Mon Côté Fille

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Le complément alimentaire me tuera-t-il ?

05.21.2010 by Mlle Gima //

Évidemment, la question est ironique. Un complément alimentaire, pour être mis sur le marché, doit avoir prouvé son innocuité et porter certaines mentions légales. Pourtant, l’AFSSA (agence française de sécurité sanitaire des aliments) commence à s’intéresser à ces petites pilules et ampoules (voir ici). Très gros marché économique il faut dire, et surtout très gros intérêt de la part des français. Y a-t-il quelqu’un ici qui n’a jamais fait appel à des compléments alimentaires ?

Perso j’en fais au moins une à deux cures par année. Une à l’automne pour se mettre en forme avant la saison froide, et une au printemps, pour se préparer au soleil et sortir de l’hiver. Le chéri n’y coupe pas non plus, je lui coache un truc chaque année et depuis il ne me fait plus de rhume chronique.

Pourtant l’AFSSA a mis le doigt sur un détail que je trouve intéressant : le risque de pollutions croisées.

A force de prendre un truc pour les os, un autre pour les cheveux, un pour la mémoire, etc, on limite certaines carences mais on sur-consomme des apports minéraux (ou autres) sans en maitriser les compositions. Un apport alimentaire insoupçonné qui pourrait être la cause d’autres symptômes et maladies. Or, chez le médecin, on ne pense pas à signaler la consommation de ces produits. C’est l’excuse saisie par les autorités pour lancer, auprès des médecins, une études quant aux consommations des compléments alimentaires chez leurs malades.

Ceci étant dit, je m’aperçois qu’en plus de la cure de propolis en hiver et ma cure de carotène au printemps, je prends des compléments pour la peau en hiver, des ampoules pour la circulation dans les jambes l’été, etc…

Derrière la notion de complément alimentaire, il y a beaucoup de “petites cures” auxquelles on ne pense pas. D’une part parce qu’on n’achète pas tous les compléments alimentaires en pharmacie, mais aussi parce qu’ils n’ont pas la même forme et que, de toute façon, on oublie certains en cours de cure.

Je me suis dit qu’il fallait donc mieux encadrer ma consommation de compléments. Surtout au printemps, alors que tout le monde me propose ici une complément minceur, là une cure détox, ici une spéciale légèreté, ou encore des cures digestives et énergétiques.

Voici les conseils que j’ai pu rassembler :

– Ne jamais prendre plus de deux (voire trois) compléments en même temps. Le mieux étant d’organiser des cures indépendantes, quitte à sauter d’une cure à l’autre lorsqu’elle est finie. D’ailleurs, si on est vraiment un gros consommateur, on vérifie avec une personne habilitée (nutritionniste ou médecin) qu’à force de compléments on ne dépasse pas les apports journaliers recommandés de chacun des composants.

– Ne pas se faire prendre pour une buse et réfléchir à la composition et aux effet qu’on nous promet. Je suis par exemple ulcérée contre les compléments à base de ferments lactiques qu’on nous propose sous forme sèche… L’intérêt des pro-biotiques reposant sur le fait qu’ils sont vivants, les prendre morts ne sert à rien sinon à perdre son argent (tiens d’ailleurs, c’est pour ça que je tente la cure Aragan, parce que ce sont des ferments vivants.)

– Ne pas prendre de complément alimentaire lorsqu’on est malade sans en avoir parlé à son médecin. Les compléments alimentaires ne sont pas des médicaments :  ce sont des produits pour les gens en bonne santé qui veulent le rester. Dans certains cas, ce qui peut paraitre une bonne idée (avec ton traitement d’antibiotique t’es fatigué, on va te donner quelque chose pour le tonus) peut être lourd de conséquences (contre-indication ou inhibition des médicaments.) Méfiance donc, surtout avec les vitamines. Si votre médecin n’est pas trop borné, il acceptera de peser la question d’une cure de complément en vérifiant s’il n’y a pas d’interaction.

