. Du coup je ne confie mon gel douche qu’à des marques dermatologiques comme Avène ou Uriage pendant les périodes froides (les gels douches sont tous au dessus de 10 €).

Mais là non seulement le produit est agréable (quoiqu’un peu frustrant avec son odeur très légère et sa transparence) et absolument pas “médicalisé”, mais en revanche peu ludique. Il n’y a certes pas beaucoup de mousse, mais le produit enveloppe la peau dans une sensation de protection très agréable.

Niveau rinçage c’est parfait et l’efficacité pour ce qui concerne la souplesse et l’hydratation est remarquable. En plus aucun tiraillement ou plaque. Un vrai bonheur.

Il n’y a pas à chipoter : je garde (et je recommande)


Synthèse :

On aime :

  • Le parfum léger
  • La texture enveloppante
  • Le rinçage parfait
  • Le soin parfaitement efficace sur ma peau
  • Le prix riquiqui
  • La grande contenance
  • faut que je continue là ? 😀

On n’aime pas :

  • RAS

    La note :  5/5

Categories // Bio, Produit offert, Santé, Test produit Tags // corps, gel, hygiène, peaux, reactive, vendome

Pourquoi j’ai choisi une cure minceur en Thalasso ? Partie 2

12.18.2009 by Mlle Gima //

[suite de la première partie où il est question de poids et du pourquoi de cette cure]

Maintenant voyons ce que m’a proposé l’équipe de thermes quand je suis arrivée.

Contrat de soin par l’équipe des thermes de St Malo.

Avant toute chose il y a un rendez vous chez le médecin pour vérifier l’état de santé et définir un programme de soin adapté à notre objectifs, nos besoins réels et l’état de santé. Personnellement j’ai sauté cette étape (du fait de ma maladie la semaine dernière et du report de mon séjour). J’ai donc profité d’un planning de soin “type” avant qu’on ne l’adapte à ma morpho après la première visite chez le diététicien.

Ce programme étant orienté minceur il mélange les soins de thalasso (détente, santé) et du spa (esthétique et bien être) sur lesquels on reviendra plus tard. Car avant tout c’est la visite chez le nutritioniste dont il faut vous parler. La diététique c’est ma révélation du séjour, je suis absolument ravie de cet aspect de la cure car ça décomplexe complètement sur les questions de nutrition. Et quand on parle nutrition on ne parle pas que nourriture.

Le cure comprend plusieurs modules dédiés à la diététique : 2 consultations chez le nutritionniste, 2 ateliers culinaires, et une conférence sur la nutrition préventive. On peut choisir de participer ou non à chacun des modules. On commence par un entretien avec Frédéric Derat Carrière, le nutritionniste qui nous fait passer  un bilan personnalisé axé sous trois problématiques (et rien que pour ça, ça vaut le coup de le voir).

  1. Le bilan corporel : Ce sont des mesures de la composition corporelle faites avec un appareil adapté* (qui vaut le prix d’une berline quand même) et qui permettent d’obtenir le poid, l’imc, le taux de graisse, d’eau, de musculature, de localisation des lipides, etc… ( une cinquantaine de mesures au total faites en 40 secondes chrono).
  2. Le bilan alimentaire : cette fois ci ce sont des questionnaires papier qui vont permettre d’analyser votre alimentation ; les excès, les manques et les déséquilibres éventuels. Même s’il n’y a que peu de tests, les résultats sont loin d’être succincts. Si on s’efforce d’être honnête dans les réponses, on s’aperçoit que les résultats sont plutôt bluffants !
  3. Le bilan comportemental : c’est ma partie préférée où l’on remplit encore des questionnaires mais qui concernent essentiellement notre mental, notre rapport a la nourriture etc. Rien qu’à lire les questions c’est déjà intéressant.

Vu que j’ai demandé un bilan complet, il m’a fallu revenir pour le second rendez-vous afin de leur laisser le temps d’analyser correctement les résultats. Car de ces trois axes de recherches on va obtenir une belle quantité d’infos.

Dans mon cas il est agréable de constater que ma petite balance withings (malgré le peu d’options d’analyse qu’elle a en comparaison à la machine professionnelle) n’a pas fait d’erreurs quant à ma composition corporelle et son interprétation. Mais avec la grosse machine on a un bilan plus complet et surtout des indices qui donnent des résultats spécifiques. A ce propos le nutritionniste m’a gentiment indiqué un excès de masse grasse au niveau du ventre (oui merci, j’avais remarqué) qui présente un danger certain  à moyen/long terme (bouuuuuh, j’veux pas d’diabète !).

