Mon Côté Fille

Blog beauté et wellness sans tabous ni complexes !

On fait le point sur les culottes menstruelles

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Dites donc, depuis le temps que j’annonce que ce blog est “sans tabous ni complexes” je m’aperçois que je n’ai jamais traité des culottes menstruelles (que tout le monde appelle “culotte de règles“).
Pourtant, ça a été une sacrée révolution à la sortie… et une sacrée foire d’empoigne une fois que toutes les marques ont essayé de se lancer sur ce créneau.

Et si on en profitait pour faire le point ?
Est-ce que ça marche vraiment ? Est-ce que c’est pas un peu crado ? Comment est qu’on les choisit… Je vous propose de faire le tour de la question puisque j’ai quelques années d’usage pour me faire un avis et que j’ai pu (aussi) en discuter avec des marques 😉

Culotte de règles ou culotte menstruelle : tout ce qu'il faut savoir pour en choisir

Petite histoire de la culotte menstruelle (et de ses clichés)

Pour celles qui ne connaissent pas “le monde d’avant”, on a commencé à parler de révolution dans l’hygiène féminine quand les moon-cup se sont démocratisées dans les années 2008-2010.
Puis ce fut la vague des culottes menstruelles à partir de 2015-2016 (si mes souvenirs sont bons).

Au début, on a pu en trouver qui venait des US, et d’autres fabriquées “home made” puis vendues dans des salons bio ou sur Etsy (oui oui, on revient de loin quand même :D).
Je crois que la 1ere “grande marque” qui s’y est mise en France a été Nana (avec vente en grande surface) puis Saforelle (avec vente en pharmacie). C’est d’ailleurs avec la marque Nana que je m’y suis mise avant d’essayer plein d’autres marques indépendantes (avec des succès, mais aussi des sacrés fails)

Les culottes menstruelles : pour qui ?

J’ai entendu tout et n’importe quoi sur le sujet. En parant du principe que c’était super pour les adolescentes, mais qu’ensuite ça n’absorbait pas assez lorsqu’on était “adulte”. Idée assez absurde, car même si les règles des ados sont encore en cours de “réglage”, elles peuvent atteindre (tout comme chez les adultes) 80 ml (ce qu’on considère comme la quantité d’un flux abondant).

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Le saviez-vous : les femmes et l’hygiène féminine en quelques chiffres

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Avec l’arrivée des culottes de règles l’année dernière, on a (re)vu pas mal de pubs et d’articles web parlant d’hygiène féminine. On a même parlé de “nouvelle révolution des règles”…
Pourtant le sujet de l’hygiène féminine est toujours resté d’actualité, en particulier avec le débat autour de la “taxe rose” et de la TVA des protections hygiénique.
Mais de manière générale, dès que l’on parle de règles c’est comme si on occultait ces questions à peine le sujet abordé ; elles font les titres pendant une semaine et puis on zappe le sujet dès la fin de la pause café !

Hygiène féminine : le sujet que vous ne sauriez voir ?

Pourtant les règles, les menstrues, les ragnagnas et consort c’est un sujet qui nous concerne pendant plus de 40 ans de notre vie de femmes. Et pas juste à l’adolescence et la ménopause !
Je n’ai qu’a regardé mon ancienne chaine Youtube pour voir que le sujet reste d’importance (ma “video blague” sur les serviette hygiénique reçoit toujours un ou deux commentaires par mois … depuis plusieurs années 0_o )

Du coup quand la marque PliM (qui vend des protections hygiénique lavables) à sorti cette micro infographie je l’ai trouvé particulièrement interessante.
Au point de publier ce petit billet rien que sur ce sujet parce que j’aime toujours autant les chiffres clefs 😛

Chiffres clefs des régles, protection hygiénique et l'hygiène féminine en France

Des chiffres qui surprennent ?

Avouez que plusieurs de ces chiffres ont de quoi surprendre…
Notamment que 30% des femmes ne savent pas ce qu’est le sang de leurs régles 0_0
Ou qu’une femme sur 4 connait des problèmes de périnée des 30 ans.

Je reste un peu septique par contre pour le budget des protections hygiénique car, selon moi, on est au dessus des 2,60euros par cycle non ? En particulier avec les protections hygiéniques écologiques.

