Blog beauté et wellness sans tabous ni complexes !
On ne pourra pas dire que cette vidéo soit hyper-objective*, toutefois elle se regarde sans difficulté et permet d’ouvrir le débat.
Alors je demande : qu’en pensez-vous ?
Ps : on remerciera la personne qui a doublé la vidéo en français 😉
* vous aurez remarqué que cette vidéo est le fait d’une marque de cosmétiques naturels, hein ?
Je me pose cette question depuis quelques mois. Parce que j’utilise de plus en plus souvent des vernis à ongle flashy et très assumés.
L’année dernière je n’utilisais que deux trois vernis (plus par entretien que par vrai plaisir). Mais depuis la découverte de certaines marques (OPI mon amour ^^) c’est devenu un vrai bonheur ; à tel point que ma trousse de vernis a muté pour devenir une véritable valisette à vernis !
Pourtant, lorsque je porte certains vernis, il y a quelque chose qui me gêne. Ça a commencé en appliquant un vernis doré qui m’a provoqué un sérieux mal de tête pendant le séchage. J’ai mis ça sur la composition surement très chimique que doit nécessiter ce coloris.
Mais en utilisant d’autres vernis, je me suis rendue compte que cet effet « mal de crâne » se présentait régulièrement, à diverses intensités.
Je me suis donc posé des questions et j’ai fait quelques recherches.
On s’en doutait bien, mais les vernis ne sont pas les produits à la composition la plus soft.
On y trouve souvent du formaldéhyde (sensibilisant), du toluène (toxique), ou encore du DBP, composant reconnu pour sa nocivité sur l’environnement.
Alors on fait quoi ?!?
Franchement, on a de quoi s’inquiéter quand on voit la quantité de vernis différents qu’on peut utiliser. Et quand vous êtes du genre à rogner vos ongles, le problème est d’autant plus important.
Il faut savoir que les ongles, comme les cheveux, sont des éléments « morts » : ils ne sont composés que de kératine. La pousse des ongles et des cheveux étant l’accumulation de cette matière n’ayant plus d’échanges avec le corps. S’enduire l’ongle de produits chimiques ne semble donc pas particulièrement dangereux.
Pourtant, on peut avaler cette matière en suçant ou mordillant ses ongles. D’autre part, en appliquant le vernis et en le laissant sécher, vous allez inhaler certains composants.
Et que dire de la fabrication de ces produits qui à forcement un impact sur l’environnement et la production de matière toxiques…
Je ne sais pas quoi faire ni penser à ce sujet.
J’ai trouvé certaines marques de vernis à la formulation allégée en produits chimiques (Butter London, Couleur Caramel) et d’autres vernis formulés à l’eau pour éviter toute toxicité (Acquarella, noblessence). On trouve aussi certaines grandes marques qui bannissent les composants les plus toxiques leurs vernis (Revlon par exemple). Toutefois, les tenues sont souvent décevantes et le bio ne semble pas encore prêt à prendre la relève.
Et vous ? Aviez vous déjà connaissance de ces problèmes ? Avez vous une solution à proposer ?
Ça va peut être en surprendre certaines mais Mon Coté Fille n’est pas « que » un blog beauté ! Vous avez remarqué que je fais parfois des incartades mode ou shopping mais il y a aussi une rubrique « santé » que vous oubliez souvent de visiter 😉 .
La santé est un thème qui me tient vraiment à cœur car c’est un ingrédient de base pour une vie épanouie. En plus, je reste campée sur l’idée qu’on ne peut être «belle » si on ne se sent pas bien…
Cette semaine on lance une thématique dédiée, mais on ne va pas traiter de la santé bien être ou vitale. On va passer une semaine sur le thème de la contraception. Pourquoi ?
Qu’est ce que je vous veux avec mes histoires de pilule, patch, etc ?
Je sais que le thème surprend, surtout qu’il y aura beaucoup de billets.
A ce sujet chacune est persuadée de savoir tout ce qu’il faut et que ce sont « les autres » qui font des conneries.
Et bah non !
J’ai découvert dernièrement que très peu de filles sont vraiment au jus des contraceptions actuelles. De même, je suis atterrée de voir que des filles de mon âge (28 ans quand même) sont persuadées que la méthode Ogino est un mode de contraception !
Sachant que la France est le pays où les femmes ont le plus facilement accès aux contraceptifs, comment se fait-il que les IVG soit toujours aussi nombreuses ? Constat d’autant plus alarmant que ce ne sont pas les « très jeunes filles » qui sont les plus demandeuses d’IVG mais des femmes de tous âges qui ont eu un problème de contraception..