D’autre part j’ai obtenu des félicitations quant à mon régime alimentaire puisque celui ci est suffisant mais aussi parfaitement équilibré (faudra juste rajouter du poisson et des oléagineux).

Par contre, c’est sur le troisième axe de recherche que ça ne va pas. Car si mon trop plein corporel est bien présent, ce n’est pas à cause de mon régime alimentaire ni un déséquilibre émotionnel ou psychologique (certains tests sont spécifiques aux troubles alimentaires et servent à prévoir un éventuel soutien psychologique).

En fait je grossit de pas grand chose mais régulièrement car je ne sais pas avoir faim, ni ne plus avoir faim !

Je m’explique : chez certaines personnes le rapport à la nourriture est biaisé par un déphasage entre le “savoir alimentaire” (la restriction cognitive) et le “ressenti alimentaire” (sentir quand on a “vraiment” faim et lorsqu’on n’a plus faim).

En fait, pour comprendre,  il faut d’abord comprendre ce qu’est la restriction cognitive :

La restriction cognitive consiste à manger sans tenir compte des informations que nous fournit notre organisme par le moyen des sensations de faim et de satiété. On mange selon des plans  préétablis, dans des quantités préétablies. Dans une première phase le sujet rigidifie son comportement : il met en place des stratégies de contrôle alimentaire strictes, telles que l’éviction de certains aliments par exemple. Dans une seconde phase, inconsciente, le sujet s’éloigne davantage de ses mécanismes de régulation interne (faim et envie sont confondues, de même que rassasiement et plénitude gastrique). La période de satiété (espace normal de non-faim entre deux prises alimentaires) est brouillée par la crainte d’avoir faim, et la crainte de succomber à ses envies. […]

Source : “la restriction cognitive face à l’obésité, histoire des idées, description clinique”

Il s’agit donc d’arrêter de penser à “bien manger” ou “manger sain” voire “manger peu”, mais se reconnecter à son corps qui sait de lui même s’arrêter lorsqu’il a assez. C’est bête mais c’est encore le meilleurs moyen d’équilibrer les apports journaliers en calories et les besoins réels de notre corps. Et cela tient au simple fait que ce sont des relations hormonales entre le cerveau et les masses adipeuses qui crééent les sensations de faim ou de rassasiement!

D’ailleurs, le nutritionniste en a profité pour me faire un petit court magistral sur la relation physiologique du corps et de l’alimentation, mais aussi sur la psychologie de la faim. Et franchement, quand on a compris ça, on voit les choses beaucoup plus clairement. Je vous recommande grandement cet article sur la faim, cette image sur les relations hormonales liées à l’alimentation, et ce schéma expliquant le rôle d’une hormone secrétée par les masses graisseuses  et régulant l’équilibre faim/satiété ainsi que le stockage graisseux. J’ai bien conscience que ce n’est pas aussi clair qu’un nutritionniste qui vous l’explique en face, mais ce sont de bon indices.

Cette démonstration m’a permis de comprendre ma prise de poids. Car si je mange correctement, je mange un peu plus que ce que réclame mon corps chaque jour. Or avec un un excédent de 60 calories par jour, figurez vous qu’on prend 3 kilos dans l’année (et vlam ! autant pour moi). Et quand on sait que notre corps est capable de calculer tout seul les calories qu’il va consommer, pourquoi se prendre la tête à les compter ou adapter un régime ?!?

Bref, j’en ai fait l’expérience cette semaine : en écoutant la sensation de faim on limite déjà grandement les prises alimentaires. Tiens d’ailleurs : saviez vous qu’un aliment consommé en l’absence d’une sensation de faim (sous l’émotion, la cognition, la contrainte sociale par exemple) entraine un pic d’insuline 3 à 4 fois supérieur (or l’insuline est l’hormone responsable de l’augmentation de la masse de graisse). Mais surtout en écoutant la sensation de rassasiement (qui marque l’arrêt nécessaire de la prise alimentaire),  on respecte les apports caloriques demandés par le corps à chaque repas, c’est presque magique !