– Acheter des produits sûrs ou certifiés. Et oui, même les compléments alimentaires sont soumis à un trafic parallèle et à de la copie. Si vous voulez éviter d’absorber n’importe quoi, mieux vaut faire confiance à des marques vendues en boutique et surtout pas au Dr X qui vend ses produits sur le marché, sur internet ou dans la galerie commerciale de votre discounter. On n’achète jamais de compléments alimentaires sur internet sans pouvoir faire confiance à la marque distribuée (et encore). Ça ne doit pas empêcher de prendre un sachet de tisane chez le producteur d’herbe médicinale, mais faites preuve de bon sens !

– Les compléments alimentaires ne remplacent pas l’hygiène de vie. Ça se saurait s’il suffisait de gober une pilule (ou deux) pour avoir tous les apports réclamés par le corps. Des fruits et légumes, un peu de viande, des céréales, du poisson, ça suffit souvent à combler tous les besoins de l’organisme ; les compléments sont un bonus en cas de carence temporaire.

Categories // Alimentation & co, Complément alimentaire, Minceur et Régimes, Santé Tags // complément alimentaire, cure, saison, vitamine

L’art du Beauty-Crash-Test

05.06.2010 by Mlle Gima //

L’une des grandes différences entre les blogueuses beauté et des professionnelles de la rédaction beauté (les journalistes pour ne pas le dire), c’est que les blogueuses testent les produits pour de vrai. Je ne dis pas que toutes les journalistes n’essayent pas, mais elles n’ont pas le luxe de tout essayer.

Je pars de ce constat pour ne jamais céder à la facilité d’un article de “oui-dire” et me forcer à essayer tout ce dont je parle. Et pourtant, c’est de plus en plus dur, parce que vous n’imaginez pas tout ce qu’on nous en propose !

Or, à essayer tout et n’importe quoi, y a un moment ça passe plus. On a beau faire gaffe aux compositions et à la qualité du produit, vous vous doutez bien qu’on finit par avoir de mauvaises surprises. Ici un visage tout rouge, là de vilaines pellicules et, dans le pire des cas, l’allergie.

A cause de ça, j’ai fini par ne plus dire que “je teste des produits” mais “je fais des crash-test-beauté”. Ça fait pousser des hauts cris aux responsables des marques, mais je tiens à mon expression. Parce que le jour où vous vous levez avec l’impossibilité d’ouvrir les yeux à cause d’une allergie à la crème de nuit, ou que le dos du chéri se couvre de bouton parce qu’il a fait une réaction à un scrub, vous prenez toute la mesure des risque des essais cosmétiques.

Je veux bien militer contre l’abolition des tests sur les animaux, mais il faudrait aussi vous rendre compte de l’altruisme des blogueuse beauté 😉

Categories // Santé, Test produit Tags // allergie, beauté, blogueuse, réaction

Chirurgie esthétique : et si on faisait un point ?

04.24.2010 by Mlle Gima //

Credit photo : Peter Dazeley Je sens que ce titre va aiguiser la curiosité de certaines d’entre vous. Souvent, on considère qu’une fille qui aime les cosmétiques bio ne peut pas s’intéresser au domaine de la médecine esthétique (ou vice versa).

Et bien pour moi ça n’a aucun rapport : que l’on parle de chirurgie ou de médecine esthétique, on fait appel à l’estime et surtout l’image de soi. Un rapport intime qui s’affranchit de tout notre savoir et notre objectivité puisque, de toute façon, on perd toute objectivité lorsqu’on se regarde dans un miroir (ou une photo).

Je vais vous faire une révélation à ce sujet : mon fantasme de beauté ultime (en dehors de l’épilation définitive) ce serait une chirurgie esthétique pour faire disparaitre à jamais le double menton qui me pousse lorsque je ne me tiens pas droite.

Et oui, chacun ses complexes, chacune son avis sur les modifications corporelles. J’ai beau savoir que c’est une chirurgie intrusive, ça m’enlèverait un poids sur la conscience. Je sais faire la distinction entre un simple complexe et un handicap psychologique, mais ça me ferait taire cette petite voix intérieure qui s’immisce n’importe où et n’importe quand avec un “fais gaffe à ton menton, tu ressembles à un éléphant de mer“. Impossible de se concentrer sur ce que je disais alors, je ne pense plus qu’à ça.