Il n’y a pas besoin d’être pauvre ou défavorisé pour risquer de tomber enceinte sans le vouloir (et paf, dans le cliché). Le plus souvent c’est le manque d’informations valables qui est à l’origine de la conception, qu’on utilise un contraceptif ou pas.
Du coup j’ai décidé de m’atteler à la tâche en lançant cette semaine à thème. Il va y avoir un billet par mode de contraception qui expliquera le pourquoi, le pour qui et le comment. Avec à chaque fois un témoignage de « vraie fille » qui donne son avis, son intérêt et ses désillusions sur le produit.
Tout ça dans l’unique but de donner une information claire, valide et facile à lire. Pour que chacun puisse profiter de ces outils formidables qu’on oublie trop souvent d’utiliser comme il faut.
Que les lectrices « futiles » se rassurent, il y aura quand même des billets beauté. Mais à vous de savoir lire ce que vous pensez déjà savoir.
Le mois dernier j’ai reçu un colis surprise de la part d’Activia, les yaourts qui remettent le transit en place.
Au début j’ai été emballée par l’idée, on m’envoyait un sac vert avec plein d’astuces minceur : un carnet de recettes, des bons de réduction, un dvd et… un ballon géant ! Comme une gamine j’ai immédiatement déballé le machin et me suis mise à le gonfler frénétiquement.
Enfin, frénétiquement c’est une façon de parler, parce qu’au bout de 10 minutes j’ai bien obtenu un ballon mais pas encore assez gonflé. Il m’aura fallu 15 minutes d’efforts pour obtenir une belle baballe qui donne envie de jouer avec.
Et c’est là que j’ai compris mon erreur. Cette balle géante, ce n’est pas uniquement pour jouer et faire l’otarie. En fait… ça sert… à faire du sport !
Misère ! On cherche à me tromper, à abuser de ma bonne volonté ! Moi et le sport on est plus copains depuis le lycée, et il est hors de question que mon corps émette une goutte de sueur, même avec une Swiss Ball !
Du coup le premier jour ce ballon de gymnastique a servi de repose pied pour regarder un film (na !)
Et puis le lendemain je me suis dit qu’il serait dommage de pas “au moins” regarder le dvd d’explication. De fil en aiguille j’ai lancé le film, regardé le ballon, j’ai essayé comme les dames de la télé et… j’ai adoré ça.
Non, sans déconner, la balle de gymnastique c’est effectivement quelques efforts mais c’est beaucoup plus doux qu’une séance de stretching ou d’aquatonic.
Depuis j’arrive à me motiver pour 2 petites séances par semaine. J’ai découvert à cette occasion que j’avais des muscles sur le coté du ventre et j’en ai bien souffert après les premières séances. Mais c’est très addictif parce que ça renforce toute la partie abdominale, ça corrige les positions, la souplesse et ça relaxe même ! On a fini par faire ami-ami la balle et moi.
Mon seul regret c’est que la balle est trop petite pour ma taille (il existe plusieurs modèles selon votre taille).
Si ça vous intéresse il y a des kit à gagner sur la page facebook d’Activa.
Et peut être qu’on sera capable un jour de faire la même chose que Kim Strother avec sa balle ? Mais j’vous assure que les exercices de base sont bien loin de son truc de reine du stretching ! (Y a cette vidéo complètement cheap pour le prouver)
Il y a déjà bien longtemps de ça, je vous ai proposé d’adresser vos questions à la marque Yves Rocher. D’abord parce que vous êtes nombreuses à m’avoir fait retour de questions et de reproches envers leurs produits, mais surtout parce que les polémiques semblent poursuivre la marque sans que personne ne puisse me démontrer les choses…
Suite à quelques délais et contretemps les réponses ont mis du temps à arriver mais ça y est : je les ai !
Avant de vous afficher cette longue suite de questions/réponses je voudrais quand mêle remercier les filles pour leur questions car beaucoup se sont plaint mais très peu ont accepté de mettre des mots sur leur griefs et de participer à cet “entretien”. Je remercie aussi mes contacts chez YR qui ont gentiment accepté de se prêter au jeu (en répondant parfois même trop longuement 😉 ).
D’autre part, avant que je n’oublie, un tchat public est organisé le 19 janvier (de 18h à 20h) avec Jacques Rocher à l’occasion des 50 ans de la marque YR. On y parlera de la fondation Yves rocher mais surtout des conceptions écologiques de la marque. Pour celles que ça intéresse vous pouvez d’ores et déjà poser des questions sur le site de l’évènement.
