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De l’importance de mettre CORRECTEMENT sa crème solaire !

08.17.2014 by Mlle Gima //

J’ai annoncé hier, sur Facebook, que j’avais chopé des coups de soleil particulièrement douloureux. Et quasi immédiatement après, certain(e)s d’entre vous n’ont pas manqué de dire qu’en tant qu’apôtre de la protection solaire, je devrais avoir honte d’être sortie sans crème ! #dramaqueen

Il faut dire que cela fait des années que je répète à l’envie qu‘il faut se pro-té-ger, que “le soleil c’est bon mais à petite dose” et qu’“on n’est jamais trop prudent” !

Du coup, j’exagère un peu quand je dis qu’on m’a reproché mon laisser-aller solaire, mais c’est surtout que je m’en veux de m’être fait avoir ainsi :-/

 

Car voyez vous… j’ai MIS de la crème solaire !

Une super crème d’ailleurs, très efficace (comme on le verra,) le vrai coup de cÅ“ur beauté de mes vacances
(le spray hydratant SPF 50 de Vichy pour ceux que ça intéresse :-P)

Le souci, c’est surtout que je n’en ai pas mis PARTOUT !
Un truc bête, qui s’excuse pourtant dans le contexte où c’est arrivé #jecherchedesexcusesbonjour
Truestory :
Ce jour là, en plein cÅ“ur de l’Inde, je me suis préparée à partir en mettant de la crème sur les zones découvertes par mon tee-shirt. Puis, chapeau sur la tête et sac en main, je suis sortie pour aller visite le site grandiose de Hampi.
Le truc, c’est qu’une fois la porte franchie, j’ai voulu changer de tee-shirt pour quelque chose de plus plus léger (vis à vis des températures déjà élevées.)
J’ai donc passé un petit débardeur en coton et j’ai rejoint la jeep pour partir découvrir l’un des plus beaux sites d’Inde (et même du monde, c’est l’UNESCO qui le dit)

-à cette étape, la lectrice attentive aura noté que j’ai oublié un détail-

Quatre heures de visite de ruines plus tard, mon mari m’a fait remarquer que j’avais l’air rouge, et j’avais personnellement l’impression d’être complètement flagada.
On a profité du repas pour remettre de la crème solaire, puis on est repartis se perdre dans cette multitude de sites.

Je n’ai donc pas compris ce qui s’est passé avant qu’on soit rentré à l’hôtel, 3 heures plus tard.
Et depuis, je douille comme vous n’avez même pas idée !

Car voici le résultat :

autopsie d un coup de soleil

 

Vous remarquerez que la crème a parfaitement rempli sa fonction, et que mon tee-shirt arrête très bien les UV-A.
Mais pour le reste, j’ai des coups de soleil à la limite de la brûlure et depuis 3 jours (déjà) je fais des emplâtres de crème nourrissante.

Moralité :

Mettre de la crème solaire (et la renouveler toutes les 2h-2h30) c’est bien…
Mais la mettre comme il faut c’est mieux ! 

Categories // Soin de la peau Tags // brulure, conseils, coup de soleil, crème solaire

Les compléments alimentaires personnalisés TRIOX

03.31.2014 by Mlle Gima //

Chaque année je rencontre pas mal de marques qui se lancent ; certaines de ma propre initiative, d’autres parce que ce sont les marques qui souhaitent échanger sur leur produit, leurs ambitions, etc…
Je vous en parle rarement car ce n’est pas toujours probant et que j’ai rarement le coup de cÅ“ur.
Mais à l’automne dernier, il y a une marque qui m’a convaincue dans un domaine où je pensais avoir déjà tout vu : les compléments alimentaires.

D’ailleurs, ce n’est pas facile d’expliquer comment on peut avoir un coup de cÅ“ur pour un complément alimentaire, car ce n’est pas comme un médicament ou un rouge à lèvres  pour lequel on ressent/voit “tout de suite” un effet. J’ai beau consommer régulièrement des compléments alimentaires et adorer les draineurs, il faut être particulièrement attentif si on veut en noter les effets.
Les compléments alimentaires sont des coups de pouce qui ne peuvent fonctionner que lorsqu’on les inscrit dans un processus plus global.
D’ailleurs je vous ai déjà parlé des incompréhensions et des risques autour des compléments alimentaires.