Heureusement que les alternatives aux protections jetable sont disponibles désormais.
Avec une cup c’est ainsi plusieurs années de tranquillité tandis que les culottes de régles peuvent durer 1 ou 2 ans (comme les protections lavables en somme).
Sans compter les contraceptifs hormonaux qui peuvent aider à supprimer les régles…

Personnellement après deux grossesses le sujet est un peu au coeur de mon actualité. Et la masse de déchets créés pour/à cause du cycle menstruel me pousse à me poser la question de “tolérer” ou non ce cycle dont je n’ai plus usage…

Quand le vetiver se fait… exfoliant 100% naturel

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Il était temps que je vous dévoile la réponse à la devinette de la semaine dernière, non ?
Je suis désolée, des soucis de santé et un déplacement pas très bien préparé ont fait prendre l’eau à mon planning 😀

Devinette beauté spéciale Inde

Mais tout vient à point à qui sait attendre !
Voici la réponse à cette fameuse devinette :

l’OBNI indien que je vous présentais est en fait :

une brassée de feuilles de vetiver

… qu’on a roulé en boule

… puis laissé sécher

… et qui sert…

 à exfolier la peau !

Et oui ! C’est un gommage naturel qu’on utilise en Inde de façon quasi quotidienne et qui a la particularité (en plus) de sentir bon puisque ça sent, assez logiquement, le vetiver.

Pourtant, un débat demeure à son sujet : lorsque je l’ai acheté, la petite dame (qui ne parlait pas un mot d’anglais) m’a bien fait comprendre qu’il s’agissait des brin de vetiver (les feuilles) et non pas des racines de vetiver (dont on extrait les parfums). Or en tachant de recupérer des informations dessus, j’ai souvent pu lire qu’il s’agissait de racines.
Je suis loin d’être assez calée pour trancher, du coup je vous fais part des deux théorie.

éponge exfoliante Vetiver

Toutefois, le principe reste le même : on l’utilise en frottant, sur peau mouillée, après avoir humidifié la galette. Ca sent bon, c’est agréable, et ça semble rudement efficace car j’ai vu la différence sur mes coudes en moins de 3 semaines !

Certaines filles (australiennes et hippies) disent aussi l’utiliser en déodorant. Elles mouillent la galette et la frottent contre leur aisselle.
Perso je n’ai pas essayé mais à chacun ses propres défis :p

Par contre il ne faut pas s’étonner si vous ne trouvez que des modèles dans un petit filet plastique car c’est comme cela qu’elles sont désormais vendues.

éponge exfoliante au vetivier

Le vetiver, pour celles qui ne connaissent pas, est une plante extrêmement connue en parfumerie. C’est frais et végétal, ce qui en a fait un des ingrédients star des eaux de cologne et des parfums masculins.
Par contre, on extrait la fragrance de la racine du vetiver et non pas des feuilles 😉

 

Alors, qui connaissait ?

Se démaquiller avec de l’eau ? chiche !

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Quand on parle démaquillage, il y a souvent des camps qui se forment autour des différentes galéniques disponibles sur le marché. Il y a  celles qui sont adeptes du lait, celles qui préfèrent l’eau micellaire ou celles qui, comme moi, sont accro aux huiles démaquillantes…
Car le démaquillage, c’est avant tout une question de gout et de sensibilité personnelle.
J’ai ainsi une copine qui est persuadée que sa peau n’est pas propre si elle ne se démaquille pas avec une eau micellaire tandis que je trouve les eaux micellaires peu hygiéniques…
Mais parfois, au cours de ce débat intemporel, on entend s’exprimer une fange complètement extraterrestre : celles qui se démaquillent à l’eau ! Attention, je ne parle pas de celles qui se démaquillent le visage au savon ou au gel douche en prenant une douche le soir, je parle de celles qui utilisent “juste” de l’eau pour se démaquiller ! 😉

Quand on pense aux formulations des cosmétiques actuels, ça peut paraître surprenant de se contenter d’eau pour se laver le visage et faire confiance à un résultat “nickel”. Personnellement, “dans ma tête”,  j’ai besoin d’avoir une solution plus efficace que de  l’eau “toute simple” pour venir à bout de leur composition et nettoyer l’épiderme par la même occasion ! 😉

 

Pourtant, j’ai revu ma façon de voir les choses ces derniers temps… Car j’ai testé quelque chose qui m’a fait revoir ma position 😉

Convaincue depuis plusieurs années par les disques démaquillants lavables… j’étais prête à essayer quelque chose de nouveau lorsqu’on m’a proposé de faire confiance à des tissus “techniques” pour nettoyer sa frimousse. Et c’est ainsi que GLOV est rentré dans ma vie.

 

Le principe de GLOV est très simple : il s’agit de tissus en microfibres, permettant de se démaquiller sans utiliser de produits démaquillant… juste avec de l’eau tiède !

L’efficacité vient des microfibres qui “attrapent la saleté”, à la façon des micelles d’une eau micellaire ou des microfibres de votre swiffer 😉

Honnêtement, je trouvais la promesse ultra crédible et j’ai donc été enchantée par l’idée !