D’ailleurs ce n’est pas la sensation de “ventre plein” qui doit faire comprendre qu’on a assez mangé, mais la simple sensation de ne plus trouver satisfaction à manger ce que l’on a en bouche. C’est assez fin comme sensation, mais si on prend la peine de l’écouter vous allez voir qu’on peut vraiment réduire ce qu’on pense devoir manger. Entre chez moi et la pension diététique j’ai diminué d’entre un tiers et de moitié ce que j’ingère en terme de calories ; alors certes ici c’est spécialement étudié mais quand même…

* Mesure de composition corporelle par SMFBIA (indépendance segmentaire à multiples fréquences)

Categories // Minceur et Régimes, Thalasso, Thalasso et Thermalisme Tags // cure, Minceur et Régimes -, poid, Thalasso, thermes marins de Saint Malo

Pourquoi j’ai choisi une cure minceur en Thalasso ? Partie 1

12.18.2009 by Mlle Gima //

Commençons par le commencement voulez vous : pourquoi suis je actuellement en Thalasso ?

A la base cela vient d’une invitation des Thermes eux-mêmes qui souhaitent faire connaitre leurs soins. Une agence de com’ m’a proposé de candidater et j’ai été retenue pour le reportage. Il faut dire que plusieurs de leurs programmes de soins s’adressent aux femmes de tous ages qui souhaitent travailler leur silhouette. Et là, je pense que j’avais déjà de quoi faire un exemple :p

Pour dire les chose franchement, je suis en sur-poids avec une silhouette plus ou moins “gracieuse” (merci de ne pas lire graisseuse). J’ai donc été particulièrement emballée par l’idée d’une cure minceur.

Petite analyse de morphologie Gima-esque.

Je fait 1m78 pour 83 kilos. Niveau mensurations cela donne un 107 de hanches, 99 de taille, et 102 de poitrine. Pas de quoi hurler d’horreur, mais c’est pas non plus Claudia Schiffer. D’ailleurs, c’est une silhouette pour laquelle je m’estime heureuse car les “amas” se repartissent relativement bien, surtout si on regarde mes analyses de poids :

Je triche un peu parce que ces chiffres sont tout droit issu de l’analyse faite par ma balance, un petit bijou de technologie qui me permet de me la couler douce (je monte dessus et elle fait toutes les analyses avec graphiques qu’elle envoie sur mon pc par wifi, merci withings !).

On constate donc que si l’IMC dépasse de peu le poids de forme (qui est arbitrairement fixé à 25) il y a quand même un gros problème quant à “l’équilibre des masses”. La masse maigre est constituée des os, des muscles et des éléments de constitution corporelle normaux. La masse de graisse contient pour sa part du gras (et oui, fallait s’en douter). Or, le rapport entre ces deux masses permet de mieux comprendre sa constitution. En l’occurrence le site internet de suivi de poids par la Withing explique très bien cela :

Le suivi seul du poids ne rend pas compte de l’évolution des différents compartiments de notre corps, qui ont des impacts de santé et d’esthétisme différents. Pour contrôler un objectif d’amaigrissement (perdre de la graisse), grossir (prendre du volume) ou bien simplement maîtriser son équilibre corporel et sa forme physique, on distinguera deux constituants de notre corps : la masse maigre et la masse grasse.

L’alimentation et l’activité physique ont des effets distincts sur chacun de ces compartiments, et il n’est pas possible d’interpréter correctement une variation de poids sans l’analyse précise de chacun de ces compartiments.

Par exemple, certaines femmes voient leur poids augmenter en période prémenstruelle. Cette variation est due à une augmentation de l’eau stockée dans la masse maigre, sans qu’il y ait eu aucune prise de graisse. A l’inverse, une activité physique intense peut entrainer une perte d’eau par sudation et donc une perte de poids de 1 à 2 kg en quelques heures. Mais là encore, aucun impact sur la graisse. Les variations significatives de la graisse stockée prendront d’ailleurs toujours plusieurs semaines. Enfin, certains régimes alimentaires, mal adaptés, peuvent conduire à une fonte musculaire, sans perte de graisse, et donc ne pas conduire à l’effet esthétique attendu. Le suivi distinct de l’évolution de la masse grasse et de la masse maigre aidera à détecter un tel déséquilibre alimentaire.

La masse maigre, c’est l’ensemble des muscles, des os et des organes.

Elle contient les éléments vitaux, l’eau et des électrolytes (environ 73%), des sels minéraux et des protéines (27%). La masse maigre rassemble les moteurs de l’organisme, qui consomment de l’énergie : elle est donc un bon indicateur de la possibilité de maigrir.