Du coup, comment en suis-je arrivée à vouloir consacrer un article à la marque Triox ?
D’abord parce que j’ai eu un coup de cÅ“ur pour le produit, et ensuite parce que j’ai apprécié la démarche du labo qui en est à l’origine.

Et pour la peine, j’ai poussé le vice en négociant un code de réduction qui vous attend à la fin de l’article 😉

triox complement alimentaire 2

Le principe de Triox est simple :

– C’est une cure de compléments alimentaires fabriqués, sur-mesure, selon vos besoins.
– C’est un complément alimentaire liquide à prendre quotidiennement
– C’est un produit qui se range dans le frigo, dans sa boite tiroir spécialement conçue 

 triox complement alimentaire 1

Comment ça se passe ?

[Lire plus…]

Categories // Complément alimentaire Tags // bien-être, complément alimentaire, compléments alimentaires, draineur, Minceur et Régimes -, nautrel, personnalisé, santé, sur-mesure, Triox

Offrir une chance, à travers le don d’ovocyte

12.08.2013 by Mlle Gima //

Pour finir ce weekend, je me fends d’un billet un peu particulier, au bénéfice de l’agence pour la Bio-médecine.
Celle-ci a lancé une campagne à destination des mamans (et futures mamans) de moins de 37 ans pour les sensibiliser à la possibilité de faire un don d’ovocyte et d’offrir ainsi la chance de devenir parent à des couples qui ne le peuvent pas.

Pourquoi j’ai décidé d’en parler ?D’abord parce que la thématique du “don” me parle : je donne mon sang ou mes plaquettes quand je le peux, et je me suis déjà renseignée sur les dons de moelle osseuse.

Et puis aussi parce que, plus encore que pour les autres formes de don, le don d’ovocytes est largement insuffisant pour couvrir la demande. Je vous laisse voir les chiffres que j’ai pu trouver en farfouillant le site d’information (http://www.dondovocytes.fr).
Particulièrement ceux-ci :

chiffre don d'ovocyte

En fait, aujourd’hui, on trouve plus de 500 couples en Ile de France qui ont besoin d’un don d’ovocytes lors qu’il y a à peine plus d’une centaine de donneuses !
Et à l’échelle nationale c’est pire… 1800 couples en attente de don pour un peu plus de 400 donneuses.

Pas étonnant qu’on voit naître des campagnes d’information et que l’on nous propose des articles sponsorisés pour que l’information circule le plus largement !

 

Le site d’information sur le don d’ovocyte est pourtant vraiment bien conçu et riche d’information (même si le personnage animé font un peu flipper :-P)

On y découvre quels sont les enjeux et quelques témoignages de donneurs et de receveurs. D’un point de vue plus concret, on découvre aussi la procédure de don et l’on peut donner son contact ou découvrir le centre le plus proche de chez soi.

don dovocyte

D’ailleurs, pour celles comme moi qui ne sont pas maman (et qui, du coup, ne peuvent pas être donneuses), le site nous renvoie sur un portail qui nous est dédié et permet de s’informer et de faire passer le message.

Une très bonne initiative en somme, mais qui demanderait à être mieux diffusée, voire abordée dans les milieux médicaux et particulièrement les cabinets gynéco. Non ?



 

Categories // Article monétisé, Santé Tags // dons, dons d’ovocytes, fertilité, maternité, ovocytes, parents

Je suis intolérante au lactose… et alors ?

09.22.2013 by Mlle Gima //

Ça fait un long moment que je songe à écrire cet article, mais sa rédaction n’est pas vraiment facile. Et pour cause…
L’intolérance au lactose est une “petite maladie” qui n’est pas encore bien connue ni comprise en France, ce qui crée des problèmes au quotidien pour ceux qui en sont atteints.

D’ailleurs, l’intolérance n’est même pas une “maladie” : c’est une déficience en lactase, l’enzyme qui nous permet de digérer le lactose, le sucre du lait.