Bref.

Si je vous parle de ça aujourd’hui ce n’est pas par hasard. Prochainement j’ai rendez vous avec un spécialiste dont on entend souvent parler et qui a accepté de jouer le jeu des questions-réponses avec vous, sur le thème des interventions esthétiques.

Du coup je vous propose de me laisser ici jusqu’au 5 mai toutes les questions que vous vous posez sur la chirurgie et la médecine esthétique. Vraiment tout : que ce soit sur de la chirurgie, des injections, des prothèse, etc. Je les présenterais ensuite à un chirurgien esthétique établi, qui y répondra.

On reviendra ensuite début mai pour débriefer tout ça. Essayez de poser les questions telles que vous les poseriez à un spécialiste ou à son cabinet , ce sera plus facile à traiter 😉

A vous la parole !

Ps: Après discutions avec certaines d’entre vous il parait  plus responsable en effet de retirer le nom du praticien, pour ne pas introduire des démarches commerciales dans une démarche avant tout pédagogique. Les points que vous avez soulevé en commentaire sont tout à fait légitimes et j’apprécie vraiment que vous vous en inquiétez. Merci.

Categories // Santé Tags // chirurgie, esthétique, médcine

Epilation laser, flash, durable, définitive : sachez faire la différence !

04.14.2010 by Mlle Gima //

C’est en lisant les commentaires laissés sur l’article du Luméa que j’ai réalisé à quels points ses termes semaient la confusion. Il est temps de remettre les choses en place pour ne pas se laisser duper par les discours commerciaux, et faire la lumière devant des propositions de soins pas toujours bien comprises par les esthéticiennes qui les dispensent.

L’épilation définitive c’est quoi ?

L’épilation définitive c’est celle qui dure plus de deux ans. Et il n’y en a qu’une qui réussit cette prouesse : l’épilation au laser. Une méthode qui ne peut pas être proposée en institut de beauté, car seul le corps médical a le droit de manier un laser épilatoire.

Les esthéticiennes ne sont pas toujours informées de ce cadre légal, et des médecins plus ou moins honnêtes ont déjà envoyé des filles en garde à vue en les laissant dans l’ignorance. Demandez toujours qui va pratiquer votre épilation lorsqu’on vous propose du laser. Il n’y a qu’un médecin ou un assistant compétant (vous avez le droit de demander preuve de compétence) pour manier un laser.

L’appareil envoie un laser qui traverse la peau jusqu’à la racine du poil et la détruit. Il faut de 4 à 6 séances pour des résultats optimums et la facturation se fait par zone et par séance.

Comptez un minimum de 400 € pour épilation définitive des aisselles, 600 € pour le maillot et 800 € pour les jambes. Les résultats durent de 2 à 6 ans.

Les séances sont plus ou moins douloureuses, mais la prescription de gel anesthésiant permet de limiter l’inconfort. Il ne faut pas s’exposer au soleil pendant le traitement. Les heures qui suivent un traitement peuvent laisser apparaître des gonflements et des marques qui s’estompent ensuite.

L’épilation flash (ou lumière pulsée) c’est quoi ?

C’est une épilation durable mais pas définitive. Elle est souvent proposée en institut comme une épilation définitive mais ce n’est pas le cas. Au meilleur des cas l’épilation flash dure 4 à 6 mois mais les poils reviennent toujours, moins épais, moins drus, mais ils reviennent.

L’épilation flash se fait en institut, en clinique et même désormais à domicile avec des appareils conçus pour. Il faut compter 2 mois et demi à raison d’une séance toutes les deux semaines pour avoir des résultats. Les séances ne sont pas vraiment douloureuses, mais parfois on note de l’inconfort quand les séances se prolongent trop (sensation de chaleur).

L’appareil envoie une dose de lumière pulsée qui fragilise la racine du poil et limite au fur et à mesure la pousse du poil.

Le tarifs global va de 80 € la séance de demi jambes à 500 € l’appareil à domicile. Cette méthode n’est pas utilisable sur les poils clair et les peaux sombres.

L’épilation électrique c’est quoi ?