Par exemple, un ancien sportif maigrit toujours facilement (bonne capacité d’utilisation des acides gras libres par le muscle au cours de l’effort). A l’inverse certains sujets de poids normal peuvent avoir une masse grasse à plus de 40% du poids corporel; l’amaigrissement sera alors difficile sans pratique d’activité physique. En effet, l’exercice physique développe la masse musculaire, ce qui accélère la vitesse à laquelle les calories sont brûlées. L’augmentation de la masse musculaire va augmenter le taux métabolique, ce qui contribue à diminuer un excès de graisse corporelle et aide à perdre du poids sainement.

La connaissance et le suivi de sa masse maigre sont donc importants pour interpréter correctement une variation de poids et mieux agir. Un régime alimentaire déséquilibré peut conduire à une fonte musculaire, ce qui n’est pas souhaitable pour rester en bonne santé. A partir de la masse maigre peut être calculée la dépense énergétique quotidienne de repos. Il est légitime d’ajuster le niveau calorique de l’alimentation pour maigrir sur celui de la dépense énergétique de repos. Au cours de la perte de poids, la dépense énergétique de repos diminue, et on pourra ainsi adapter le programme diététique.

Pourquoi contrôler la masse de graisse ?

La graisse est un élément vital qui assure la régulation thermique de l’organisme et protége nos organes et articulations.

Si une certaine quantité est donc nécessaire pour être en bonne santé, un excès de graisse est à éviter car il entraîne des risques pour la santé, au delà des conséquences esthétiques. Un excès de tissus adipeux (de graisse) peut entraîner des maladies cardio-vasculaires ou de l’hypertension.

L’appréciation initiale de l’importance de la masse grasse et le suivi de son évolution au cours d’un régime est donc intéressante. Or un excès de graisse n’est pas toujours visible, et il n’est d’ailleurs pas toujours accompagné d’un excès de poids.

Au cours d’un régime, il est motivant de pouvoir constater une perte réelle de masse grasse grâce à ses efforts.

Donc si on se base sur mon analyse on peut parfaitement comprendre que mon excès de poids est causé par la sur présence des corps gras et que c’est à ça qu’il faut s’attaquer avant toute chose. Mais surtout, on peut comprendre que c’est de l’exercice physique, plus qu’un régime alimentaire, qui est à recommander dans mon cas.

Maintenant voyons ce que m’a proposé l’équipe de thermes quand je suis arrivée… [Dans la suite]

Categories // Santé, Thalasso, Thalasso et Thermalisme Tags // cure, Minceur et Régimes -, poid, Thalasso, thermes marins de Saint Malo

Test du Gel intime bio Melvita

12.12.2009 by Mlle Gima //

En cosmétique, on a souvent tendance à différencier les cosmétiques de plaisir et les cosmétiques d’hygiène. Les accros aux shampoings /gels douche hurleront à l’injustice puisque les fabricants essaient de rendre les produits de plus en plus ludiques (donc addictifs). Or, s’il y a un produit d’hygiène sur lequel ont fait l’impasse sur le confort et le glamour, c’est surement le gel d’hygiène intime (ça et les cotons tige :p). Seulement c’est un produit nécessaire et extrêmement utile. Or, vu que celui ci est en contact constant avec des muqueuses, il me paraissait important d’en trouver un équivalent bio. Et après quelques temps de recherche (franchement pas glamour d’ailleurs) j’ai fini par trouver “chaussure à mon pied” (si je puis dire).

Gel hygiène intime MELVITA – Mauve Cramberry Hibiscus – 225 ml – 10,65 €

Certifié Cosmétique écologique et biologique par ECOcert 99,74% du total des ingrédients est d’origine naturelle
10,11% du total des ingrédients est issu de l’Agriculture Biologique

Ce qu’en dit la marque :

Frais et délicatement parfumé, ce soin intime assure une parfaite hygiène quotidienne en préservant la sensibilité des muqueuses et l’équilibre de la flore.

Réalisé à l’aide d’une base végétale moussante très douce, il marie les vertus purifiantes du cranberry et de l’acide lactique de sucres à l’action adoucissante et protectrice de l’hibiscus et de la mauve. Formulé sans savon et très bien toléré, ce Gel d’hygiène intime a été testé sous contrôle gynécologique.

Test mené sous contrôle gynécologique :
Très bien toléré, ce gel d’hygiène intime bio a été testé sous contrôle gynécologique par un laboratoire indépendant sur 21 volontaires. Il a été apprécié pour ses caractéristiques organoleptiques (texture et aspect agréables, mousse suffisante et rinçage facile), pour son efficacité/tolérance.
(sensation de fraîcheur, de douceur, de confort, de propreté et de protection).