Chez un adulte caucasien normal, l’enzyme permet de digérer tous les produits laitiers naturellement sucrés (lait, crème, etc…). Mais chez les personnes atteintes d’intolérance au lactose, il n’est plus possible de digérer le sucre du lait, et il se passe ce qui doit se passer quand on ne digère pas quelque chose : maux de ventre, gaz et… sortie urgente par le bas*.

Dit comme ça c’est plutôt simple, n’est ce pas ? 😉

Sauf, qu’il y a de nombreux degrés d’intolérance :
– Certains intolérants (la majorité) produisent encore de la lactase et peuvent manger des produits laitiers en faible quantité ou des produits laitiers avec peu de lactose (le beurre par exemple) sans être malade. D’autres ne peuvent rien se permettre sans risque.
– D’autre part, la production partielle de lactase change et évolue en fonction d’un tas de facteurs différents (fatigue, maladie, stress, heure de la journée, etc…). Du coup, c’est assez difficile à gérer car vous pouvez manger un jour une tartine beurrée sans souci, et le lendemain subir les pires conséquences* avec la même tartine beurrée.

Or, en France, il est très difficile d’en parler avec un médecin. Surtout, de trouver un médecin qui connaisse le problème, vous prenne au sérieux…  et puisse vous accompagner.
Car pour la médecine généraliste française, l’intolérance n’est pas une maladie : c’est un “inconfort”…
Alors pour trouver une oreille à l’écoute, une seule solution : le gastro-entérologue.
C’est ce spécialiste de l’appareil digestif qui vous permettra de savoir si vous êtes vraiment intolérant(e) et qui vous réapprendra à manger ou ne pas manger certaines choses.

Quelle solution de diagnostic ?

Personnellement, mon intolérance s’est révélée à l’âge adulte (comme pour la plupart des intolérants,) et j’avais déjà pris le temps de consommer et d’adoooooooooooooorer les fromages et autres matières laitières prohibées.
Je ne savais pas, alors, qu’avoir tout le temps mal au ventre et des ballonnements n’était pas normal…
C’est en passant chez un rebouteux que j’ai eu la puce à l’oreille et, après 6 mois de régime sans lactose ni gluten, j’ai fini chez une gastro-entérologue pour faire des analyses et commencer un suivi.
Au bout d’un an de recherches infructueuses, découvrir quelqu’un qui m’a écoutée et qui comprenait ce que j’avais, c’était une bénédiction !
On est passé par des examens pas très sympa pour vérifier si le problème venait du gluten ou du lactose. On a fait 3 mois de régime différencié pour confirmer le diagnostic et…”bingo” : à 27 ans on m’a appris que j’étais intolérante au lactose et que je ne pouvais manger que des yaourts ou du lait appauvri en lactose.
Et dire qu’on m’a aiguillé vers ce spécialiste presque “par accident” (mon  médecin généraliste a eu peur que je sois allergique au gluten quand je lui ai parlé des effets bénéfiques de mon régime sans gluten ni lactose)

 

Quelle solution dans la vie de tous les jours ?

Une fois diagnostiqué, on pense souvent que notre “problème” va être réglé.
Sauf qu’en France, la seule solution qu’on vous propose est un régime sans lactose…

ERREUR !
Même les spécialistes semblent oublier que nos voisins d’outre-Manche ont identifié ce problème depuis longtemps.
Et qu’ils n’en font pas tout un plat car ils ont une solution tout faite : la lactase.
Car oui : il existe de la lactase de synthèse que l’on peut prendre en substitut et qui permet de manger des produits laitiers sans être (trop) malade.

Seulement, en France, on n’en trouve pas, ou peu.
Les cachets sont souvent faiblement dosés et doivent être pris 15 minutes avant le repas.
Pas super pratique, mais déjà un grand pas dans la vie d’un intolérant (on peut se faire plaisir, et on arrête de s’arracher les cheveux devant la liste interminables de produits contenant des traces de lactose.)

J’ai donc pris de la lactase pendant 2 ans, en France, avant d’aller regarder de l’autre côté de la manche pour découvrir qu’anglais et américains avaient des solutions beaucoup plus dosées.

