Archives pour 2010

Darphin mon nouveau allié hydratation

06.14.2010 by Mlle Gima //

Depuis deux mois je me maquille presque tous les jours. Une nouveauté chez moi, mais il était nécessaire, à la sortie de l’hiver, de reconstruire mon teint. Du coup j’utilise différentes poudres minérales chaque matin, et force est de constater qu’il y a une sècheresse en fin de journée. Visiblement ce serait dû à la marque que j’utilise mais je n’en suis pas sûre.

J’ai saisi l’occasion pour essayer une nouvelle crème hydratante, assez légère pour être agréable sous les températures printanières, et suffisamment hydratante pour tenir le defi d’une hydratation pour peau asséchée. Et c’est la nouvelle hydraskin de Darphin qui a joué le challenger.

Hydraskin Essential- Darphin – émulation hydratation continue – 50 ml -39 €

Ce qu’en dit la marque :

Hydraskin Essential
Cette émulsion fraîche et légère désaltère instantanément l’épiderme et le gorge de confort.

TYPE DE PEAU	Tous

RESULTATS	La peau est plus souple, plus douce. La peau est visiblement hydratée pendant 24h. La peau est illuminée et radieuse, immédiatement et durablement.

INGREDIENTS	Technologie Hydra-Structure (Salicorne, Lavande Papillon) Imperata Cylindrica, Vitamine E.

APPLICATION	Appliquer une petite quantité sur le visage et le cou. Masser doucement en mouvements ascendants. Peut être utilisé le matin après le Sérum approprié et le soir après le Soin d’Arôme approprié.

Ce que j’en pense :

Quand on m’a présenté la crème j’ai été étonnée par les statistiques de résultats. Éclat de la peau, souplesse, réhydratation en profondeur. Avec ma peau toute desséchée de fin de journée, j’étais évidemment très curieuse de faire moi même l’essai.

A l’usage on apprécie la promesse marketing tenue : une crème légère, ultra fondante, un parfum aquatique frais et doux. Un vrai plaisir à utiliser.

J’ai commencé par l’utiliser le soir, après le démaquillage. Non seulement elle est plus légère qu’un sérum mais elle est surtout ultra agréable et répond vraiment au besoin d’une peau qui a soif. D’ailleurs pour les peaux très sèches, il existe aussi un sérum complémentaire.

Depuis un mois je l’utilise aussi en crème de jour. Elle pénètre rapidement, ne laisse pas de film gras ou de brillance sur la peau. L’épiderme est tout de suite plus souple et doux et, je dirais même que la peau est regonflée. Un effet push up frais et agréable en somme. C’est un vrai petit bonheur.

Par contre, attention aux peaux sensibles et réactives. En l’utilisant comme d’habitude le matin, mais après un soin très en profondeur, j’ai eut la surprise de rougir, rougir, rougir. Sa composition aux huiles essentielles peut parfois faire réagir.

Synthèse

J’ai beau cherché, je n’ai pas trouvé de point négatif à cette petite crème hydratante. D’ailleurs, Darphin pousse le vice en y intégrant du karité équitable directement approvisionné dans un village du programme Ideal Providence Farms. Une démarche de commerce équitable nouvelle, qui aboutit à l’introduction du karité dans d’autres produit Darphin et à l’inauguration d’une crèche entièrement financée par Darphin dans ce village partenaire du Ghana.

On aime :

Texture, parfum tout est bon
Efficacité et légèreté
le nouvel esprit éthique associé au karité de cette gamme

On n’aime pas :

Note :

5/5

Les Nails Bars OPI : culture of color

06.11.2010 by Mlle Gima //

Maintenant que le concours avec Esthetic Factory est terminé je peux vous montrer le reportage tel que je l’ai écris à l’origine.

Mais d’abord, je vais vous demander une minute d’autosatisfaction.

Parce que … J’ai gagné !

Un jury de professionnel (journalistes et écrivains) a élu l’article sur le Nail Bar comme l’article le plus en phase avec les attentes pro du concours.

Je n’ai pas réalisé tout de suite mais je suis ra-vie. Merci !

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Une manucure minute dans un nail bar à l’américaine ? A Paris, maintenant, c’est possible.

En France, lorsqu’on prend rendez vous pour un soin beauté, on pense avant tout modelage et soin du visage ; on veut des soins attentifs, des gestes techniques et un cadre lounge propre à se détendre et prendre plaisir au soin. Des papouilles sérieuses et appliquées en somme. Parfois même trop sérieuses pour nos voisines anglo-saxonnes qui s’attendent surtout à de l’efficace et du vite fait. Preuve en est avec la manucure.

Malgré l’arrivée des nail bar dans les grands magasins, le soin des ongles est loin d’être en France ce qu’il est aux États Unis. Là bas, il n’y a pas une semaine sans que notre cousine d’Amérique ne passe un quart d’heure au salon du coin pour faire une manucure et une pose de vernis. C’est une institution qu’on regarde ici avec les yeux ronds et l’envie d’avoir la même chose.