Composition EU [US] :
Aqua [Water], Glycerin, Decyl Glucoside, Caprylyl/Capryl Glucoside, Disodium Cocoyl Glutamate, Coco-Betaine, Maris Aqua [Sea Water], Sodium Lauryl Glucose Carboxylate, Lauryl Glucoside, Xanthan Gum, Parfum [Fragrance], Lactic Acid, Sodium Sweetalmondamphoacetate, Sodium Cocoyl Glutamate, Sodium Chloride, Vaccinium Macrocarpon Extract [Vaccinium Macrocarpon (Cranberry) Fruit Extract]*, Coco-Glucoside, Glyceryl Oleate, Sodium Benzoate, Hibiscus Sabdariffa Extract [Hibiscus Sabdariffa Flower Extract]*, Geraniol**, Malva Sylvestris Extract [Malva Sylvestris (Mallow) Flower Extract]*, Sorbic Acid, Hordeum Vulgare Extract*, Linalool**, Potassium Sorbate, Citric Acid.
*Ingrédients issus de l’Agriculture Biologique / proceeding from Organic Farming.
**Constituants naturels du concentré aromatique / Natural components of fragrance.

Avis personnel :

Petite précision tout d’abord : comme c’est un produit bio, destiné à une zone sensible qui plus est, j’ai crains de tomber sur un produit à la durée de vie extrêmement courte. Toutefois le flacon indique qu’il  peut être utilisé pendant 6 mois. Vu la taille de celui-ci je dois dire que les 10,65€ qu’impliquent son achat  restent un investissement moindre que ce à quoi je m’attendais. J’en suis à mon second flacon et le premier a duré trois mois, or je l’utilise à chaque douche.

Niveau utilisation ensuite ce serait presque un plaisir d’avoir à l’utiliser puisqu’il crée une mousse délicate, épaisse et douce avec un parfum léger et très agréable (mélange de  fleurs et de “propre”). Pour rincer aucun problème : un coup d’eau et il n’y a plus rien (en dehors d’une sensation de propre et de douceur :p).

Reste à juger de  son efficacité, et là c’est éloquent : en 5 mois, zéro problème ou inconfort. Je ne partais pas non plus avec un cas difficile, mais le résultat est là ! Le flacon est définitivement adopté.


Synthèse :

On aime :

  • Odeur et texture très agréable
  • Mousse et se rince très facilement
  • Aucune sensation d’inconfort
  • Durée de vie du flacon assez longue ce qui rend le prix d’achat plus intéressant que mes anciens produits.

On n’aime pas :

  • RAS

    La note :  5/5

Categories // Bio, Santé, Test produit Tags // Bio, corps, gel, hygiène, hygiène intime, melvita

Le match du mois : les produits désinfectants pour les mains

09.25.2009 by Mlle Gima //

Avec la rentrée scolaire on entend toujours parler des questions d’hygiène en société (la faute aux poux des écoliers), mais cette année la mode est à l’hygiène des mains pour cause de spectre de la grippe A. L’état lui même vous somme de vous laver les mains et/ou d’utiliser une solution hydro-alcoolique.

Pourtant je subodore que vous n’avez pas attendu la hantise des épidémies modernes pour vous équiper en solution anti-bactériennes pour les mains, quiconque utilise le métro en période de gastro/rhume/grippe sait qu’un lavage de mains après trajet ne peut pas faire de mal. Et je ne parle pas des repas pris sur le pouce sans pouvoir se laver les mains au savon.

Or, si vous avez déjà utiliser ce genre de produits, vous vous êtes peut-être demandé ce qu’il y avait dedans (en dehors de l’alcool), et vous avez peut-être voulu trouver un équivalent bio ou naturel. Moi oui, et c’est ainsi que j’ai mis en compétition les quelques produits qui existent sur le marché.

Pour juger les produits, j’ai utilisé plusieurs critères :

  • le coté pratique
  • l’odeur
  • la présence de résidus ou les mains qui collent
  • l’efficacité relative
  • —–

    PREVEN’S – Lingettes antiseptiques

    • Produit antiseptique sans rinçage
    • Produit biodégradable
    • 2 € les 10 lingettes

    Tout d’abord j’ai essayé les lingettes preven’s : efficace, rapide, je peux les balader facilement partout et elles ne collent pas les mains tout en sentant vraiment très bon avec un petit parfum de menthe qui n’est pas agressif comme celui du menthol.