J’ai essayé ainsi deux produits de la marque : le gant démaquillant “on the go” et la serviette à angles “Comfort”.

Démaquillant naturel sans aucun produits

GLOV c’est quoi ?

Ce qu’en dit la marque :

Découvrez l’innovation Glov Hydro Démaquillage.
Grâce à l’exceptionnelle douceur de sa microfibre innovante vous allez pouvoir gagner un temps précieux !
GLOV Hydro Démaquillage optimise l’action de l’eau et enlève parfaitement toute trace de maquillage. La peau devient visiblement plus nette et très douce au toucher.
L’étonnante délicatesse de ses fibres assure un nettoyage en profondeur de toutes les impuretés à la surface de la peau tout en préservant son film hydrolipidique. 
Glov Hydro Démaquillage respecte l’hydratation de votre peau et exfolie délicatement sa surface.

Ce que j’en ai pensé à réception : 

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Toilette intime : la preuve par l’essai (concours inside)

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J’ai beau vous avoir parlé plusieurs fois des questions taboues et de la toilette intime, je m’aperçois souvent que ce sujet reste toujours peu connu (ou reconnu).
C’est comme si la toilette intime n’était découverte par les jeunes femmes que lorsqu’elles doivent faire face à de vrais problèmes gynécologiques (ou lorsqu’elles ont connu grossesse et accouchement).
Pourtant avec l’adolescence (et la fête des hormones), les débuts de la sexualité (et les tracas de “tuyauteries”) ou encore la pratique de certaines activités sportives et l’abus de plage , il y a tout de même une foule d’événements qui devraient inciter chacune à réfléchir à ce qu’on peut faire pour améliorer le confort et l’hygiène de cette intimité.

J’en discutais pas plus tard que le mois dernier avec une copine qui m’a avoué n’avoir découvert le rayon hygiène intime de sa pharmacie qu’à cause de sécheresse intime qu’elle avait confondu avec un inconfort sexuel.
La pharmacienne lui a gentiment expliqué que son souci de sécheresse intime ne se résoudrait pas avec du lubrifiant mais un simple soin lavant.
A plus de 30 ans, je pensais que les filles savaient faire la différence et connaissaient les principes de l’hygiène intime un peu mieux que ça…
Après tout, l’hygiène intime ce n’est pas que sentir bon partout-partout… c’est aussi prévenir et guérir les petits problèmes intimes !

Du coup, je lui ai offert un bouquin que je recommande à toutes : 800 questions au gynécologue aux éditions Marabout.
Une véritable bible pour comprendre notre intimité qu’on soit jeune fille, jeune femme, femme enceinte ou femme ménopausée !

Et puis, quelques semaines après, Saforelle (marque dont je vous avait déjà parlé) a sorti son nouveau soin lavant  ultra hydratant spécialement formulé pour les sécheresses intimes.
L’occasion faisant le larron, je peux donc vous parler de ce sujet ET vous faire gagner 3 flacons pour que vous testiez par vous même le soin et son efficacité !

toilette intime secheresse 2

Quelle est la différence entre ce soin et les autres savons intimes que l’on trouve sur le marché ?

En fait, pas grand chose puisqu’il sert à se laver sans agresser les muqueuses et leur PH spécifique. Il est sans savon et surgras pour s’adapter parfaitement aux besoins des muqueuses sèches.
Mais à la différence des autres produits, il est formulé pour avoir une action hydratante dédiée spécifique aux peaux sèches aux soucis de sécheresse intimes.

Ces fameuses sécheresses intimes n’ont rien honteux et ne sont pas directement liées à un manque d’hygiène. Elles peuvent venir des régulations d’hormones, de la prise de certains médicaments, de rapports sexuels très fréquents, de soins inappropriés (surtout en été), etc.

Donc pour éviter la sécheresse intime voici quelques bons gestes et solutions :

  • Bien se sécher après le bain
  • Éviter l’épilation intégrale qui favorise sécheresse intime et irritations
  • Chouchouter sa libido…
  • Ne pas dépasser 2 toilettes intimes par jour
  • Limiter la toilette intime à la zone vulvaire et ne pas faire de douche vaginale
  • Ne pas décaper, ne pas agresser la muqueuse intime (préférer un soin lavant sans savon)
  • Éviter de garder un maillot de bain mouillé trop longtemps
  • Ne pas abuser de l’alcool et du tabac !

D’ailleurs, n’hésitez pas à découvrir le dossier « De l’hygiène intime à la sexualité » sur le site Saforelle, ou à poser vos questions sur la page Facebook Saforelle :

toilette intime secheresse 1

Quant à ce nouveau soin, que dire ?

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