Là encore on parle d’une épilation durable avec des résultats qui durent plus de 6 mois. Toutefois c’est une épilation extrêmement fastidieuse et parfois douloureuse puisqu’elle consiste à introduire une aiguille dans le follicule du poil et d’y faire passer un courant électrique pour détruire celui ci.

C’est une opération pratiquée par un médecin (ou une esthéticienne expérimentée) et connue avant tout parce qu’elle est en partie prise en charge par la sécurité sociale, dès lors qu’il s’agit de zones visibles et qu’il y a une maladie en cause. Toutefois, on peut la conseiller pour les femmes ayant un problème avec la moustache car la zone est limitée et la méthode très efficace sur pour ce traitement

Conseil :

Dans tous les cas, lorsqu’on vous propose ces épilations demandez un devis ! On a toujours tendance à vouloir croire que ça va être très vite efficace et qu’il nous faudra qu’un minimum de séances. Mais les résultats peuvent être longs et donc chers.

Categories // Cosmétiques, Epilation, Santé Tags // aiselles, électrolyse, épilation, définitive, durable, jambe, laser, luméa, lumiere pulsée, maillot, moustache, poil

La déferlante mooncup

04.01.2010 by Mlle Gima //

Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais ces temps-ci l’offre de coupelles menstruelles a explosé. Avant il n’y avait guère de choix : on commandait le seul modèle qui existait à l’étranger et puis voilà. Mais depuis deux ans on a vu certaines boutiques bio importer la mooncup originale (ou la diva cup) et la mettre à disposition des boutiques françaises. Et depuis l’hiver dernier j’ai reçu plusieurs présentations émanant de nouveaux fabricants. D’abord avec Femmecup (lien) et puis avec Lunacopine (lien). Et je ne parle pas des modèles en couleur qui se développent eux aussi.

Personnellement je reste toujours aussi frileuse à l’idée de l’utiliser. Je n’aime pas particulièrement l’idée d’y mettre les doigts trois fois par jour alors que je ne suis pas chez moi. D’ailleurs je n’aime pas avoir mes règles et je gère ma contraception en conséquence.

Toutefois je suis une fille très curieuse, et si on attise ma curiosité je finis toujours par passer par dessus mes inhibitions. J’ai donc demandé à voir la chose de plus près, et j’ai enquêté auprès des filles qui l’utilisent. Pour comprendre. Au final je vous présente l’une de ces coupes en image et je cède la parole à une fille désormais convaincue et pas avare en détails 😉

La chose :

Pour rester sur une optique simple  j’ai demandé une coupe classique, taille standard et sans aucune fioritures ;  ce fut la femme cup qui est arrivée à la maison (22 € ici)

L’objet parait toujours un peu gros quand on le voit pour la première fois. Il est souple mais ferme et reste plutôt simple à manipuler. C’est juste… intimidant !

Pour l’utiliser il faut d’abord la stériliser à l’eau bouillante, la laisser refroidir, puis l’introduire comme un tampon. Pour faciliter l’insertion il faut la plier sur elle même et elle se dépliera une fois introduite (il existe plusieurs façon de la plier qui vont du pliage en quatre à celui en corole). Elle reste en place à 3/4 centimètres de profondeur, et on peut la vider une à 3 fois par jour, selon l’abondance du flux. Pour la retirer on glisse les doigts dans le vagin et l’on tire le haut de la “languette”.

Pour la nettoyer lors de l’usage il suffit de l’essuyer ou de la rincer. La stérilisation n’est nécessaire qu’à la première utilisation du cycle.

Et comme rien ne vaut une bonne démonstration voici la présentation de la coupelle menstruelle en vidéo (un conseil coupez le son sinon ma musique et le bruit du zoom vont vous gonfler 😉 )

Le témoignage :

Quelques question à Anne-Cé (une lectrice) à propos de son utilisation de la coupelle menstruelle.

Quelle est ton histoire avec la coupelle menstruelle ?