Et depuis 3 ans, c’est l’extase !
Je peux manger sans crainte en utilisant des capsules de lactase qui agissent immédiatement, et qui sont assez dosées pour me permettre de tenir un repas, même un peu long et très riche en lactose.

Ça n’a l’air de rien comme ça, mais les différentes solutions et marques que j’ai pu trouver m’ont permis de remanger sans crainte ou phobie.
D’un point de vue social et gourmand, c’est un truc énorme !

Avant d’avoir la solution de la lactase en cachet, je me suis fâchée plusieurs fois avec des amis qui, à défaut de savoir quoi faire à manger, préféraient annuler les soirées, même lorsque que je proposais de faire la cuisine sur place ou d’apporter un substitut pour moi.
Que ce soit dans le milieu familial, amical ou professionnel, il est très difficile de faire comprendre que “non, on ne fait pas d’allergie” mais “non, on ne fait pas semblant“.
Et, lorsqu’on est soi-même mal informé, qu’on ne comprend pas ce qui se passe… on en arrive parfois à douter de soi et à avoir honte d’imposer sa façon de devoir manger.

Et si j’écris ce billet aujourd’hui, c’est surtout à cause de ça…
Parce qu’avec la mode du sans-gluten, on voit apparaitre des gens qui pensent mieux savoir que nous ce qu’est que l’intolérance au lactose, alors qu’il n’y a pas deux intolérances identiques.

Je me rappelle trop bien de cette période où l’on doute, on angoisse et on finit par croire les gens qui vous disent “mais en fait t’es pas vraiment malade“.

 L’intolérance au lactose n’est pas une science exacte, mais ce n’est pas une fatalité.
On peut vivre parfaitement avec  cette intolérance : si on est bien accompagnée, par un suivi médical éclairé, et avec de la lactase 😉

Lactase pour intollérance au lactose

PS : Quelle lactase choisir ?

Personnellement je me fournis quasiment exclusivement chez Holland et Barrett (UK) car leur lactase est la plus dosée que je connaisse (5 250 FCC).
Aux États-Unis j’ai choisi des cachets pratiques car emballés individuellement (je peux en laisser en voiture, au bureau et dans mon sac à main ‘au cas où’) mais qui ne sont dosés qu’à 3 200 FCC.

En France, je conseille plutôt les Alvityl Digest (2 tablettes = 4 500 FCC) car on les trouve facilement en pharmacie (il faut parfois les demander) ou les lactolérances (très pratiques avec leur boite métal et leur dosage à 4 500 FCC ) qu’on trouve sur Internet et en pharmacie.
Par contre je n’utilise plus la lactase Solgar car elle est désagréable à croquer et pas assez dosée avec 3 500 FCC

 

 

 

 

*oui, j’avoue que j’ai cherché comment dire “diarrhée aiguë” de façon poétique.

Categories // Alimentation & co Tags // intolérance, lactase, lactose, solution, témoignage

Vendredi confession : je suis addict aux compléments alimentaires

07.26.2013 by Mlle Gima //

Dans la vie, on a tous nos petites addictions et manies.
Chez certaines c’est le tricot, les réseaux sociaux, les fards à paupière bleu électrique, les chaussures Patricia Blanchet...
Chez d’autres c’est plus vicieux avec des addictions à l’alcool, la cigarette, voire les hallucinogènes ou drogues plus dures.

Chez moi, c’est à la fois moins grave et tout aussi original : j’adore les compléments alimentaires !

ilovejuvamine

J’adore ça, au point d’en utiliser 1 mois sur 2 et d’avoir de véritable tocs à certaines périodes de l’année :

– Impossible de commencer l’année sans ma cure detox.
– En février/mars j’aime bien me lancer dans une cure cheveux et ongles
– Au printemps et à l’été j’opte systématiquement pour des boissons drainantes
– A l’automne, j’attaque les cures pour renforcer les défenses naturelles et garder la forme.
– Et en hiver ? J’opte parfois pour des compléments ponctuels, si j’en ressent le besoin.