Jusqu’à présent, le choix en manucure n’était pas très large : soit on la jouait endimanchée avec un rendez vous chez l’esthéticienne, soit on passait sur le corner d’une boutique pour des soins sans rendez vous mais sans aucune intimité.

Les nails bars OPI : Culture of Color

Heureusement, une nouvelle alternative s’installe à Paris depuis l’année dernière : les nail bars à l’américaine.

La chaine Culture of Color, dont le troisième salon ouvrira en mai rue Turbigo, en est le parfait exemple. Entièrement dédiées aux soins des mains et des pieds, les trois adresses de la chaine ont appliqué la règle qui fait la renommé des salons US : plaisir, flexibilité et efficacité.
Dans des cadres chics et simples, on est reçu sans rendez vous pour la pose d’un vernis, ou avec rendez vous dès qu’il s’agit d’un soin de plus d’un quart d’heure.

Alors certes, ça n’a pas le luxe affiché d’un salon haut de gamme, et la simplicité du cadre surprendra certaines, mais on est ici dans un bar à ongles au sens propre. On s’assoie dans un fauteuil massant pour les soins des pieds ou directement au bar lorsqu’on veut soigner ses mains.

Devant vous, plusieurs centaines de couleurs à choisir et mixer selon son humeur. Les esthéticiennes qui officient là sont toutes des spécialistes de la beauté des ongles, et même lorsqu’elles sortent de l’école elles ont déjà suivi deux ans de spécialisation. Et ça, ça fait toute la différence.

Mains de fée et conseils adaptés.

Lorsqu’on est, comme moi, bonne feignante des soins de l’ongle, c’est un régal de venir papoter pendant sa manucure et poser toutes les questions qu’on veut à ces pros. Poser son vernis comme il faut, trouver une solution à des ongles striés, bien entretenir des faux ongles, il n’y a pas de questions bêtes pour celles dont les mains expertes finissent d’embellir les vôtres.

Avant / après : on observe le changement de couleur mais aussi de taille et de forme.

Et leurs conseils ne sont pas de trop lorsqu’ arrive le moment fatidique du choix du vernis. Parce qu’il a beau être magique, ce choix, parmi 200 vernis OPI, on se sent bien seule lorsqu’il ne faut en choisir qu’un. On voudrait à la fois tout essayer et ne sortir qu’avec le plus beau. Dur, dur…

Heureusement la boutique propose aussi un choix de vernis et de produits de soins à la vente. On repartira donc avec le flacon si la couleur nous a tapé dans l’œil. Et quand on connaît la qualité des vernis OPI et la rareté de leurs points de vente, c’est parfait ! En plus, quand la pose de vernis ne coûte que 5 euros, il n’y a plus de questions à se poser. Désormais, à 10 heure, on ne dit plus : “je vais me prendre un expresso au café d’à coté” mais plutôt “je vais me faire faire les ongles et j’arrive“.

Plus d’infos :

– Le site : http://cultureofcolor.com/index.html

– Les Instituts : 196 rue de Grenelle, 75007 Paris ou 87 rue Réamur, 75002 Paris (prochainement ouverture rue Turbigo)

– Les Tarifs : Vernis : 5 €, French : 9 €, Manucure classique : 20 €, pédicure : 35 €, faux ongles : 58 €

Et toi, pourquoi tu blogues?

06.10.2010 by Mlle Gima //

Et c’est reparti pour un tour, on a ressorti le “scandale” du business des blogs !

L’année dernière, je collectionnais les articles traitant de ce sujet en espérant apprendre à me méfier, à comprendre comment éviter l’écueil.

En février il y a eu un article un article où j’essayais de trouver mon point d’équilibre, et vous m’y avez aidée.
Depuis, je me contente de suivre ma voie en espérant ne pas faire de faux pas.

Alors, évidement, j’ai lu l’édito de Glamour et son dossier sur le business des blogs de mode. Ça ne m’a pas vexée et ça n’a m’a pas choquée, ça m’a juste un peu navrée.
Les réactions indignées qui ont suivi ne m’ont pas pour autant interpellée.
Une fois de plus on remue les mêmes arguments et les mêmes doléances.
Et n’allez pas me dire que c’est parce que ce dossier concerne les blogs de mode.

Le problème des blogs qui ne s’ouvrent que pour les cadeaux s’applique à toutes les thématiques de blog, l’envie de faire du trafic est inhérente à tous les blogs, et l’aspiration à la professionnalisation vient chez nombre d’entre nous.
J’en suis un bon exemple puisque je suis moi même de l’autre côté :
consultante web et blogueuse.

Alors que faire? Que dire?

Franchement ? Je m’en cogne !
Rester droit dans mes bottes, c’est tout ce qui m’intéresse et je préfère faire fi, autant que possible, de ceux qui dénoncent, ceux qui répliquent, ceux qui sont sincères, ceux qui surfent juste sur le buzz…

Bloguer est une affaire de passion, il est normal qu’il en résulte des débats “passionnés”. Mais je laisse la joie des débats qui n’en finissent plus aux autres. Moi, j’aime juste bloguer.