A Noël dernier j’ai fait un rapide saut à Londres pour profiter de la fièvre des soldes. 48 heures à arpenter les rues du centre ville et à manger une nourriture que j’adore (même si tout le monde ne partage pas mon gout pour la gastronomie anglaise 😉 )
Et comme d’habitude, je suis revenue les poches pleines de petites trouvailles beauté made in London.
Voici donc ma revue des cosmétiques repérés à Londres à la fin de l’année 2011 :
- La vaseline crème brûlée :
Premier gadget beauté déniché en arrivant sur place : le célèbre baume vaseline disponible avec un parfum “crème brulée”. Aussitôt vu, aussitôt adopté. Même texture et efficacité que le baume classique.
Par contre je n’ai pas vraiment été convaincue par le parfum.
Heureusement quelque part, car je craignais que celui-ci ne soit trop écœurant !

- La gamme de cosmétique A’kin:
Le gros coup de cœur de ce voyage fut pour la marque vegan A’kin. Une marque non seulement belle mais aussi très agréable à utiliser et à la formulation très propre. Sans cochonneries (paraben, sulfate, etc …), sans substances animales, et basée sur des actifs végétaux.
Dommage qu’elle soit assez chère et principalement distribuée dans des magasins santé (personnellement je les ai trouvé dans les boutiques Holland & Barrett).






Le produit est conforme au référentiel NaTrue et respecte : des teneurs minimales en substances naturelles, et maximales en substances transformées d’origine naturelle (le référentiel fixe un seuil officiel en fonction du type de produit)
Ce produit est conforme aux exigence du Natrue 1 étoile mais il contient aussi 15% (au moins) de substances naturelles non modifiées chimiquement et au maximum 15% de substances transformées d’origine naturelle. D’autre part, au moins 70% des ingrédients naturels doivent provenir de productions biologiques contrôlées et/ou de cueillette sauvage contrôlée (ou d’ingrédients transformés d’origine naturelle)
Ce dernier niveau d’exigence reprend les précédents mais augmente les exigences de composition avec au moins 20% de substances naturelles non modifiées chimiquement et un maximum de 15% de substances transformées d’origine naturelle. Enfin, au moins 95% d’ingrédients naturels doivent être issus de culture biologique contrôlée et/ou de cueillette sauvage contrôlée (ou d’ingrédients transformés d’origine naturelle)



Ce symbole (l’anneau de Moebius) est souvent produit sur des emballages en carton ou plastique. C’est le symbole qui vous indique que l’emballage est recyclable. Mais attention, ça ne vous explique pas dans quelle poubelle il faudra le mettre ! Référez vous aux notices que distribue votre municipalité pour savoir dans quelle poubelle vous devez glisser votre emballage lorsque le produit est vide.
Quand un emballage contient un matériaux recyclé, il affiche le même symbole que lorsqu’il est décrit comme “recyclable”, mais il contient un pourcentage au centre de celui ci, qui indique le taux réel de matière recyclée dans l’emballage.
C’est sans doute le symbo le le moins bien compris des usagers. Je ne compte pas le nombre de fois où j’ai du expliquer à des amis que ce symbole ne veut pas dire “matière recyclée” ou “matière recyclable”.
Les symboles FSC et PEFC sont des logos d’engagement quant à la filière bois. Les trouver sur un emballage en carton ou papier signifie qu’il s’agit de matériaux issus de forêts gérées de façon durable et de produits à la traçabilité établie. Attention : il ne s’agit pas toujours de produits recyclés (même si c’est souvent le cas) !