    Coté écologique ce sont des lingettes végétales donc biodégradable mais pas de produits bio ; les ingrédients sont majoritairement d’origine naturelle, mais sans certification…

    Le packaging montre quand même ses limites car ce sont des paquets de 10 lingettes, ce qui occasionne une grosse consommation au mois. Si on utilise 2 lingettes par jour 5 fois par semaine, cela revient à 8 € mensuel*, soit le prix moyen de ce type de produit, mais dès lors qu’on a une consommation plus importante le prix de revient perd toute attractivité.

    Note 3/5


    ALLO NATURE – GEL NETTOYANT MAINS SANS RINÇAGE


    • Produit certifié cosmétique bio
    • nettoyant sans rinçage
    • testé sous contrôle dermatologique
    • 8 € les 75 ml

    Le gel Allo Nature est celui que j’ai trouvé le plus facilement en magasin. Aux extraits de citron (c’est un antiseptique naturel), il possède aussi de l’alcool, ce qui en fait un nettoyant sans rinçage, mais l’emballage n’annonce aucune mention de pouvoir anti-bactérien.

    A l’usage il sent très bon avec un parfum léger et il ne dessèche pas les mains (car enrichi en aloé vera bio). Par contre après application il faut compter 2 bonnes minutes pendant lesquelles les mains restent grasses et collantes malgré ce qui est dit sur le paquet, peut-être est-ce un souci de quantité ?

    Je l’ai utilisé pendant plus de trois semaine sans le finir, le format poche permettant de l’emmener partout avec soi. On peut conclure à une durée de vie de plus ou moins un mois. Soit 8 € le mois ?

    Par contre cela reste un simple nettoyant dont l’action anti-bactérienne reste à prouver.

    Note: 2,75 / 5


    BENTLEY ORGANIC – GEL ANTI-BACTÉRIEN POUR LES MAINS


    • Certifié bio par l’association SOIL (label biologique du Royaume Uni : Certifiés organiques et 100% naturels)
    • Action anti-bactérienne sans rinçage
    • sans alcool
    • 9 € les 50 ml

    Voila la très bonne surprise du test mensuel : le premier gel anti-bactérien sans alcool c’est déjà quelque chose, mais quand on découvre que le gel se transforme en mousse pour l’application c’est un cri d’enfant ravi qui s’échappe de l’utilisateur. J’ai testé sur plusieurs amis et à chaque fois la réaction est la même !

    Ludique, pratique et efficace  le produit sent délicatement bon et ne colle pas plus de 15 secondes !

    Une vrai bénédiction en somme, malgré le prix un poil plus élevé que la plupart de ses concurrents. Mais l’étiquette annonce que le flacon permet 125 applications, soit plus de 3 mois de durée de vie* avec un usage normal.

    Note : 5/5


    SURYA BRASIL – GEL SANITAIRE BIOLOGIQUE POUR LES MAINS (Hand Sanitizer)

    • Action anti-bactérienne déclarée (tue 99,99% des bactéries)
    • 100% du total des ingrédients sont d’origine naturelle dont 48 % bio.
    • Produit végan
    • certifié eco-cert, cosmétique bio, et non testé sur les animaux
    • Existe en flacon pompe 200 ml (17€) et tube de poche 60 ml (5,90 €)

    Voila l’autre bonne surprise de ce match. Un gel diffusé depuis peu en France et qui joue la carte du bio, du ludique et de l’efficace.

    Première surprise ça sent le menthol de dentifrice quand on sent le tube et lors de l’application le gel fond extrêmement rapidement en libérant une odeur de menthe fraiche qui s’exhale pendant qu’on se frotte les mains. Puis elle s’atténue et si on ressent la gène des mains qui collent pendant 30  secondes, il n’y a plus rien après : mains nettes, sèches et une légère petite odeur fraiche. Je n’aime pas le menthol, et pourtant ce gel a fini par me séduire (c’est toutefois pour cette odeur très présente que le produit n’obtient que 4,70/5).

    En plus, c’est le moins cher de tous.

    Note: 4,70 / 5

    Donc il n’y a pas de mystère, sur ce comparatif la mousse Bentley sort gagnante, mais talonnée de près par le gel Surya qui compense son parfum prenant par le prix le plus bas.


    * calculé sur la base de 2 applications par jour pendant 5 jours par semaine soit 40 applications mensuelle

    Categories // Bio, Produit offert, Santé, Test produit Tags // anti bactérien, épidémie, Bio, désinfectant, hygiène, mains, naturel

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