Je consomme les compléments alimentaires en véritable routine de vie, et je passe parfois pour une tarée auprès de mes collègues*
(Car s’il est facile de consommer ampoules et comprimés chez soi, les draineurs doivent être consommés tout au long de la journée. Or, de l’eau marronâtre, ça n’est pas très très discret, surtout quand on passe son temps à biberonner sa bouteille dans l’espoir de boire ses 1,5 L d’eau par jour 😀 )

accro aux complements alimentaires

Mais si j’ai l’air d’une addict aux promesses et allégations, je ne consomme pas tout et n’importe quoi.
Je dirais même que c’est le contraire !

Car malgré ma consommation soutenue, je reste surtout très attentive à ce que je prends et pourquoi.

D’ailleurs, vous vous rappellerez peut être de l’article que j’avais écrit sur ce sujet en 2010 : Le complément alimentaire me tuera-t-il ?
J’y avais expliqué les 5 règles de précaution que je respecte dans le choix d’un complément alimentaire :

– Ne jamais prendre plus de deux  compléments en même temps.

– Ne pas se faire prendre pour une buse et réfléchir à la composition et aux effet qu’on nous promet.

– Ne pas prendre de complément alimentaire lorsqu’on est malade sans en avoir parlé à son médecin.

– Acheter des produits sûrs ou certifiés.

– Les compléments alimentaires ne remplacent pas l’hygiène de vie.

(vous retrouverez le détail et le pourquoi de ces règles sur l’article ici)

 

Ces règles sont toujours d’actualité et semblent être une vraie nécessité lorsque j’entends des médias ou des consommatrices parler de cures complémentaires, de coup de pouce magique ou de médecine sur-mesure…
Et  j’ai eu assez de demandes d’interview sur le sujet pour me rendre compte qu’une simple consommatrice est parfois plus au fait des choses que des journalistes qui couvrent ce sujet O_o ça ce fut un chouette article sur le sujet avec une chouette interview

Certes, les compléments alimentaires sont un vrai coup de pouce pour la santé, le bien être ou la beauté.
Mais c’est utopique et dangereux de :
– Croire qu’en prenant plein de petites pilules “aux plantes” on va résoudre ses problèmes.
– Penser qu’un complément alimentaire minceur permet de perdre du poids sans efforts.
– Imaginer qu’un complément en vente libre va renforcer ou suppléer ses médicaments sans conseil d’un médecin**.

 

Personnellement je prends des compléments alimentaires car ils sont des compléments à mon hygiène de vie.
Les draineurs sont un vrai bienfait quand j’ai les jambes lourdes ou que je veux nettoyer mon organisme.
Les compléments pour les ongles sont un sacré coup de pouce à la sortie de la période froide, mais ne feront pas attention à mes ongles pour moi et ne remplaceront pas une manucure bi mensuelle.
De la même manière ma cure de gelée royale ou de ginseng ne remplace pas mon écharpe lors des premiers frimas.  😉

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Je sais que j’ironise mon discours en insistant sur ces point, mais je suis persuadée que le premier moteur d’achat d’un complément alimentaire est le “rêve d’un mieux être”, et non la véritable recherche d’un équilibre…
J’en veux pour preuve que la majorité des gens avec qui j’en parle me dise “ça marche pas” alors qu’ils ne suivent ni le protocole, ni le délai de cure.

Lorsque j’ai écrit et publié mon article sur les draineurs (ici) j’ai plusieurs personnes qui m’ont demandé comment je faisais pour “boire ça alors que c’est pas bon… et que ça ne marche pas“.
Je suis d’accord sur le fait que les anciens draineurs n’étaient vraiment pas bons. Mais ça s’est grandement amélioré (essayez le draineur Juvamine Citron de la photo ci-dessus : c’est ultra bon).

Mais si je les prends c’est surtout parce qu’ils me font du bien, et si ça marche c’est aussi parce que je suis les conseils d’utilisation, les délais de cure conseillée et que j’applique les conseils d’hygiène de vie qui vont avec !

 

 

* En fait, je crois qu’ils n’ont pas besoin de ça pour me prendre pour une folle
** Un diplômé, un vrai
(pas celui qui vend lui même ses compléments alimentaires non certifiés)

Categories // Complément alimentaire, Santé Tags // complément alimentaire, detox, draineur, juvamine

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