J’ai découvert la mooncup via internet, sur des forums de discussion, mais ça ne m’avait pas interpelée plus que ça. Et puis un jour, mon frère (!!) me fait suivre un mail carrément prosélyte d’une de ses copines et quelques jours plus tard j’en trouve sur un stand dans une foire bio. Je tourne un peu autour et puis je me décide à l’acheter.

Depuis je l’ai utilisée pendant presque 3 ans, avant ma grossesse, et j’en ai été ravie.

Tu as choisi quelle coupe menstruelle du coup ? Tu n’as jamais pensé à changer de modèle ?

A l’époque je pense qu’il n’y avait pas autant de marques qu’aujourd’hui (ou en tout cas, elles n’étaient pas faciles à dénicher). Sur le stand, il y avait deux modèles : la mooncup et le keeper. J’ai opté pour la mooncup qui m’a bien convenu, donc je n’ai pas eu l’occasion d’en changer.
Après ma grossesse l’allaitement a retardé mon retour de couche donc je ne m’en suis pas encore resservi. Mais quand ce sera le cas, s’il s’avère que la taille ne convient plus et qu’il me faut en changer pour une plus grande je pense que j’essayerai un autre modèle. Par curiosité ! Et puis ce sera l’occasion d’en choisir une en couleur et fabriquée en France.

On ressent quoi les premières fois ?

La première fois où je l’ai mise, j’ai mis super longtemps à la retirer, parce que j’étais stressée. Et moins j’y arrivais plus je stressais (et vice versa) ! C’est vraiment le seul souci que j’ai eu et après quelques jours d’utilisation, j’ai trouvé mes marques.

Mais tu ne ressens rien quand tu l’introduit, et après (quand tu marches, si tu fait du sport) ?

En fait si on la sent c’est qu’elle est mal placée ! Ça m’est arrivé quelques fois (toujours les premiers temps) parceque je ne l’avais pas placée suffisamment profond, ou qu’elle était un peu descendue.
Pour le sport, mon expérience est relative : je ne fait pas de sport intensif. Je m’en suis servie au yoga et pour me baigner sans souci aucun.

Comment tu sais qu’il faut la vider ?

Quand elle déborde. Non, je blague ! Mais ça peut sans doute arriver si on a un flux très abondant, ce qui n’est pas mon cas. Même en ne la vidant au bout de 12 heures elle est loin d’être remplie.

Tu suis toujours les instructions quant à la stérilisation (à quel rythme) ?

Absolument pas ! Je l’ai “stérilisée” (je mets des guillemets car, dans l’absolu, ce n’est pas une stérilisation à proprement parler) les premiers temps et puis ensuite j’ai cessé de le faire. Je ne pense pas que ce soit indispensable. Je la lave à l’eau très chaude avec du savon de marseille.

Quand tu travailles en dehors de chez toi la journée, tu fais comment à mi journée ?

Ça dépend.
Soit j’ai un flux peu abondant, et je n’ai pas besoin de la vider (tu peux te permettre de la garder 12h d’affilée).
Sinon, au boulot (ou au resto, ou chez des gens) je la vide aux toilettes. Ensuite, s’il y a un lavabo dans les WC  je la lave sur place (ça c’est dans le meilleur des cas). Les WC handicapés sont bien pour ça.

Sinon, je l’essuie si nécessaire avec du PQ avant de la remettre. Le rinçage n’est pas du tout indispensable. Mais on peut aussi emmener une petite bouteille d’eau pour la rincer.

Tu conclues quoi de ton expérience “mooncup” au quotidien ?

Au final, je trouve que ça rend les règles beaucoup moins pénibles au quotidien : pas besoin de changer de protection en dehors de chez soi, pas d’inquiétude à avoir oublié le matos et surtout, surtout : quel confort !!
En plus, cerise sur le gâteau : l’investissement est vite rentabilisé et c’est écolo.

Ça m’a aussi permis d’être davantage à l’aise avec mon corps, ce que j’apprécie.

J’ajouterais que c’est l’argument écologique qui m’avait attirée au départ mais finalement c’est surtout le confort qui a été le plus grand changement pour moi !

Categories // Régles, Santé Tags // coupelle menstruelle, diva cup, femmecup, lunacopine, mooncup, régles, témoignage

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