Blog beauté et wellness sans tabous ni complexes !
C’est avec grand plaisir que Mon Côté Fille prépare sa quatrième année à vos côtés.
Après les distinctions de 2011, 2012 ne sera pas une mince affaire 😉
Merci à tous pour votre fidélité et votre suivi.
Puissiez vous passer d’excellentes fêtes de fin d’année, et très bonne année 2012 à tous !
J’ai repris le chemin du bureau depuis le mois de juillet… Avant j’étais freelance, maintenant je suis salariée.
Et c’est entre autre ce qui explique la baisse du rythme de publication sur le blog.
Mais du coup, j’ai aussi renoué avec la sociologie du travail et les collègues !
Et c’est un vrai apprentissage pour moi. Car à force de travailler en pyjama avec son chat pour seul interlocuteur, on en oublie vite ce qu’est le travail avec des vrais gens. 😉
Et c’est aussi une source constante d’émerveillement pour moi, parce qu’une dizaine de personnes qui s’affairent autour de soi, c’est quand même plus stimulant que le chat qui s’étire et baille pour toute action de sa journée.
Entre autres, mes collègues savent tous que je tiens ce blog et que c’est pour cette raison que des livreurs viennent m’apporter des paquets au bureau. Même si c’est toujours une question de cosmétiques, ça titille la curiosité de tout le monde. (Et pas juste parce que je m’amuse à essayer les parfums féminins sur ces messieurs :p).
Or, depuis cet été, il y a un cosmétique qui a rendu la visite à mon bureau très populaire. Et c’est à lui que je dédie ce billet hommage 😉
Crème main neutrogena absorption express
En été les journalistes (et les blogueurs) reçoivent généralement les produits d’hiver et les éditions spéciales de noël. A ce titre, j’ai reçu pas mal de produits hydratants que je glisse dans mon sac pour les tester le soir venu.
Or, il y a eu ce flacon de crème pour les mains Neutrogena qui est resté sur au travail. Parce que je trouvais le format particulièrement pratique pour un bureau et qu’il est toujours pratique d’avoir de la crème pour les mains… à portée de main.
On fait quelque chose, on remarque qu’on a les mains sèches, et “poufpouf” on se met de la crème d’un simple coup de pompe.
En plus la crème ne rend pas les mains grasses ou collantes, c’est juste parfait.
Le truc, c’est que ce flacon fait le même effet à toute personne venant me voir à mon bureau. Il est tout simplement trop pratique pour se faire oublier.
Et depuis cet été, personne n’a plus les mains sèches à notre bureau. J’ai même fini par en offrir un autre flacon à une collègue qui en avait marre de traverser l’ensemble des bureaux pour venir prendre “sa dose” !
Donc en bref, si vous voulez être populaire au bureau : arrêtez d’offrir des cafés et proposez de la crème pour les mains 😉
J’adore fouiller dans les vieux magazines et les journaux d’époque. J’ai l’impression de prendre une machine à remonter le temps et de m’immerger dans une époque délicieusement désuète.
En l’occurrence, ce sont les brocanteurs qui m’offrent la plupart de mes “voyages dans le temps”, en emballant mes achats dans d’antiques papiers journaux. Grâce à ces emballages, je m’offre de cette lecture rétro au combien savoureuse et anecdotique.
De fait, le journal qui rembourrait l’un des petits sacs vintage que j’ai achetés cet été m’a donné envie de vous faire ce petit article… de façon à partager avec vous cette jolie réclame sur un produit minceur :
De nos jours, le comité d’éthique publicitaire aurait déjà bondi sur les responsables de la marque pour qu’ils prouvent les allégations cosmétiques et “Anti-graisse” dont il est mention dans la publicité… 😉
Mais, ce que je retiens surtout, c’est ce premier paragraphe qui se veut plutôt confident et pas vraiment commercial…
Une façon plutôt courtoise de faire de la publicité, aux antipodes des publicités qui vous apostrophent et qui vous stigmatisent comme celle dont je parlais dernièrement.
Ça n’empêche pas le reste du texte d’être de la réclame pure et dure, mais j’apprécie le charme suranné de cette publicité et la courtoisie de son propos pourtant critique.
Est-ce qu’on pardonne à la réclame parce qu’elle est vintage, ou est ce le ton du texte qui se distingue de nos publicités actuelles ?